L’arc républicain

Pour le Président de la République, Emmanuel MACRON, certains partis politiques ne font pas partie de l’Arc républicain.

Pour le premier ministre, Gabriel ATTAL, l’Arc républicain c’est l’Assemblée Nationale qui regroupe en son hémicycle les élus du territoire, quel que soit leur parti politique, ils et elles sont élus par le peuple. Malheureusement, il poursuit en lançant des attaques tout à fait honteuses envers l’opposition, plutôt dignes d’une cour d’école.

Pour le Président du Conseil Départemental de la Haute-Marne, Nicolas LACROIX, les élus du parti opposé au sien ne sont pas des ennemis mais des adversaires qu’il veut combattre. Ses propos sont dignes de l’école maternelle.

Non seulement il refuse de travailler avec tous les conseillers départementaux élus démocratiquement, sans exception, il se permet de déclarer que, lui, représente tous les haut-marnais. Rappelons que son propre parti, Les Républicains, n’a reçu que 3 % des votes aux dernières élections départementales. Pour être élu, il a dû faire des alliances avec d’autres partis divers droite et du centre.

Nicolas LACROIX va même jusqu’à exclure de la majorité départementale Madame Magali CARTAGENA, Maire de Villegusien-le-Lac pour avoir osé voter contre sa décision de reconstruire les hôpitaux de Chaumont et Langres. Il refuse de proposer l’option préconisée par d’autres instances qui satisferait un plus grand nombre de haut-marnais.

Pour qui se prend-il pour renier ainsi la démocratie
La Haute-Marne mérite mieux

Comme si cela ne suffisait pas, nous avons des maires comme André NOIROT, qui estiment que la fonction leur revient à eux et à personne d’autre.

Depuis tant d’années, les élus de Bourbonne se permettent de cacher leurs intentions de peur de réveiller des soupçons sur leurs actions.

C’est ainsi qu’une grande partie du patrimoine a été démolie (Château Montmorency, l’hôpital militaire, le chalet Sapin, etc., sans autorisation pour certains). Plusieurs bâtiments ont été achetés pour les laisser à l’abandon (Hôtel du Parc, le Refuge des Cheminots etc.) toujours aux frais des contribuables.

Nous avons de plus, des élus tels que Elie PERRIOT, qui pour se faire élire mènent des campagnes de dénigrements absurdes et grossières comme il l’a fait dès 2014 et plus récemment lors des élections départementales.

Voir notre article du 22 juillet 2021 intitulé Résultats des élections départementales 2021.

Rappelons que sans les votes des Bourbonnais, dont 55 % s’étaient abstenus, son binôme n’était pas majoritaire dans le canton. Il n’a vraiment pas de raison d’être fier et de clamer qu’il a désormais une carrière politique (ne riez pas…)

Elie PERRIOT ne fait que s’accrocher à la laisse tenue fermement par Nicolas LACROIX ou André NOIROT.


Ces élus se ridiculisent
Pas étonnant que Wikipédia leur ferme la porte !

Les ambitions déplacées de certains élus

Un élu local doit avoir des ambitions pour son territoire

Non pas pour sa personne comme il est trop souvent constaté

Bien qu’un grand nombre d’élus agissent uniquement pour l’intérêt général comme il se doit, d’autres n’ont que l’ambition de se voir aduler et même de s’enrichir aux frais du contribuable.

Citons quelques exemples proches :

Nicolas LACROIX est Le Président du Conseil Départemental de la Haute-Marne depuis 2017.

Dès sa prise de fonction à la suite de Bruno SIDO, il s’est lui-même auto-nommé président de plusieurs instances, présidences quasiment toutes rémunérées.

Il s’est permis de se commander un véhicule de près de 80 000 € avec pour excuse qu’il n’est pas un plouc ou un bouseux.

Nicolas LACROIX jongle avec les millions du Conseil Départemental et du GIP

En 2018 il avait commandité un million d’euros pour revoir le projet d’Animal Explora à Chateauvillain, projet de 20 ans qui était considéré comme le fer de lance du développement du tourisme en Haute-Marne et qui avait déjà coûté 10 millions d’euros. En décembre 2021 il décide d’enterrer le projet.

Le terrain est aujourd’hui rétrocédé à la commune de Chateauvillain et doit faire l’objet d’une remise en état de quelques millions supplémentaires financés par le Conseil Départemental.

Un réel gaspillage

Suite aux dernières élections départementales, Nicolas LACROIX avait déclaré avec une grande arrogance ne pas vouloir travailler avec les conseillers de l’opposition.

Tant pis pour la démocratie

S’agissant de l’offre hospitalière du sud-centre Haute-Marne, Nicolas LACROIX avait déclaré avec cette même arrogance en septembre 2021, la priorité c’est Chaumont, sans se préoccuper de l’opinion publique.

Aujourd’hui il soutient la proposition de l’ARS qui prévoit de construire un hôpital à Chaumont et un hôpital à Langres et une simple modernisation de l’hôpital de Bourbonne. En décembre 2022 Nicolas LACROIX avait annoncé un début des travaux début 2023.

En réalité, seuls les appels d’offres ont été lancés en mai 2023 et les travaux ne devraient commencer qu’en mai 2025 pour Langres pour un rendu en avril 2027 et les travaux de Chaumont ne devraient commencer qu’en février 2026 pour un rendu en janvier 2029.

Tant pis pour les hauts-marnais

Autre exemple très parlant et pas des moindres :

André NOIROT distribue les faveurs pour s’attirer des votes

De tout temps, il n’a fait que favoriser certains pour s’assurer le soutien électoral de leur famille.

Pour exemple, il a toujours choisi le personnel à embaucher en calculant combien de votes cela pouvait lui rapporter plutôt que pour leurs qualifications.

Il a utilisé les deniers des contribuables bourbonnais pour acheter des biens immobiliers à ses amis proches (700 K€ pour l’hôtel des Sources, entre autres)

Il rend les membres de son équipe municipale redevables afin qu’aucun n’intervienne en conseil :

  • Trois d’entre eux perçoivent aujourd’hui une indemnité bien que n’étant pas adjoints
  • La façade d’immeuble d’une conseillère a été repeinte sans autorisation et de couleur inexistante dans le nuancier de l’Architecte des Bâtiments de France
  • Le trottoir longeant la propriété de l’un des conseillers a été refait gracieusement pour lui
  • Grâce à André NOIROT, Elie PERRIOT, conseiller municipal, aujourd’hui premier adjoint, a pu construire son abri de piscine bien que refusé par le PLU (Plan Local d’Urbanisme) car moins de 5 mètres de la voie publique
  • Etc. etc. etc.

Les associations se voient attribuer des subventions plus ou moins élevées selon le soutien qu’elles apportent à André NOIROT ou pas (l’Union Sportive Bourbonnaise de football par exemple)

A retenir que chacune des faveurs que André NOIROT octroie est financée par le contribuable bourbonnais et non par son portefeuille personnel.

Tant pis pour les bourbonnais


Le déclin que connait la Haute-Marne et pire encore, Bourbonne, serait-il dû à ces élus trop ambitieux pour eux-mêmes ?

Pour rappel, en 2011, André NOIROT avait eu pour ambition de devenir Sénateur. Suite à son échec il a avoué à des proches que son seul regret était, non pas pour le siège mais pour la Carte de Crédit.

Quant à Nicolas LACROIX, sa dernière ambition fut de voir restaurer une page à son nom consacrée au Président du Conseil Départemental de la Haute-Marne sur Wikipédia.

Demande qui a reçu un refus des administrateurs de Wikipédia


L’ambition enivre plus que la gloire
Marcel Proust

Les élections sénatoriales 2023

Les sénateurs sont élus au suffrage universel indirect.

Le corps électoral est composé des grands électeurs, c’est-à-dire les députés et sénateurs, les conseillers régionaux du département, les conseillers départementaux et les délégués des conseils municipaux. Leur vote est obligatoire.

Les élections auront lieu le 24 septembre prochain.

Les élections sénatoriales ont lieu tous les trois ans. À cette occasion, la moitié des sièges est renouvelée, dont les deux sièges de la Haute-Marne cette année. La durée du mandat de sénateur est de six ans.

En 2017, plusieurs candidats à la présidentielle, dont Emmanuel MACRON, avaient pris l’engagement de limiter le cumul des mandats dans le temps en interdisant à tout élu d’occuper le même siège durant plus de trois mandats consécutifs.

Selon un sondage Odoxa réalisé en janvier 2016, trois Français sur quatre, citent comme prioritaire une réforme sur l’application du non-cumul dans le temps.

Un autre sondage d’Odoxa en 2017 montre que 77 % des personnes interrogées perçoivent cette mesure comme un outil nécessaire pour encourager le renouvellement de la vie politique.

Pour les promoteurs de la fin du cumul des mandats sur la durée, elle permettrait d’éviter d’avoir des politiques « carriéristes » et les contraindrait à agir sans craindre une défaite électorale au bout d’un certain temps. Une telle mesure éviterait aussi de voir s’installer des sortes de « baronnies » locales.

La démocratie prendrait tout son sens
L’espoir fait vivre !

En ce qui concerne la Haute-Marne, nos deux sénateurs actuels sont Charles GUENÉ et Bruno SIDO, tous deux élus au Sénat depuis 2001, soit 22 ans.

Charles GUENÉ a d’ores et déjà annoncé qu’il ne se représenterait pas. A l’inverse, Bruno SIDO, lui, sera à nouveau candidat.

Récemment, Anne-Marie NEDELEC, 70 ans, a annoncé qu’elle se portait candidate. Sa carrière élective a débuté en 1989 cumulant ensuite en nombre et dans le temps plusieurs mandats locaux et départementaux. Nicolas LACROIX, encore lui, déjà Président de tellement d’instances, se présente pour être son suppléant.

L’entre-soi, si typique en Haute-Marne continue

La Haute-Marne mérite des élus soucieux du quotidien et du cadre de vie des habitants.

Après tout nous ne sommes pas des ploucs ou des bouseux !

À partir des chiffres publiés par l’Insee, un cartographe, Jules Grandin, a réalisé des cartes des départements français comptant plus de vaches, porcs ou moutons que d’habitants.

Conclusion, la Haute-Marne compte plus de vaches que d’habitants avec, selon l’INSEE, 199 500 bovins contre un peu plus de 170 000 habitants.

Le déclin du département est évident. Certains élus (communaux, ou départementaux, ou autres) accrochés à leur(s) siège(s) depuis tellement d’années y ont très largement contribué, plutôt préoccupés à satisfaire leur ego et à se construire leur « petite baronnie » au détriment de la population.

A quand le vent nouveau ?


Le royaume de Haute-Marne

Alors que depuis plusieurs semaines, la France est secouée par de multiples manifestations, certains élus locaux, qu’ils soient municipaux ou même départementaux, restent préoccupés par leur image et leur bien-être personnel plutôt que celui de la population en général.

La Haute-Marne ne fait pas exception.

Au niveau municipal, Bourbonne en est le parfait exemple. En effet, l’équipe municipale, conduite par André NOIROT, a débuté ce mandat en approuvant une augmentation des indemnités de plus de 30 % et approuve sans aucune réserve absolument tout ce qui leur est présenté :

  • Les achats de biens immobiliers à des proches du Maire (l’étang)
  • Les exonérations de redevance des thermes pour satisfaire le concessionnaire qui investit ailleurs (Nancy, Royat)
  • Les emprunts multiples plaçant la commune au 31.12.2021 à la deuxième place après Chaumont du palmarès des communes de Haute-Marne les plus endettées par habitant (1 300€)
  • L’implantation d’éoliennes sur le territoire
  • Etc, etc, etc

On peut ajouter les copinages et passe-droits accordés par André NOIROT, tels que l’affaire de la maison Maignien avec des travaux ayant débutés sans permis tout comme la démolition du bâtiment à tourelle.
(Voir notre article du 21 mai 2021 dans la rubrique Urbanisme, intitulé Encore une démolition)

Au niveau départemental, la Haute-Marne a de longue date été présidée par des individus surtout soucieux de s’accrocher à leur siège en se comportant en petit roi.

Pour rappel, le quotidien France Soir avait publié une page le 11 avril 2011 intitulé:

Argent public : Un président de conseil général qui vit comme un roi

L’article relatait le comportement abusif du Président du Conseil Départemental d’alors, en l’occurrence Bruno SIDO surnommé « le roi Sido » qui menait illégalement (selon France-Soir) grand train de vie au préjudice du contribuable haut-marnais.

Aux frais du contribuable, il recevait régulièrement les élus autour d’un repas gastronomique bien arrosé avant de les retrouver dans l’hémicycle qu’il présidait.

Il était surnommé Le « monarque qui s’en fout » par les membres de sa propre majorité.

Sans complexe, il se servait de locaux et de personnels du Conseil Général pour ses fonctions de sénateurs et son usage personnel toujours aux frais des contribuables haut-marnais. Il utilisait par exemple son véhicule de fonction, la fameuse C6) du Conseil Général pour se rendre au Sénat.

Bien que condamné par la justice, Bruno SIDO est Sénateur de Haute-Marne depuis 2001. Il a, de plus, récemment déclaré qu’il se représenterait aux élections sénatoriales de Septembre 2023.

En 2017, Bruno SIDO avait laissé sa place de Président du Conseil Général à Nicolas LACROIX avec qui il a longtemps collaboré.

Ce dernier, est aujourd’hui Président (rémunéré) de tellement d’instances que l’on peut se demander où il trouve le temps de marcher à travers notre département afin d’échanger dans tous les territoires écouter et mieux comprendre les attentes de chacun, avait-il déclaré.

Etant donné son comportement autoritaire et tout à fait méprisant envers les élus de l’opposition du Conseil Départemental, nous nous demandons si ses périples ne l’ont pas rendu sourd.

Écouter est une chose, mais entendre est encore mieux

Nicolas LACROIX se permet de refuser de travailler avec les deux députés de la Haute-Marne et pourtant leur parti (Rassemblement National) avait recueilli l’une des plus vaste majorité des suffrages exprimés au second tour de la présidentielle (57 %). Son propre parti, Les Républicains n’avait recueilli que 5,16 %).

Nicolas LACROIX devrait garder en mémoire qu’aux élections municipales de son propre village (Bourdon-sur-Rognon) il n’était en 2014 que 9ème sur 11 et en 2020, 6ème sur 11. Aux dernières élections départementales il n’a recueilli que 30,57 % des inscrits de son canton.

Un peu d’humilité s’il-vous-plait

Nicolas LACROIX n’a eu aucun scrupule à faire payer les contribuables un véhicule de 78 000 €, estimant qu’il n’est pas un plouc. (Voir notre article du 1er mars 2022 intitulé : Un département de ploucs)

Dernièrement, Nicolas LACROIX, toujours préoccupé de se faire prendre en photo, a été « capturé » refusant la main tendue du Dr. Vincent ESCUDIER, représentant l’association Egalité, Santé. L’association promeut un Hôpital unique à Rolampont plutôt que la construction de deux hôpitaux neufs à Langres et à Chaumont ainsi que Nicolas LACROIX cherche à l’imposer après une volte-face sur le sujet, sans se préoccuper de l’avis des habitants.

Non content de ses multiples présidences, rémunérées pour la plupart, Nicolas LACROIX vient maintenant de présenter la création d’une Agence d’Attractivité et du Tourisme de la Haute-Marne, dont il sera le Président !

Thomas Corvasce, Directeur général de la Maison du Tourisme avait déclaré en janvier 2022 dans le journal La Voix de la Haute-Marne : en France il existe 35 agences d’attractivité et la Haute-Marne se trouve en queue de peloton à la 85ème place. Nous sommes bien loin d’être innovants et unique comme l’affirme Nicolas LACROIX.

Nous restons persuadés que l’attractivité d’un territoire passe obligatoirement par le comportement de ses élus.

La Haute-Marne n’est pas près de s’en sortir avec des élus qui se prennent pour des rois et maintenant agissent en petit empereur.

La réserve de “gens surpris” en Haute-Marne

Le journal d’information numérique Mediapart a publié samedi 27 août dernier, un article pour le moins intéressant concernant la Haute-Marne et le canton de Bourbonne Les Bains.

Suite aux dernières élections législatives, la Haute-Marne a changé de couleur politique et certains élus se disent surpris des résultats. La Haute-Marne fut longtemps représentée par des élus du parti des Républicains. Aux dernières élections législatives, les électeurs ont choisi pour députés des candidats soutenus par le Rassemblement National. Voir notre article du 15 juin 2022 intitulé Les élections, principe de base de la démocratie.

Interrogé par Mediapart, Nicolas LACROIX, Président du Conseil Départemental, du SDIS 52, du Mémorial, etc. etc. etc., se dit surpris et estime que la première circonscription de Chaumont était « imperdable » pour la candidate sortante, d’autant qu’il l’avait soutenu dit-il !

Nicolas LACROIX croit-il vraiment que les haut-marnais attendent d’avoir son avis pour faire leur choix ? Croit-il vraiment que ce soit son rôle de choisir avec qui il doit « travailler » et de ne surtout pas respecter le choix des électeurs. Comme tout élu il devrait plutôt travailler uniquement dans l’intérêt général et respecter les électeurs quel qu’ils soient.

Il choisit l’arrogance en déclarant je ne leur laisserai aucun espace, aucune marge, je ne compte pas travailler avec ces élus et d’ajouter en ce qui concerne la députée de la deuxième circonscription et conseillère départementale, Laurence ROBERT-DEHAULT je vais l’observer, la marquer. L’autre (Christophe BENTZ) je ne sais pas qui c’est dit-il.

Il fallait oser, quelle arrogance

L’arrogance dont fait preuve Nicolas LACROIX, et certains de ses collègues d’ailleurs, est très probablement ce qui a motivé le choix des électeurs.

La Haute-Marne a été gouvernée depuis des décennies par un groupe d’élus, qui ne s’est que très peu intéressé aux problématiques de ce territoire principalement rural en perte constante de population et d’opportunité. Ces élus se sont surtout préoccupés d’être présents à quelques inaugurations, se plaçant avant tout devant l’objectif de caméras et s’accrochant fermement bien sûr à leur siège d’élu.

Plutôt que de dénigrer lamentablement, Christophe BENTZ, le nouveau député de la première circonscription qui nous concerne, Nicolas LACROIX devrait respecter le choix des électeurs et se faire expliquer le mot démocratie en admettant que le parti du Rassemblement National est un parti tout aussi légitime que le parti des Républicains, des socialistes, des Verts, La République en marche, etc.

Christophe BENTZ a lui-même admis qu’il avait été parachuté. Nicolas LACROIX semble avoir oublié que Luc CHATEL l’avait été également.

Si Nicolas LACROIX pense qu’il suffit d’être né en Haute-Marne et d’y habiter pour la connaitre, il n’a rien compris au film

La Haute-Marne a bel et bien besoin d’un œil neuf qui pourrait amener d’autres solutions, idées, et actions nouvelles pour stopper le déclin évident au lieu de rester embourbé dans un autre siècle et d’en finir avec ce que déplorait en 2012 l’ancien préfet Claude MOREL « l’entre soi ».


Le journaliste de Mediapart a ensuite poussé jusqu’à Bourbonne pour rencontrer André NOIROT.

Ainsi nous apprenons que André NOIROT (bientôt 76 ans et non 73 ans) adore coller les affiches. Il aurait pu ajouter qu’il adore aussi décoller celles de ces opposants ainsi que quelques-uns avaient pu en témoigner en 2014.

André NOIROT admet que la commune a perdu 1 000 habitants en 30 ans. Il aurait pu ajouter que la dévolution n’a été constante que sous ses propres mandatures.

André NOIROT parle de Velux qui emploie près de 120 salariés. Il aurait pu ajouter que lui-même a toujours refusé l’implantation d’autres industries.

André NOIROT reconnait que le nombre de curistes n’est plus que de 4 000 (chiffres 2021). Il aurait pu ajouter que le concessionnaire n’a pas fait les travaux nécessaires au bon fonctionnement de l’établissement thermal et que lui-même n’a absolument rien fait pour que le contrat de concession soit respecté comme il se doit.

Le site de la MÉDECINE THERMALE nous révèle en 2019 que 10% à 25% du chiffre d’affaire annuel des exploitants est réinvesti dans la qualité des installations. Ces dernières années, tous les établissements thermaux ont été rénovés…

Du jamais vu à Bourbonne depuis 2004 (Valvital)

André NOIROT affiche la même arrogance que Nicolas LACROIX en osant dire que les électeurs auraient même voté pour « une bique ». Pour qui prend-il les électeurs ? Il semblerait que « l’dédé » non plus n’a rien compris au film.

L’dédé » non plus n’a rien compris au film

Sans surprise, les réponses de André NOIROT aux questions du journaliste de Mediapart sont plutôt décousues, passant du coq à l’âne, sans grand rapport avec le sujet.

Albert Einstein
La seule chose plus dangereuse que l’ignorance est l’arrogance

Les élections, principe de base de la démocratie

La démocratie est un système politique qui permet aux électrices et aux électeurs de voter pour élire les personnes candidates qui les représenteront et qui prendront des décisions en leur nom.

La participation électorale est considérée comme l’un des traits les plus caractéristiques de la bonne santé d’un régime démocratique.

Et pourtant l’érosion de cette participation amène à se demander pourquoi les électeurs choisissent l’abstention.

Pourquoi ?

Serait-ce un manque de confiance envers les élus ?

Que ce soit au niveau communal ou au niveau départemental et même national, il est vrai que le comportement de certains de nos élus n’inspire guère la confiance que nous devrions avoir en eux nous permettant de participer légitimement à leur élection.

En Haute-Marne par exemple, nous voyons des élus enracinés dans leur siège, refusant toute opposition constructive et préférant le dénigrement de leurs adversaires tel que pratiqué à Bourbonne.

Les dernières élections départementales de 2021 nous ont montré des candidats attachés surtout à occuper tous les sièges sous la bannière de leur Président, Nicolas LACROIX, obstruant ainsi la présence de plusieurs oppositions et donc d’un dialogue démocratique.

L’assemblée n’a d’ailleurs été que peu renouvelée puisque 70 % d’entre eux siégeaient auparavant, certains depuis plusieurs mandats et décennies.

André NOIROT avait enfin laissé sa place. Son poulain, Elie PERRIOT n’a été élu que grâce à Bourbonne, étant minoritaire dans le reste du canton. (voir notre article du 22 juillet 2021 intitulé Résultats des élections départementales 2021).

La place doit être bonne

Lors de ces élections départementales, seuls deux candidats d’opposition ont obtenu des sièges : Laurence ROBERT-DEHAULT et Michel KARAKULA pour Saint Dizier 1.

En début d’année, Laurence ROBERT-DEHAULT avait questionné le Président Nicolas LACROIX sur l’achat d’une DS9 pour un coût de 78 000 € payé par le contribuable. Nicolas LACROIX avait justifié cet achat en répondant que cela montre qu’on n’est pas un département de ploucs. Lors d’une séance suivante il a été jusqu’à déclarer qu’après tout lui n’était pas né avec une cuillère en argent !

En d’autres termes, ne m’embêtez pas avec vos questions, je la mérite !

Le Conseil Départemental souhaite inverser la courbe démographique et (re)donner de la fierté aux Haut-Marnais.

Dans ce but, il a été décidé de créer une nouvelle agence d’attractivité pour la Haute-Marne.

Sans surprise, le Président est Nicolas LACROIX.

Plus inquiétant, le Trésorier est André NOIROT. Lui qui endette sa commune a des niveaux records, va-t-il faire de même avec cette agence ?

Les Haut-Marnais devraient être fiers et confiants ?
Là, y a du boulot !

Récemment à Bourbonne, certains ont été surpris de constater la présence de Nicolas LACROIX aux côtés de André NOIROT et Elie PERRIOT pour « une journée portes ouvertes » d’une enseigne de la Grande Rue.

Nous félicitons les dirigeants, cependant, s’agissant d’une agence privée, la présence de ces élus est plus que curieuse et surtout discriminatoire envers les autres commerçants.

La charte de déontologie des élus met l’accent sur la prévention des conflits d’intérêts, garantie que l’action publique est menée dans le seul intérêt général. Concrètement, les membres du conseil municipal s’engagent, par exemple, à n’accorder “aucun avantage ou faveur à un individu ou à un groupe d’individus“.

Et nous devrions être fiers et confiants ?

Le seul intérêt général est trop souvent transformé en seul intérêt personnel ou de quelques-uns seulement en tout impunité d’ailleurs.

La fonction d’élu est devenue une « carrière » ne nécessitant aucun diplôme particulier ni compétence. Il suffit aujourd’hui de se rapprocher de quelques personnes ayant une soi-disant influence et le tour est joué. Face à une population trop souvent sans mémoire, l’élu se conduit ensuite en petit baron plutôt qu’en représentant de cette population et s’accroche confortablement à son siège pendant plusieurs mandats et même décennies comme constaté à Bourbonne.

Plus largement et actuellement nous voyons que plusieurs candidats, bien qu’ayant (ou eu) des démêlés avec la justice sont candidats à la députation ainsi que rapporté dans un article du Nouvel Obs du 10 mai 2022.

Violences conjugales, détournements de fonds publics, harcèlement… De nombreux députés mis en cause, condamnés ou poursuivis par la justice, ont été investis candidats par leur parti pour les législatives.

Nous nous devons d’utiliser notre droit de vote au moins par respect envers nos anciens qui se sont battus pour l’obtenir.

Par contre le respect des élus envers les électeurs est de plus en plus absent d’où une abstention grandissante.

Un département de ploucs

Faut-il rappeler que la Haute-Marne a inspiré de nombreux personnages illustres dans le monde entier. Citons-en quelques-uns :

  • Le Général De Gaulle à Colombey-Les-Deux-Eglises
  • Les frères Goncourt, créateurs de la célèbre Académie
  • Diderot, né à Langres créateur de l’encyclopédie
  • Voltaire, en résidence pendant 15 ans à Cirey-Sur-Blaise
  • Jeanne Mance, considérée comme la fondatrice de Montréal au Canada

Tous sont connus et reconnus pour leurs actions et leur travail


Nicolas LACROIX, président du conseil départemental de la Haute-Marne, vient de se commander un véhicule de luxe à 78 000 € aux frais du contribuable.

Selon lui, il s’agit de l’image du département, de l’attractivité du département pour montrer que la Haute-Marne n’est pas un département de ploucs.

Le dictionnaire nous donne une définition du mot plouc, synonyme de bouseux :

FAMILIER ET PÉJORATIF (INJURIEUX)
Paysan(ne) – Personne qui a des manières grossières.

Le plouc ou le bouseux se reconnait par son comportement et non par son apparence ou son véhicule, même si certains élus se comportent en véritables ploucs ou bouseux.

Le dicton ne dit-il pas :

L’habit ne fait pas le moine
Nous ajoutons : ni son véhicule



Si Nicolas LACROIX voulait que l’on parle de la Haute-Marne, c’est réussi. La presse locale mais également nationale se régale par la voix du Canard Enchainé.

Il est clair que Nicolas LACROIX ne doit pas bien connaitre son département. En effet, la voiture a été commandée en Côte d’Or alors même qu’il y a un concessionnaire en Haute-Marne (Saint Dizier). Pour combler le tout, la DS 9 est fabriquée en Chine.

Nicolas LACROIX, défenseur de son territoire ?

Et comme si cela ne suffisait pas, le voilà qui intitule son livre Et si les bouseux avaient des idées. (12 €)

D’où Nicolas LACROIX tire-t-il son inspiration ?

Afin de se démarquer, Nicolas LACROIX aurait pu commander un véhicule :

  • fabriqué en France
  • acheté en Haute-Marne
  • écologique
  • d’un prix accessible (moins de 10 000 €)

Il pourrait ainsi apprécier les paysages hauts-marnais avec ses routes défoncées et prendre le temps de rencontrer quelques ploucs et bouseux.

Les projets phares de Bourbonne Les Bains

Le Journal de la Haute-Marne du 12 janvier 2022 nous renseigne quant aux projets phares de quelques bourgs-centres du département.

Sans détailler les projets de chacun, retenons quelques-uns :

  • Joinville prévoit entre autres, l’aménagement du centre-bourg
  • Eurville-Bienville prévoit entre autres, la rénovation de l’école maternelle, des travaux de voierie « un peu partout dans la commune »
  • Chalindrey poursuit un cycle d’investissements débuté en 2014 avec un habitat toujours grandissant et prévoit entre autres la construction d’une résidence senior
  • La Porte-du-Der prévoit entre autres, de continuer son programme de réaménagement du haras afin d’accueillir les périscolaires, un city stade et une piste cyclable

Nous constatons que toutes ces communes ont réfléchi aux besoins et confort de leurs habitants.

Et maintenant voyons ce que André NOIROT prévoit pour Bourbonne


Outre la rénovation des thermes, André NOIROT n’annonce aucun projet de la commune, si ce n’est la réfection des réseaux de la commune. Il est vrai que les réseaux d’eau en particulier sont très vétustes. Certains n’ont pas fait l’objet d’investissements depuis plus de 40 ans ainsi que l’avait déclaré Patrick BREYER adjoint aux travaux. Cette réfection n’est donc pas un projet en soi mais plutôt un rattrapage de travaux qui n’ont pas été effectués comme il se doit.

Quant à la rénovation des thermes, il fallait s’y attendre. Depuis 2006, la modernisation de l’établissement thermal a été la seule préoccupation de André NOIROT car à la demande du concessionnaire VALVITAL.

Dès que la commune est devenue propriétaire des murs de l’établissement thermal en 2006, Bernard RIAC, PDG de Valvital, a réclamé une modernisation des bâtiments.

André NOIROT déclare dans l’article qu’il a bon espoir de redévelopper la fréquentation du site et qu’en 2019 il y a eu 7 500 curistes. Rappelons qu’en 1986 Bourbonne a connu jusqu’à 16 000 curistes.

Cela fait près de 20 ans que André NOIROT a cet espoir, qui ne reste qu’un espoir !

Depuis que VALVITAL a pris possession de la concession en 2004 avec 12 500 curistes, la perte a été de 66,6 %. (voir notre article du 14 décembre 2020 intitulé « Chute de la fréquentation des thermes » )

Entre parenthèses, si l’on peut croire que 4 000 curistes ont été reçus en 2021 contre 7 500 en 2019, la baisse représente une chute de 46 %.

Les fermetures forcées dues à la crise sanitaire n’ont pas pour autant motivé Valvital à engager des travaux ne serait-ce que d’entretien, d’autant que André NOIROT avait exonéré le concessionnaire de redevance pour deux années. Carole RECOUVREUR, directrice des thermes, avait déclaré le 12 mai 2021 à France 3 régions :

« Nous avons pu bénéficier du chômage partiel , de 15.000€ de chèques cadeaux du conseil départemental, de la suppression de la redevance pour l’eau que nous payons à la commune pour 2020 et 2021 et, depuis janvier 2021, nous sommes entrés dans le dispositif des 70% de charges fixes prises en charge par l’Etat mais nous avons consommé en grande partie notre PGE (prêt garanti par l’Etat ndlr) », expose Carole Recouvreur.

Bernard RIAC serait-il atteint du syndrome de Picsou ? celui qui en veut toujours plus

Et André NOIROT de lui servir sur un plateau


Si l’établissement, qui n’a que 45 ans, doit être moderniser, ce n’est pas aux bourbonnais de payer.

Si l’établissement n’a pas été entretenu comme il se devait, ce n’est pas aux bourbonnais d’en payer les conséquences. Les articles 10 et 11 et 15 du contrat de concession sont très clair à ce sujet :

Article 10

Projets de construction
Les projets de construction, d’acquisition ou de modification, autres que de détail ou de simple entretien, de tous ouvrages et installations seront soumis à l’approbation du propriétaire.

Article 11

Etat descriptif
Les frais résultant de ces opérations seront à la charge du concessionnaire.

Article 15

Travaux d’entretien
Pendant toute la durée de la concession, le concessionnaire sera tenu d’exécuter, à ses frais, à l’établissement thermal et à ses dépendances, tous les travaux d’entretien même ceux de grosses réparations et de constructions nécessaires au maintien en bon état des installations, de manière à ce qu’elles conviennent toujours à l’usage auquel elles sont destinées.

Plutôt que de satisfaire les desideratas de Bernard RIAC, André NOIROT devrait se préoccuper des besoins des habitants, payeurs de ses lubies

Historique du Casino de Bourbonne Les Bains

En 1806 un décret de Napoléon 1er autorise les maisons de jeux dans les stations balnéaires et thermales et dans la ville de Paris. Il voulait combattre la clandestinité et le blanchiment de devises.

En 1969, un nouveau décret intègre trois jeux américains (la roulette, le blackjack et le craps).

A Bourbonne, le premier établissement thermal est construit en 1783.

Napoléon III visite Bourbonne en 1865.



Jugé inapproprié, un nouvel établissement est construit de 1877 à 1883. Une salle de jeux y est adossée sous forme de véranda typique de la fin du XIXème siècle.
En 1975, le bâtiment des thermes et la véranda sont entièrement démolis.

Un bâtiment existait cependant dans le parc près des colonnes romaines.Il comprenait un théâtre, un cinéma et une discothèque et par la suite une salle de jeux. Nous n’avons pas la date de construction de ce bâtiment, cependant son architecture nous suggère un style art déco (1920) et bénéficiait d’un parc apprécié de tous.

De 1975 à 1977, la démolition et reconstruction des thermes ont impliqué la démolition du parc mais également une rénovation du cinéma théâtre et cinéma qui incorporera éventuellement le casino.



Le 22 décembre 1999, le conseil municipal rend un avis favorable sur l’autorisation d’exploiter les jeux, et approuve le projet de cahier des charges, le projet de traité de concession.

Début 2000 un premier appel à candidature est lancé, le délai expirant le 18 février. Le 21 février le conseil municipal proroge ce délai au 31 mars 2000 à 17h.

Le 26 avril 2000 à 14h30, la commission d’ouverture des plis est réunie. Elle prend connaissance des offres présentées et émet un avis favorable au libre engagement de toute discussion par le Maire avec les cinq sociétés comme la loi Sapin le permet.

Les cinq sociétés candidates sont reçues du 9 mai 2000 après-midi au 24 mai 2000 matin.

Un rapport du Maire, André NOIROT, est ensuite produit détaillant le calendrier et toute la procédure engagée. Un tableau comparatif des propositions des candidats est joint à ce rapport.

L’une des sociétés candidates, le groupe X, proposait :

  • Un prélèvement de 15 % dès le premier franc
  • Un soutien direct à l’OTSI de 200 000 F (30 500 €) dès l’autorisation des jeux
  • Le maintien de la propriété par la ville
  • 40 emplois + saisonniers
  • 120 000 F/an (18 300 €) de redevance d’occupation
  • 5 000 F/an (763 €) licence IV + toutes taxes
  • Transformation, maintien des éléments solides réutilisables de l’existant

André NOIROT conclut le rapport ainsi :

Après examen détaillé des propositions des cinq candidats, je propose de retenir l’offre du Groupe X présentée par Madame D, s’avérant la mieux-disante.

Jusque-là tout va bien

Au conseil municipal du 22 octobre 2021, Christian TROISGROS a rappelé que la concession avait été signée le 12 Octobre 2000 avec le groupe EMERAUDE, soit 4 mois et demi plus tard.

La question se pose, que s’est-il passé pour que André NOIROT change d’avis en si peu de temps ?

La proposition du groupe EMERAUDE était pourtant bien moins avantageuse pour la commune :

  • Un prélèvement par palier de 7 à 10 %
  • Soutien à l’OTSI de 75 000 F (11 500€)
  • Demande la propriété de l’emprise
  • Pas de redevance d’occupation ni de Licence IV car propriétaire
  • Démolition et reconstruction totale
  • Construction d’un hôtel 4 étoiles

Au final, nous avons aujourd’hui :

  • Un taux de prélèvement moindre
  • Une participation à l’OTSI moindre
  • Un casino complètement démesuré et certains disent même digne de Disneyland, ainsi que la destruction d’un patrimoine
  • Un hôtel qui n’a jamais vu le jour
  • Des colonnes romaines qui n’ont jamais été remises en place en dépit des demandes des services archéologiques
  • La destruction d’un niveau organique chargé de mobilier antique ainsi que le décrit le rapport du Directeur des services d’archéologie de 2004

La décision d’un Maire ne devrait être prise que sur la base des avantages pour la commune et de personne d’autre.

Annulation des festivités à Bourbonne Les Bains

Partout en France, ont été organisées diverses festivités dans le but de récolter des dons au bénéfice du Téléthon.

En France, le Téléthon est un événement caritatif organisé depuis 1987 par l’Association française contre les myopathies (AFM) pour financer des projets de recherche sur les maladies génétiques.

Cet évènement était prévu également à Bourbonne. Un grand nombre de personnes s’y étaient préparées et avaient préparé, par exemple des pâtisseries. Les festivités étaient principalement prévues en extérieur.

Malheureusement la municipalité a décidé d’annuler au dernier moment cet évènement.

En raison des conditions sanitaires, c’est avec un immense regret que nous sommes contraints d’annuler l’édition du téléthon 2021.

Ce message est paru sur le site internet de la commune en fin de matinée, le 4 décembre, soit la veille. La plupart des associations concernées ne l’ont appris que par accident.

L’on peut se demander ce qui a pu motiver cette annulation.

Certainement pas les conditions sanitaires

Les contraintes sanitaires connues depuis maintenant plusieurs mois, sont les mêmes à Fayl-Billot ou Langres ou encore Jussey et il n’y a pas eu d’annulation.

Non seulement le Festival de l’eau n’existe plus depuis 2019, voilà qu’en 2021, les feux d’artifice du 14 juillet 2021 ont été annulés, et maintenant le téléthon 2021.

La météo, le Coronavirus… tout sauf la vérité

Rappelons que André NOIROT avait choisi un conseiller délégué en charge de l’évènementiel. Ce conseiller, Damien CORNU perçoit une indemnité pour cette fonction. Nous voyons que cette indemnité ne lui sert qu’à annuler le peu d’évènements festifs qu’il devait gérer.


L’indemnité va-t-elle être annulée ?


Qu’en est-il de Bourbonne ?

On le sait, le départ des curistes se traduit chaque année par une certaine hibernation de la commune.

Mais là, elle est clairement dans un sommeil très profond.

Dernière minute : Annulation de l’audition de Noel

Rien à voir avec la crise sanitaire

André NOIROT et cette municipalité préfèrent gaspiller nos deniers sur des achats immobiliers inutiles ou encore des balayeuses à des prix exorbitants plutôt que de permettre aux habitants de profiter de moments festifs.

Les finances de la commune doivent vraiment être si réduites par les dépenses extravagantes décidées par André NOIROT ces dernières années, à tel point qu’il n’est même plus possible de financer d’évènements pour le plaisir des habitants/payeurs.

Le Père Noël va-t-il oser venir à Bourbonne ?