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Zéro artificialisation nette
Et Bourbonne dans tout cela ?

Comme d’habitude, les élus de Bourbonne ne se sentent pas concernés, les lois sont pour les autres.




Pour faire simple, le concept de cette loi est de stopper l’empiètement des terres agricoles et de se concentrer sur la revitalisation des espaces urbains laissés à l’abandon.

A l’inverse, les élus de Bourbonne, dirigés à la baguette par André NOIROT, se concentrent sur l’extension du périmètre urbain et ne se soucient pas de la dévitalisation du centre.

C’est ainsi que la municipalité de André NOIROT avait réquisitionné des terres agricoles pour la construction de la maison de retraite loin du centre, condamnant les résidents à un certain isolement loin de leur famille qui ne sont pas toujours motorisées.

Plus inquiétant maintenant, est le projet mené par la Communauté de Communes et André NOIROT, de délocaliser la gendarmerie sur des terres actuellement cultivées. Voir notre article du 2 avril 2021 intitulé lDélocalisation de la gendarmerie. La gendarmerie actuelle ne serait plus qu’une friche de plus pour la commune.

La Communauté de Communes présidée depuis 2017 par Éric DARBOT, en accord bien sûr avec André NOIROT, a inscrit Bourbonne dans le programme des petites villes de demain.

Les aides et soutiens en matière de restauration et de mise en valeur du patrimoine proposés par les partenaires du programme sont au centre de cette offre.

Pour cela encore faudrait-il avoir un projet de territoire

Lorsque l’on voit qu’il a fallu près de 7 ans à cette Communauté de Communes pour démarrer les travaux de rénovation de la piscine de Bourbonne, cela ne donne pas grand espoir pour tout autre projet.

Des études, toujours des études

Payées par nos impôts et sans résultats

Un autre projet annoncé pose question, celui du pôle scolaire. En effet, depuis 2008 soit plus de 15 ans, André NOIROT avait annoncé le regroupement des écoles près du Collège.

Le projet lui-même tel qu’envisagé par André NOIROT, donnerait aux élèves accès au gymnase et à la piscine.

Or le gymnase, qui a d’ailleurs besoin d’une restauration importante, est occupé à 60% du temps par le collège, et par les associations sportives pour le reste du temps. L’école actuelle bénéficie de deux gymnases.

Quant à la piscine, les élèves n’y allaient que sporadiquement, il y faut de plus un personnel encadrant qualifié.

Pour couronner le tout, il n’y a aucun projet de réutilisation des bâtiments actuels qui font partie du patrimoine historique de Bourbonne.

Ainsi que le Sous-préfet l’avait déclaré en 2015 l’Etat ne financera plus de constructions d’écoles alors que ces dernières perdent des classes. C’est le cas de Bourbonne malheureusement.

Dépouiller le centre plutôt que de le réhabiliter
équivaut à mettre la charrue avant les bœufs


L’arc républicain

Pour le Président de la République, Emmanuel MACRON, certains partis politiques ne font pas partie de l’Arc républicain.

Pour le premier ministre, Gabriel ATTAL, l’Arc républicain c’est l’Assemblée Nationale qui regroupe en son hémicycle les élus du territoire, quel que soit leur parti politique, ils et elles sont élus par le peuple. Malheureusement, il poursuit en lançant des attaques tout à fait honteuses envers l’opposition, plutôt dignes d’une cour d’école.

Pour le Président du Conseil Départemental de la Haute-Marne, Nicolas LACROIX, les élus du parti opposé au sien ne sont pas des ennemis mais des adversaires qu’il veut combattre. Ses propos sont dignes de l’école maternelle.

Non seulement il refuse de travailler avec tous les conseillers départementaux élus démocratiquement, sans exception, il se permet de déclarer que, lui, représente tous les haut-marnais. Rappelons que son propre parti, Les Républicains, n’a reçu que 3 % des votes aux dernières élections départementales. Pour être élu, il a dû faire des alliances avec d’autres partis divers droite et du centre.

Nicolas LACROIX va même jusqu’à exclure de la majorité départementale Madame Magali CARTAGENA, Maire de Villegusien-le-Lac pour avoir osé voter contre sa décision de reconstruire les hôpitaux de Chaumont et Langres. Il refuse de proposer l’option préconisée par d’autres instances qui satisferait un plus grand nombre de haut-marnais.

Pour qui se prend-il pour renier ainsi la démocratie
La Haute-Marne mérite mieux

Comme si cela ne suffisait pas, nous avons des maires comme André NOIROT, qui estiment que la fonction leur revient à eux et à personne d’autre.

Depuis tant d’années, les élus de Bourbonne se permettent de cacher leurs intentions de peur de réveiller des soupçons sur leurs actions.

C’est ainsi qu’une grande partie du patrimoine a été démolie (Château Montmorency, l’hôpital militaire, le chalet Sapin, etc., sans autorisation pour certains). Plusieurs bâtiments ont été achetés pour les laisser à l’abandon (Hôtel du Parc, le Refuge des Cheminots etc.) toujours aux frais des contribuables.

Nous avons de plus, des élus tels que Elie PERRIOT, qui pour se faire élire mènent des campagnes de dénigrements absurdes et grossières comme il l’a fait dès 2014 et plus récemment lors des élections départementales.

Voir notre article du 22 juillet 2021 intitulé Résultats des élections départementales 2021.

Rappelons que sans les votes des Bourbonnais, dont 55 % s’étaient abstenus, son binôme n’était pas majoritaire dans le canton. Il n’a vraiment pas de raison d’être fier et de clamer qu’il a désormais une carrière politique (ne riez pas…)

Elie PERRIOT ne fait que s’accrocher à la laisse tenue fermement par Nicolas LACROIX ou André NOIROT.


Ces élus se ridiculisent
Pas étonnant que Wikipédia leur ferme la porte !

Les routes de Haute-Marne bientôt dénudées

Décidément Nicolas LACROIX n’a rien de mieux à faire que de décider – SEUL -d’abattre près de 4 000 arbres le long des routes de Haute-Marne.


Il semblerait que pour en venir à cette décision, Nicolas LACROIX ait consulté les bilans d’accidentalité de l’Observatoire national interministériel de la sécurité routière.

Pourtant ces bilans ne mentionnent pas les causes d’accidents si ce n’est principalement la vitesse et l’alcool.

A moins que l’arbre ne se déplace pour que les voitures le percutent !

A noter que cet Observatoire avait demandé l’instauration de la limite de vitesse à 80 km/h sur les routes départementales. Nicolas LACROIX s’était empressé d’annuler cette implémentation sur plusieurs routes, causant la « fureur » de la Préfecture.

Selon l’article, Nicolas LACROIX a constaté que la présence d’un arbre cause une déformation de la route. Ne serait-ce pas plutôt parce que le revêtement n’est pas correctement entretenu ou suffisamment qualitatif.

Il a de plus, vu sur l’accotement des traces de roues qui frôlent les arbres. Ne serait-ce pas plutôt parce que ces voitures roulent trop vite.

Il se désole que le travail d’élagage nécessaire mobilise ses équipes. N’est-ce pas justement la raison même de leur travail.

Il mentionne des mesures compensatoires sans pour autant dire de quoi il s’agit

Des études ont prouvé que les routes qui ne sont pas bordées d’arbres sont plus dangereuses car les chauffards n’ont alors aucune raison de ralentir et finissent par s’écraser contre un autre obstacle, qui peut tout à fait être la voiture qui arrive en face.

Plutôt que de prendre des décisions totalement arbitraires, ne ferait-il pas mieux de s’inquiéter des conséquences des abattages.

  • Perte de qualité paysagère du département
  • Perte du bienfait des arbres dans la lute contre le réchauffement climatique et contre l’érosion de la biodiversité
  • Les arbres coupés ont des racines sous le goudron qui vont pourrir et ruiner la chaussée
  • L’eau en excès par endroits dans le sol ne sera plus pompée

On ne peut pas dire que le bilan de Nicolas LACROIX soit des plus brillants :

  • Déclin démographique continu
  • Délabrement des finances
  • Désert médical constant
  • Démocratie en berne

Et maintenant déboisement des bords de routes de campagnes

Nicolas LACROIX devrait plutôt prendre connaissance du Décret N° 2023-384 du 19 mai 2023 qui régit que seul le Préfet de Département est l’autorité administrative compétente qui se prononce sur les atteintes éventuelles aux allées et alignements d’arbres bordant les voies ouvertes à la circulation publique.

A quoi bon parler d’attractivité quand des élus plutôt ignorants des lois se comportent en véritables despotes

Toujours plus de couleuvres à avaler

Malgré la sècheresse, on se rend compte que Bernard RIAC et André NOIROT trouvent toujours plus des « couleuvres » à vous faire avaler.

Le réchauffement climatique va peut-être leur engendrer une pénurie de couleuvres ?

Le 30 janvier 2023, un groupe de presse économique régional (Savoie Mont Blanc) a publié un entretien avec Bernard RIAC sur les investissements du groupe Valvital.

Valvital est le groupe thermal qui progresse le plus rapidement et fortement cette année », annonce le président directeur général, Bernard Riac.

Et d’une couleuvre

Il faut un certain culot pour faire de telles annonces qui ne sont que fantasmes de la part de Bernard RIAC.

En ce qui concerne Bourbonne-Les-Bains, lors de la dernière réunion du syndicat des hôteliers début Octobre, la représentante des thermes avait annoncé selon le Journal de la Haute-Marne du 11 octobre : « lnous accueillons actuellement 650 curistes et espérons dépasser la barre des 5 000 au total sur la saison ».

Et de deux couleuvres

Les bourbonnais ont pu eux-mêmes constater que depuis l’ouverture de la saison en mars 2023, il n’y a eu que très peu de curistes au cours des six premiers mois sur les neuf mois de la saison thermale. Les trois derniers mois sont depuis très longtemps les mois préférés des curistes, mais vont-ils compenser ?

Rappelons qu’en 2022, les thermes n’avaient reçu que 5 228 curistes. Si la barre des 5 000 curistes est atteinte cela équivaudrait à une nouvelle perte d’environ 200 curistes.

L’absence de travaux d’entretien de l’équipement est évidente et régulièrement rapportée par le peu de curistes encore venus cette année : eau froide, baignoires en panne, malaxeur de boue en panne, chauffage défaillant, piscine froide, etc.

Non, ce n’est pas la COVID

Le journal local de Nancy La Semaine a publié le 1er septembre dernier un entretien avec Bernard RIAC sur le fiasco de l’ouverture des cures thermales de Nancy Thermal.

Comme à son habitude, la faute est rejetée sur autrui. Il rappelle « nous ne sommes que les exploitants. Il faut que chacun prenne ses responsabilités »

Et de trois couleuvres
Il fallait oser

Mais encore, à la question : beaucoup vous reprochent la « propreté » des lieux. Que leur répondez-vous ?

« Que c’est vrai et nous allons prendre le taureau par les cornes. Nous avons sous-traité la partie la plus importante du nettoyage à une entreprise bien connue en France.

Bientôt ce sera la faute des banques

Ce qui est particulièrement intéressant est qu’il ajoute : Elle ne remplit pas ses missions… La prestation doit être effectuée. Nous allons peut-être devoir aller vers une résiliation du contrat et demander des dommages et intérêts. Cette situation n’est pas acceptable ».

Ben voyons…
Pour quelqu’un qui n’a jamais respecté son cahier des charges à Bourbonne c’est énorme de toupet


Pour rappel, le 15 avril 1975 le Sénat avait débattu sur la situation de l’établissement thermal de Bourbonne-Les-Bains en réponse au Sénateur Edgard PISANI.

Mme le ministre de la santé est particulièrement avertie du problème posé par l’avenir de l’établissement thermal de Bourbonne-les-Bains. La carence du concessionnaire qui n’avait pas entrepris, malgré de nombreuses mises en demeure, les nécessaires travaux de rénovation, l’a conduite à prendre à son encontre les mesures prévues par le cahier des charges de la concession.
C’est ainsi qu’elle a été amenée à prononcer sa déchéance à la fin du mois de mars.

Conformément à l’article 26 du chapitre VI du cahier des charges :

« Faute par le concessionnaire de remplir l’une quelconque des obligations qui lui sont imposées par le présent cahier des charges il encourt la déchéance. »

Le document est un document administratif communicable et est donc disponible sur demande en Mairie.


Suite à cette décision de l’Etat et un nouveau concessionnaire, la station a par la suite reçu jusqu’à 16 000 curistes.
À bon entendeur !
Aucune chance avec André NOIROT


Les rois des flops
Bourbonne Les Bains et son maire André NOIROT

Le site des Contribuables Associés vient de publier l’argus 2023 des communes de France utilisant les comptes 2021.

Nous vous présentons ci-dessous les pages correspondantes à Bourbonne. La première image révèle la note attribuée à Bourbonne et la mention globale décernée au Maire . La deuxième montre la place de Bourbonne dans le classement des Tops et des Flops.


Pour aller plus loin, il suffit de se connecter au site www.touscontribuables.org

A partir des comptes des collectivités territoriales enregistrés par le Ministère des Finances, une analyse est établie pour répondre à la question :

Votre commune est-elle bien gérée ?

En toute impartialité, nous avons choisi plusieurs communes de Haute-Marne de population plus ou moins similaires pour établir un comparatif :

Nous ne pouvons que confirmer la mention globale décernée au maire André NOIROT.

Très mauvais


Comme si cela ne suffisait pas, nous constatons depuis plusieurs décennies, uniquement sous les mandats de André NOIROT :

  • L’hémorragie du nombre d’habitants (- 33%) et de curistes (- 70%)
  • Des quartiers entiers de la commune ne sont pas ou très peu entretenus
  • Les commerçants ferment les uns après les autres, pire encore, lorsque de nouveaux commerçants rencontrent le maire pour lui présenter leur projet, il leur offre pour tout commentaire : ça ne marchera pas
  • Les services de proximité ont pratiquement tous disparu : la Trésorerie, le Centre de proximité (CCAS) remplacé par une « maison des services » qui en réalité ne propose qu’un minimum de services
  • Le ruisseau de Borne n’est plus nettoyé, gare aux inondations
  • Cette année, certains quartiers ont été totalement privés de fleurissement. Plusieurs massifs et arbustes de rosiers ont été enlevés, le peu de jardinières restantes n’ont pas eu l’arrosage nécessaire. A tous ceux qui déclarent que c’est à cause de la sècheresse, nous répondons que ce ne sont que balivernes. Certes, des économies sont à rechercher mais pourquoi le faire sur l’embellissement de notre cadre de vie. D’autres pistes seraient bien plus judicieuses, telles que les indemnités de ces élus qui ne font rien
  • La piscine semble être carrément abandonnée. Nous vous invitons à lire notre article du 26 mai 2022 dans la catégorie Communauté de Communes, intitulé La fermeture de la piscine. A tous ceux qui se voilent la face en accusant la Communauté de Communes, rappelons qu’il appartient au maire de la commune de se mobiliser et d’intervenir afin que les travaux soient réalisés par la Communauté de Communes
  • Etc. etc. etc.

Cet argus le démontre, NON, ce n’est pas partout la même chose

André NOIROT, comme à son habitude, préfère ne rien faire et laisser les bourbonnais injustement accuser ailleurs : la Communauté de Communes, la malveillance, la chaleur, la pluie, pire, cinq ans plus tard : Madame BRICE.

Bref du tout et du n’importe quoi.

C’est ce que l’on appelle généralement de la lâcheté

Nous pouvons conclure que, non content de laisser Bourbonne à l’abandon durant tous ses mandats, André NOIROT dilapide ses finances avec une gestion catastrophique.

Ainsi est révélée l’incapacité totale de André NOIROT de gérer notre ville et servir ses habitants

Les ambitions déplacées de certains élus

Un élu local doit avoir des ambitions pour son territoire

Non pas pour sa personne comme il est trop souvent constaté

Bien qu’un grand nombre d’élus agissent uniquement pour l’intérêt général comme il se doit, d’autres n’ont que l’ambition de se voir aduler et même de s’enrichir aux frais du contribuable.

Citons quelques exemples proches :

Nicolas LACROIX est Le Président du Conseil Départemental de la Haute-Marne depuis 2017.

Dès sa prise de fonction à la suite de Bruno SIDO, il s’est lui-même auto-nommé président de plusieurs instances, présidences quasiment toutes rémunérées.

Il s’est permis de se commander un véhicule de près de 80 000 € avec pour excuse qu’il n’est pas un plouc ou un bouseux.

Nicolas LACROIX jongle avec les millions du Conseil Départemental et du GIP

En 2018 il avait commandité un million d’euros pour revoir le projet d’Animal Explora à Chateauvillain, projet de 20 ans qui était considéré comme le fer de lance du développement du tourisme en Haute-Marne et qui avait déjà coûté 10 millions d’euros. En décembre 2021 il décide d’enterrer le projet.

Le terrain est aujourd’hui rétrocédé à la commune de Chateauvillain et doit faire l’objet d’une remise en état de quelques millions supplémentaires financés par le Conseil Départemental.

Un réel gaspillage

Suite aux dernières élections départementales, Nicolas LACROIX avait déclaré avec une grande arrogance ne pas vouloir travailler avec les conseillers de l’opposition.

Tant pis pour la démocratie

S’agissant de l’offre hospitalière du sud-centre Haute-Marne, Nicolas LACROIX avait déclaré avec cette même arrogance en septembre 2021, la priorité c’est Chaumont, sans se préoccuper de l’opinion publique.

Aujourd’hui il soutient la proposition de l’ARS qui prévoit de construire un hôpital à Chaumont et un hôpital à Langres et une simple modernisation de l’hôpital de Bourbonne. En décembre 2022 Nicolas LACROIX avait annoncé un début des travaux début 2023.

En réalité, seuls les appels d’offres ont été lancés en mai 2023 et les travaux ne devraient commencer qu’en mai 2025 pour Langres pour un rendu en avril 2027 et les travaux de Chaumont ne devraient commencer qu’en février 2026 pour un rendu en janvier 2029.

Tant pis pour les hauts-marnais

Autre exemple très parlant et pas des moindres :

André NOIROT distribue les faveurs pour s’attirer des votes

De tout temps, il n’a fait que favoriser certains pour s’assurer le soutien électoral de leur famille.

Pour exemple, il a toujours choisi le personnel à embaucher en calculant combien de votes cela pouvait lui rapporter plutôt que pour leurs qualifications.

Il a utilisé les deniers des contribuables bourbonnais pour acheter des biens immobiliers à ses amis proches (700 K€ pour l’hôtel des Sources, entre autres)

Il rend les membres de son équipe municipale redevables afin qu’aucun n’intervienne en conseil :

  • Trois d’entre eux perçoivent aujourd’hui une indemnité bien que n’étant pas adjoints
  • La façade d’immeuble d’une conseillère a été repeinte sans autorisation et de couleur inexistante dans le nuancier de l’Architecte des Bâtiments de France
  • Le trottoir longeant la propriété de l’un des conseillers a été refait gracieusement pour lui
  • Grâce à André NOIROT, Elie PERRIOT, conseiller municipal, aujourd’hui premier adjoint, a pu construire son abri de piscine bien que refusé par le PLU (Plan Local d’Urbanisme) car moins de 5 mètres de la voie publique
  • Etc. etc. etc.

Les associations se voient attribuer des subventions plus ou moins élevées selon le soutien qu’elles apportent à André NOIROT ou pas (l’Union Sportive Bourbonnaise de football par exemple)

A retenir que chacune des faveurs que André NOIROT octroie est financée par le contribuable bourbonnais et non par son portefeuille personnel.

Tant pis pour les bourbonnais


Le déclin que connait la Haute-Marne et pire encore, Bourbonne, serait-il dû à ces élus trop ambitieux pour eux-mêmes ?

Pour rappel, en 2011, André NOIROT avait eu pour ambition de devenir Sénateur. Suite à son échec il a avoué à des proches que son seul regret était, non pas pour le siège mais pour la Carte de Crédit.

Quant à Nicolas LACROIX, sa dernière ambition fut de voir restaurer une page à son nom consacrée au Président du Conseil Départemental de la Haute-Marne sur Wikipédia.

Demande qui a reçu un refus des administrateurs de Wikipédia


L’ambition enivre plus que la gloire
Marcel Proust

Les élections sénatoriales 2023

Les sénateurs sont élus au suffrage universel indirect.

Le corps électoral est composé des grands électeurs, c’est-à-dire les députés et sénateurs, les conseillers régionaux du département, les conseillers départementaux et les délégués des conseils municipaux. Leur vote est obligatoire.

Les élections auront lieu le 24 septembre prochain.

Les élections sénatoriales ont lieu tous les trois ans. À cette occasion, la moitié des sièges est renouvelée, dont les deux sièges de la Haute-Marne cette année. La durée du mandat de sénateur est de six ans.

En 2017, plusieurs candidats à la présidentielle, dont Emmanuel MACRON, avaient pris l’engagement de limiter le cumul des mandats dans le temps en interdisant à tout élu d’occuper le même siège durant plus de trois mandats consécutifs.

Selon un sondage Odoxa réalisé en janvier 2016, trois Français sur quatre, citent comme prioritaire une réforme sur l’application du non-cumul dans le temps.

Un autre sondage d’Odoxa en 2017 montre que 77 % des personnes interrogées perçoivent cette mesure comme un outil nécessaire pour encourager le renouvellement de la vie politique.

Pour les promoteurs de la fin du cumul des mandats sur la durée, elle permettrait d’éviter d’avoir des politiques « carriéristes » et les contraindrait à agir sans craindre une défaite électorale au bout d’un certain temps. Une telle mesure éviterait aussi de voir s’installer des sortes de « baronnies » locales.

La démocratie prendrait tout son sens
L’espoir fait vivre !

En ce qui concerne la Haute-Marne, nos deux sénateurs actuels sont Charles GUENÉ et Bruno SIDO, tous deux élus au Sénat depuis 2001, soit 22 ans.

Charles GUENÉ a d’ores et déjà annoncé qu’il ne se représenterait pas. A l’inverse, Bruno SIDO, lui, sera à nouveau candidat.

Récemment, Anne-Marie NEDELEC, 70 ans, a annoncé qu’elle se portait candidate. Sa carrière élective a débuté en 1989 cumulant ensuite en nombre et dans le temps plusieurs mandats locaux et départementaux. Nicolas LACROIX, encore lui, déjà Président de tellement d’instances, se présente pour être son suppléant.

L’entre-soi, si typique en Haute-Marne continue

La Haute-Marne mérite des élus soucieux du quotidien et du cadre de vie des habitants.

Après tout nous ne sommes pas des ploucs ou des bouseux !

À partir des chiffres publiés par l’Insee, un cartographe, Jules Grandin, a réalisé des cartes des départements français comptant plus de vaches, porcs ou moutons que d’habitants.

Conclusion, la Haute-Marne compte plus de vaches que d’habitants avec, selon l’INSEE, 199 500 bovins contre un peu plus de 170 000 habitants.

Le déclin du département est évident. Certains élus (communaux, ou départementaux, ou autres) accrochés à leur(s) siège(s) depuis tellement d’années y ont très largement contribué, plutôt préoccupés à satisfaire leur ego et à se construire leur « petite baronnie » au détriment de la population.

A quand le vent nouveau ?


Le royaume de Haute-Marne

Alors que depuis plusieurs semaines, la France est secouée par de multiples manifestations, certains élus locaux, qu’ils soient municipaux ou même départementaux, restent préoccupés par leur image et leur bien-être personnel plutôt que celui de la population en général.

La Haute-Marne ne fait pas exception.

Au niveau municipal, Bourbonne en est le parfait exemple. En effet, l’équipe municipale, conduite par André NOIROT, a débuté ce mandat en approuvant une augmentation des indemnités de plus de 30 % et approuve sans aucune réserve absolument tout ce qui leur est présenté :

  • Les achats de biens immobiliers à des proches du Maire (l’étang)
  • Les exonérations de redevance des thermes pour satisfaire le concessionnaire qui investit ailleurs (Nancy, Royat)
  • Les emprunts multiples plaçant la commune au 31.12.2021 à la deuxième place après Chaumont du palmarès des communes de Haute-Marne les plus endettées par habitant (1 300€)
  • L’implantation d’éoliennes sur le territoire
  • Etc, etc, etc

On peut ajouter les copinages et passe-droits accordés par André NOIROT, tels que l’affaire de la maison Maignien avec des travaux ayant débutés sans permis tout comme la démolition du bâtiment à tourelle.
(Voir notre article du 21 mai 2021 dans la rubrique Urbanisme, intitulé Encore une démolition)

Au niveau départemental, la Haute-Marne a de longue date été présidée par des individus surtout soucieux de s’accrocher à leur siège en se comportant en petit roi.

Pour rappel, le quotidien France Soir avait publié une page le 11 avril 2011 intitulé:

Argent public : Un président de conseil général qui vit comme un roi

L’article relatait le comportement abusif du Président du Conseil Départemental d’alors, en l’occurrence Bruno SIDO surnommé « le roi Sido » qui menait illégalement (selon France-Soir) grand train de vie au préjudice du contribuable haut-marnais.

Aux frais du contribuable, il recevait régulièrement les élus autour d’un repas gastronomique bien arrosé avant de les retrouver dans l’hémicycle qu’il présidait.

Il était surnommé Le « monarque qui s’en fout » par les membres de sa propre majorité.

Sans complexe, il se servait de locaux et de personnels du Conseil Général pour ses fonctions de sénateurs et son usage personnel toujours aux frais des contribuables haut-marnais. Il utilisait par exemple son véhicule de fonction, la fameuse C6) du Conseil Général pour se rendre au Sénat.

Bien que condamné par la justice, Bruno SIDO est Sénateur de Haute-Marne depuis 2001. Il a, de plus, récemment déclaré qu’il se représenterait aux élections sénatoriales de Septembre 2023.

En 2017, Bruno SIDO avait laissé sa place de Président du Conseil Général à Nicolas LACROIX avec qui il a longtemps collaboré.

Ce dernier, est aujourd’hui Président (rémunéré) de tellement d’instances que l’on peut se demander où il trouve le temps de marcher à travers notre département afin d’échanger dans tous les territoires écouter et mieux comprendre les attentes de chacun, avait-il déclaré.

Etant donné son comportement autoritaire et tout à fait méprisant envers les élus de l’opposition du Conseil Départemental, nous nous demandons si ses périples ne l’ont pas rendu sourd.

Écouter est une chose, mais entendre est encore mieux

Nicolas LACROIX se permet de refuser de travailler avec les deux députés de la Haute-Marne et pourtant leur parti (Rassemblement National) avait recueilli l’une des plus vaste majorité des suffrages exprimés au second tour de la présidentielle (57 %). Son propre parti, Les Républicains n’avait recueilli que 5,16 %).

Nicolas LACROIX devrait garder en mémoire qu’aux élections municipales de son propre village (Bourdon-sur-Rognon) il n’était en 2014 que 9ème sur 11 et en 2020, 6ème sur 11. Aux dernières élections départementales il n’a recueilli que 30,57 % des inscrits de son canton.

Un peu d’humilité s’il-vous-plait

Nicolas LACROIX n’a eu aucun scrupule à faire payer les contribuables un véhicule de 78 000 €, estimant qu’il n’est pas un plouc. (Voir notre article du 1er mars 2022 intitulé : Un département de ploucs)

Dernièrement, Nicolas LACROIX, toujours préoccupé de se faire prendre en photo, a été « capturé » refusant la main tendue du Dr. Vincent ESCUDIER, représentant l’association Egalité, Santé. L’association promeut un Hôpital unique à Rolampont plutôt que la construction de deux hôpitaux neufs à Langres et à Chaumont ainsi que Nicolas LACROIX cherche à l’imposer après une volte-face sur le sujet, sans se préoccuper de l’avis des habitants.

Non content de ses multiples présidences, rémunérées pour la plupart, Nicolas LACROIX vient maintenant de présenter la création d’une Agence d’Attractivité et du Tourisme de la Haute-Marne, dont il sera le Président !

Thomas Corvasce, Directeur général de la Maison du Tourisme avait déclaré en janvier 2022 dans le journal La Voix de la Haute-Marne : en France il existe 35 agences d’attractivité et la Haute-Marne se trouve en queue de peloton à la 85ème place. Nous sommes bien loin d’être innovants et unique comme l’affirme Nicolas LACROIX.

Nous restons persuadés que l’attractivité d’un territoire passe obligatoirement par le comportement de ses élus.

La Haute-Marne n’est pas près de s’en sortir avec des élus qui se prennent pour des rois et maintenant agissent en petit empereur.

Non aux éoliennes

Le 15 février 2023, le conseil municipal a émis un avis favorable à l’implantation de trois éoliennes sur le territoire de Bourbonne-Les-Bains.

La réunion n’a duré que 17 minutes !

Emballé c’est pesé

Après avoir émis un avis défavorable en 2021, les girouettes du conseil municipal émettent un avis favorable à l’implantation de trois éoliennes sur Bourbonne.

L’on peut dire que nos élus ont de grandes convictions

L’article 82 de la même loi prévoit, dès février 2022, une consultation obligatoire du maire avant le lancement d’un projet d’installation d’éoliennes.

Le Maire doit donc présenter le projet en conseil municipal pour rendre un avis. La présentation se doit d’être suffisamment éclairée pour que les membres du conseil puissent donner un avis en toute connaissance de cause, autrement dit étant pleinement informés.

Nous nous demandons si les services de contrôle de légalité de la préfecture vont intervenir étant donné l’absence d’informations préalables à la prise de décision.

Il est vrai qu’avec André NOIROT, il n’est pas besoin d’informer les conseillers, il suffit pour lui de leur dire comment voter.

Nous félicitons la conseillère qui a osé voter CONTRE, cependant attention aux réprimandes…

Il semblerait que le projet concerné était à l’origine uniquement sur le territoire de Senaide. En tant que commune limitrophe, Bourbonne devait rendre un avis.

Allez savoir comment Bourbonne se retrouve avec 3 éoliennes sur son territoire, d’autant que la commune n’a pas de parcelles dans le secteur concerné. Aux dires de André NOIROT, les éoliennes rapporteraient à la commune 28 000 €. Nous soupçonnons que ce dernier les a lui-même demandées dans ce but.

Belle aubaine

Qu’est-ce que 28 000 € dans le budget communal?

Les indemnités annuelles de André NOIROT s’élèvent à 30 803, 76 €.

L’augmentation des indemnités votées en septembre 2020 s’élèvent à 27 541 €, auxquelles l’on peut ajouter 12 706,92 € pour la création de trois postes de conseillers délégués, soit un total de 41 247,92 €, voir notre article de la rubrique Finances, daté du 31 août 2020 intitulé Augmentation des indemnités.

Plus grave encore, selon Blandine Vue, chercheuse en archéologie et histoire des paysages, spécialiste de la Haute-Marne, Bourbonne se trouve dans un secteur très faillé. Le plateau entre les deux communes est traversé par une faille importante.

Les failles permettent la pénétration des eaux de pluies qui éventuellement se « transforment » en eau minérale dite thermale.

Faut-il risquer de mettre l’eau thermale en danger ?

L’association des vues imprenables publie un blog fort intéressant décrivant très clairement les aléas techniques et géologiques de l’implantation d’éoliennes sur notre territoire.

Nos articles du 23 février 2019 dans la rubrique Alentours intitulé Tout sur l’énergie éolienne vous apportera des informations complémentaires.

Après les girouettes voilà les éoliennes
Les deux marchent selon le vent


Meilleurs vœux pour l’année 2023

L’année 2022 nous a donné matière à plusieurs articles mettant en lumière en particulier certaines décisions prises par ce conseil municipal, décisions qui chaque fois, ont coûté cher au contribuable que nous sommes.

Plutôt que de toujours approuver tout ce qui leur est présenté selon la volonté de André NOIROT, nous nourrissons l’espoir qu’en 2023, les membres du conseil municipal vont enfin « travailler » selon les principes de la charte de l’élu local qu’ils ont eux-mêmes approuvée lors de leur élection.

Rappelons les principes de la charte de l’élu local pour ceux qui ne l’ont toujours pas comprise :

Charte de l’élu local

  • L’élu local exerce ses fonctions avec impartialité, diligence, dignité, probité et intégrité
  • Dans l’exercice de son mandat, l’élu local poursuit le seul intérêt général, à l’exclusion de tout intérêt qui lui soit personnel, directement ou indirectement, ou de tout autre intérêt particulier
  • L’élu local veille à prévenir ou à faire cesser immédiatement tout conflit d’intérêts. Lorsque ses intérêts personnels sont en cause dans les affaires soumises à l’organe délibérant dont il est membre, l’élu local s’engage à les faire connaître avant le débat et le vote
  • L’élu local s’engage à ne pas utiliser les ressources et les moyens mis à sa disposition pour l’exercice de son mandat ou de ses fonctions à d’autres fins
  • Dans l’exercice de ses fonctions, l’élu local s’abstient de prendre des mesures lui accordant un avantage personnel ou professionnel futur après la cessation de son mandat et de ses fonctions
  • L’élu local participe avec assiduité aux réunions de l’organe délibérant et des instances au sein desquelles il a été désigné
  • Issu du suffrage universel, l’élu local est et reste responsable de ses actes pour la durée de son mandat devant l’ensemble des citoyens de la collectivité territoriale, à qui il rend compte des actes et décisions pris dans le cadre de ses fonctions

Pas bien compliqué… pourtant

Avec André NOIROT pour Maire, le débat est non seulement canalisé, mais cadenassé de la manière la plus autoritaire et caricaturale qui soit. Les conseils transpirent la condescendance, la peur, et reflètent une conception totalement dépassée de la politique locale.

Avec André NOIROT, la commune s’est endormie et ne fait plus que ronronner depuis plusieurs décennies sous sa gouvernance.




A noter cependant que la commune a connu un léger sursaut entre 2014 et 2018 avec une autre équipe municipale.

Le 13 décembre 2022 est paru le dossier complet des statistiques de l’INSEE concernant Bourbonne-Les-Bains.

Le site ville-data.com offre également des informations intéressantes:

Le nombre d’habitants de Bourbonne les Bains est de 1901 personnes en 2022, la population de Bourbonne les Bains est en baisse.

Précisons que ce chiffre comprend Villars et Genrupt.

Avec maintenant seulement 1901 habitants, la baisse est de 37%, baisse constante et drastique uniquement sous les mandats de André NOIROT.

Que ce soit Langres, Chaumont ou Aigremont…

Nous ne trouvons aucune commune de Haute-Marne ayant connu une telle dévolution


Les membres de ce conseil municipal vont-ils un jour se réveiller pour agir et réagir à ce déclin insoutenable mené par André NOIROT depuis tant d’années ?