Meilleurs vœux pour l’année 2023

L’année 2022 nous a donné matière à plusieurs articles mettant en lumière en particulier certaines décisions prises par ce conseil municipal, décisions qui chaque fois, ont coûté cher au contribuable que nous sommes.

Plutôt que de toujours approuver tout ce qui leur est présenté selon la volonté de André NOIROT, nous nourrissons l’espoir qu’en 2023, les membres du conseil municipal vont enfin « travailler » selon les principes de la charte de l’élu local qu’ils ont eux-mêmes approuvée lors de leur élection.

Rappelons les principes de la charte de l’élu local pour ceux qui ne l’ont toujours pas comprise :

Charte de l’élu local

  • L’élu local exerce ses fonctions avec impartialité, diligence, dignité, probité et intégrité
  • Dans l’exercice de son mandat, l’élu local poursuit le seul intérêt général, à l’exclusion de tout intérêt qui lui soit personnel, directement ou indirectement, ou de tout autre intérêt particulier
  • L’élu local veille à prévenir ou à faire cesser immédiatement tout conflit d’intérêts. Lorsque ses intérêts personnels sont en cause dans les affaires soumises à l’organe délibérant dont il est membre, l’élu local s’engage à les faire connaître avant le débat et le vote
  • L’élu local s’engage à ne pas utiliser les ressources et les moyens mis à sa disposition pour l’exercice de son mandat ou de ses fonctions à d’autres fins
  • Dans l’exercice de ses fonctions, l’élu local s’abstient de prendre des mesures lui accordant un avantage personnel ou professionnel futur après la cessation de son mandat et de ses fonctions
  • L’élu local participe avec assiduité aux réunions de l’organe délibérant et des instances au sein desquelles il a été désigné
  • Issu du suffrage universel, l’élu local est et reste responsable de ses actes pour la durée de son mandat devant l’ensemble des citoyens de la collectivité territoriale, à qui il rend compte des actes et décisions pris dans le cadre de ses fonctions

Pas bien compliqué… pourtant

Avec André NOIROT pour Maire, le débat est non seulement canalisé, mais cadenassé de la manière la plus autoritaire et caricaturale qui soit. Les conseils transpirent la condescendance, la peur, et reflètent une conception totalement dépassée de la politique locale.

Avec André NOIROT, la commune s’est endormie et ne fait plus que ronronner depuis plusieurs décennies sous sa gouvernance.




A noter cependant que la commune a connu un léger sursaut entre 2014 et 2018 avec une autre équipe municipale.

Le 13 décembre 2022 est paru le dossier complet des statistiques de l’INSEE concernant Bourbonne-Les-Bains.

Le site ville-data.com offre également des informations intéressantes:

Le nombre d’habitants de Bourbonne les Bains est de 1901 personnes en 2022, la population de Bourbonne les Bains est en baisse.

Précisons que ce chiffre comprend Villars et Genrupt.

Avec maintenant seulement 1901 habitants, la baisse est de 37%, baisse constante et drastique uniquement sous les mandats de André NOIROT.

Que ce soit Langres, Chaumont ou Aigremont…

Nous ne trouvons aucune commune de Haute-Marne ayant connu une telle dévolution


Les membres de ce conseil municipal vont-ils un jour se réveiller pour agir et réagir à ce déclin insoutenable mené par André NOIROT depuis tant d’années ?


Délégations d’attribution du Conseil Municipal au Maire

Lors de la dernière réunion du conseil municipal du 18 octobre 2022, une délibération a été votée à l’unanimité bien sûr pour donner encore plus de pouvoir à André ANOIROT.

Un conseil municipal nouvellement élu, doit par délibération voter une liste de délégations de pouvoir au maire. Ainsi, en Octobre 2018, puis en juin 2020, 28 délégations ont été votées donnant quasiment plein pouvoir ou presque à André NOIROT.

L’une de ces délégations concerne le droit de préemption. Voici la délibération votée le 5 octobre 2018 par l’équipe de André NOIROT:

Exercer, au nom de la commune, les droits de préemption définis par le code de l’urbanisme, que la commune en soit titulaire ou délégataire, de déléguer l’exercice de ces droits à l’occasion de l’aliénation d’un bien selon les dispositions prévues à l’article L.211-2 ou au premier alinéa de l’article L.213-3 de ce même code dans les conditions que fixe le Conseil Municipal.

Six Mois plus tard, le 14 mars 2019, cette même délibération a dû être abrogée et remplacée pour fixer les conditions du conseil municipal. En effet il fallait établir les limites de l’exercice de cette délégation, c’est-à-dire le montant.

La limite fixée par le Conseil municipal de 2014 à 2018 était de 90 000 €. Le 14 mars 2019, puis le 9 juin 2020, le conseil municipal l’a remplacé pour fixer un montant de 200 000 €.

En clair, le Maire pouvait dès lors aliéner donc préempter un bien jusqu’à 200 000 € sans consultation du conseil municipal. Le Maire a seulement un devoir d’information postérieur envers le conseil municipal.

Par ailleurs, ainsi que l’impose le second alinéa de l’article L. 210-1 du code de l’urbanisme, toute décision de préemption doit mentionner l’objet pour lequel ce droit est exercé. Par conséquent, si le maire a reçu délégation du conseil municipal en matière de droit de préemption urbain, sa décision de préemption, qui se traduit normalement par un arrêté municipal, devra être motivée ; la délégation précitée inclut la motivation des décisions prises. Il convient de souligner que la motivation de la décision de préemption constitue une formalité substantielle dont la méconnaissance entache d’illégalité la décision considérée. La motivation, qui est concomitante à la décision, doit mentionner l’objet précis pour lequel le droit est exercé.

Depuis 2019, André NOIROT a fait usage de ce droit de préemption sans motivation précise :

  • La maison de la rue de l’hôtel Dieu
  • La maison Guyot, soi-disant pour le parc
  • L’étang Fallot

Ces biens sont tous aujourd’hui à l’abandon

Pour rappel :

La maison rue de l’Hôtel Dieu, située dans le périmètre des 500 m de l’Eglise classée. La maison était sous compromis de vente lorsque André NOIROT est intervenu soi-disant pour démolir afin d’ajouter des places aux parking adjacent desservant de plus le cabinet médical d’une adjointe du Maire.

La maison GUYOT était sous compromis de vente. André NOIROT s’est présenté aux futurs acheteurs leur déclarant que lui avait tous les droits. Il voulait récupérer une partie du terrain. Au conseil municipal il a nié vouloir aménager des places de parking pour l’immeuble près de la poste dont la rénovation était commanditée par l’un de ses amis proches et a miraculeusement parlé d’un projet d’aire de jeux.

L’étang FALLOT est alimenté par la commune depuis un certain nombre d’années avec l’accord de André NOIROT, bien que privé. Au Conseil municipal, il a été jusqu’à déclarer qu’un projet de création d’une coulée verte existait depuis 1989 ! Ce projet, s’il existait, n’a laissé aucune trace. Aujourd’hui propriété de la commune, donc des bourbonnais, ;l’étang est fermé au public sauf à quelques-uns bien sûr !

Aucun de ces soi-disant projets ne s’est concrétisé

Il est maintenant évident qu’une limite à 200 000 € n’était pas suffisante pour André NOIROT car selon la délibération présentée par Elie PERRIOT au conseil municipal du 18 octobre dernier, la limite est maintenant fixée à

300 000 €

Sachant que lorsque la commune est destinataire d’une Déclaration d’Intention d’Aliéner, le délai de réponse est de deux mois : Lorsque la commune ne répond pas, on considère qu’au bout de deux mois après avoir reçu la DIA, son silence vaut renonciation définitive à son droit de préemption pour acquérir le bien.

Autrement dit, si la commune n’a pas l’intention d’exercer l’usage de son droit de préemption, il n’est absolument pas besoin de réunir le conseil municipal si le délai de deux mois est passé quel que soit le montant fixé.

Sachant que aucun membre de ce conseil municipal n’oserait apporter une objection ou même une remarque ou question sur tout ce qui leur est présenté, André NOIROT n’a réellement pas besoin de les réunir.

En d’autres termes, André NOIROT pourra dorénavant décider tout seul d’acquérir un bien jusqu’à 300 000 € toujours avec le seul devoir d’informer postérieurement le conseil municipal

La réunion du conseil municipal du 16 mars 2022

Qu’est-ce qu’un conseil municipal ?

C’est une assemblée élue qui règle publiquement par ses délibérations les affaires de la commune, vote le budget communal et contrôle l’administration du maire.

La dernière réunion a duré à peine une heure, comme d’habitude d’ailleurs.

Il est vrai que la présentation des comptes administratifs peut être très complexe. Encore faut-il que chacun comprenne ce qui est présenté et que des explications soient données.

Après tout, pourquoi s’embarrasser avec des explications puisque tous approuvent à l’unanimité tout ce qui leur présenté sans questions ni commentaires.

A croire, soit que ces élus n’ont pas la capacité de comprendre ou bien que ces mêmes élus sont terrorisés face à André NOIROT, ou peut-être les deux.

Pour rappel, l’année 2020 s’est terminée avec un endettement de 3 041 000 € soit 106 % de ses revenus. En effet si l’on rapporte cette dette au total des rentrées d’argent de la commune (que l’on nomme produits de fonctionnement) et qui étaient de 2 848 000 €, alors cette dette représente : 106 % de ses revenus annuels.

En d’autres termes, depuis le retour de André NOIROT aux manettes de la commune, l’endettement a augmenté de 120 % passant de 666 € par habitant à 1464 €.

Nous nous doutons bien que la situation financière de la commune doit être particulièrement délabrée pour la passer sous silence.

Les comptes pour l’année 2021 ont été mis en ligne sur le site de la commune.

Une première analyse permet de constater qu’entre 2020 et 2021 :

  • Les charges de personnel ont augmenté de 116 511,72 €
  • Les indemnités des élus ont augmenté de 17 729,48 €
  • Les recettes des impôts et taxes ont diminué 65 298 € (moins d’habitants)
  • Les remboursements des emprunts et dettes ont augmenté de 117 219,82 €

N’oublions pas que ces mêmes élus avaient accordé l’exonération de redevance de VALVITAL et du Casino pour 2020 et 2021 tout en s’octroyant des augmentations d’indemnités de plus de 320 € chacun soit +35 %. (voir notre article du 31 août 2020 intitulé Augmentation des indemnités des élus)

Ils avaient été jusqu’à ajouter trois conseillers délégués percevant chacun une indemnité de 352,97€/mois sans que l’on puisse identifier ce qu’ils font. En effet les fêtes sont systématiquement annulées, les relations avec les thermes sont inexistantes et les travaux des rues Vellonne et Amiral Pierre sont plutôt matière à moquerie pour quiconque venant à Bourbonne.

Il est déplorable que la gestion calamiteuse des finances de la commune ne semble pas inquiéter André NOIROT et son équipe

Plutôt que de s’en inquiéter et d’intervenir entre autre auprès du concessionnaire des thermes, VALVITAL, quant à l’ouverture décalée des thermes, et l’arrivée de si peu de curistes, les élus préfèrent se concentrer sur la dénomination de salles du Clocheton.

N’ont-ils vraiment rien d’autre à faire ?
Avec une telle gestion, « on n’est pas sorti de l’auberge »

Exemplarité et probité des élus

Nous sommes à la veille des élections présidentielles 2022. Les prétendants courtisent les élus locaux à la recherche de parrainages leur permettant de devenir candidats.

Les élus locaux sont aussi bien les sénateurs, les députés, les conseillers départementaux et régionaux que les maires et maires délégués.

Au final, le citoyen ne pourra voter que pour des candidats soutenus par les élus locaux.

Autrement dit nous sommes à la merci de ces élus qui ne sont malheureusement pas toujours exemplaires ni intègres dans l’exercice de leur fonction.

Les exemples sont multiples et à tous les niveaux. Pour n’en citer que quelques-uns,

Jérôme CAHUZAC, ancien ministre du budget socialiste, condamné pour fraude fiscale, avec 5 ans d’inéligibilité.

Patrick BALKANY, député-maire Les Républicains, de Levallois-Perret (Hauts de Seine) et son épouse et première adjointe, condamnés pour fraude fiscale massive entre autres, avec 10 ans d’inéligibilité

Bruno SIDO, Sénateur Les Républicains, avait été condamné pour « omission » dans sa déclaration de patrimoine et blanchiment de fraude fiscale, toujours élu.

Exemplarité ?????

Le manque de confiance et de considération des citoyens pour leurs élus est de plus en plus évident et a pour conséquence un taux d’abstention important.

À l’inverse, le manque de considération de nos élus pour les citoyens est pourtant bel et bien existant dans notre société qui se dit démocratique, en particulier au niveau communal.

La première marche de l’échelle électorale se trouve être l’élection municipale.

On a assimilé volontiers la pratique de la démocratie à l’exercice du droit de vote. Or, s’agit-il de démocratie dans les communes de plus de 1 000 habitants lorsque les citoyens sont appelés à voter pour une liste complète sans rayer.

Toute personne désirant participer activement à la vie municipale doit constituer ou s’inscrire sur une liste. L’électeur n’a que le choix d’une liste ou une autre et ne peut en changer l’ordre.

Le maire est ensuite élu non pas par les citoyens mais par les membres de la liste majoritaire.

Une fois élu, le maire demande aux conseillers de lui accorder un certain nombre de délégations.

À Bourbonne, le conseil municipal a accordé un maximum de délégations à André NOIROT, lui donnant ainsi l’illusion d’avoir tous les droits en toute impunité.

Il faut savoir toutefois que les élus, parce qu’ils exercent une fonction publique, sont visés par des infractions pénales spécifiques lorsque jugés coupables de délits institutionnels.

Les délits en question sont prévus aux articles 432-1 à 432-16 du code pénal. Ils peuvent être rangés en deux catégories : les abus d’autorité et les manquements au devoir de probité. (délit de favoritisme, la prise illégale d’intérêt, la concussion, la corruption passive et le trafic d’influence, etc.).

Le signe distinctif de l’autorité de la fonction de maire – c’est d’abord incarner le triptyque de la devise républicaine « Liberté, Égalité, Fraternité ».

Malheureusement, pas pour tous

André NOIROT a de tout temps accordé des « faveurs » à quelques-uns dans le but de les asservir.

Pour exemple : début décembre dernier, André NOIROT a décidé d’annuler le TELETHON la veille même de l’évènement du 6 décembre prétextant la crise sanitaire et un arrêté préfectoral qui n’a jamais existé (voir notre article du 16 décembre intitulé André NOIROT assume ses décisions) tout en autorisant que se tienne le soir-même une réception des pompiers pour la Sainte Barbe.

Ils étaient une soixantaine de convives dans la salle des fêtes, salle communale dont l’utilisation exige l’accord du maire.

Probité ?????

C’est officiel
Bourbonne n’est plus qu’un village

Historiquement, toute commune qui compte moins de 2 000 habitants est considérée comme un village.

Les derniers chiffres de l’INSEE sont parus. Les chiffres en vigueur pour Bourbonne sont affichés à 1 977 dont 102 à Villars St Marcellin et 58 à Genrupt soit

1817 pour Bourbonne seul

Reprenons les chiffres de l’INSEE, chiffres en vigueur au 1er janvier des dernières années en comparant avec Chalindrey, Fayl-Billot et Val de Meuse.

Ville 2019 2020 2021 2022 TOTAL
Bourbonne 2133 -60 2073 -48 2025 -48 1977 -156
Chalindrey 2436 -29 2407 +25 2432 -3 2429 -7
Fayl Billot 1326 -3 1323 -12 1311 -13 1298 -28
Val de Meuse 1875 -14 1861 -15 1846 -14 1832 -43

Les historiens et plus récemment les statistiques ont depuis, la nuit des temps, dénombré 3 000 à 4 000 habitants à Bourbonne.

André NOIROT fut adjoint au maire avant sa prise de fonction de maire en 1989. Le nombre d’habitants était alors de 3 022. Avec André NOIROT l’hémorragie démographique a été continue avec seulement une courte pause entre 2014 et 2018.

Nous pouvons constater qu’avec André NOIROT Bourbonne a perdu près de 53 % de ses habitants.

Comme si cela ne suffisait pas, selon l’INSEE, le nombre de logements vacants était de 120 en 1990 pour en compter 469 en 2018, soit une augmentation de 290 %.

La lanterne rouge pour André NOIROT

Sa recherche constante de soutien au sein du conseil départemental n’a rien apporté à la commune de Bourbonne et ses habitants si ce n’est quelques médailles personnelles qui ont, sans aucun doute, dû flatter son ego.

À noter qu’un article de La Voix de la Haute-Marne du 4 janvier 2020 rapportait :

On vote pour son maire, pas pour son parti ». Nicolas Lacroix, secrétaire départemental des Républicains, estime que l’élection municipale n’est pas une affaire d’étiquette politique.

Et pourtant Nicolas LACROIX était venu en personne soutenir André NOIROT en campagne électorale des municipales de septembre 2018, accompagné de Gérard GROSLAMBERT, Bruno SIDO et Christine GUILLEMY. Ceux-ci se sont grassement amusés d’une remarque moqueuse de André NOIROT faite à un conseiller municipal sortant.

Sans aucune gêne ni discrétion, Nicolas LACROIX et Gérard GROSLAMBERT étaient même venus féliciter André NOIROT le soir même du dépouillement sans se préoccuper de règles de bienséance.

L’élection municipale n’est pas une affaire d’étiquette politique !
Balivernes

Rappelons de plus que lors des élections départementales 2021, les candidats se sont empressés de se présenter sous la bannière de Nicolas LACROIX.

Quelle est cette démocratie ?

Dans le canton de Bourbonne, nous l’avons déjà vu, les deux conseillers départementaux n’ont été élus que grâce à la commune de Bourbonne et à un taux d’abstention assez remarquable, malgré un nombre de procurations élevé et des taxis qui sillonnaient la commune pour chercher des électeurs, répondant aux ordres du maire et conseiller départemental sortant, en l’occurrence André NOIROT.

Un principe de base dans une société démocratique est le fait que le pouvoir s’exerce avec respect pour les droits de l’homme. Cela signifie que ceux qui décident n’ont pas le droit d’oppresser des personnes ou des groupes dont les opinions diffèrent des leurs.

Ça, c’est en principe
La réalité est toute autre
Bourbonne en est le parfait exemple

André NOIROT l’a bel et bien démontré depuis toujours, et le démontre encore aujourd’hui.

André NOIROT a toujours « misé » sur l’attractivité des thermes et uniquement des thermes. Or, une commune n’est pas un casino. Plutôt que de s’allier à un concessionnaire (Valvital) qui ne respecte pas les clauses de son contrat et qui, depuis son arrivée sur la commune (2004) a divisé par deux le nombre de curistes, André NOIROT aurait dû agir et réagir sur l’attractivité du territoire.

Une étude sur l’attractivité territoriale de janvier 2020, menée dans le sud de la France, dans son paragraphe 1.1 intitulé L’attractivité au service de la compétitivité des territoires… et vice-versa est très explicite sur le sujet.

L’attractivité favorise la compétitivité des territoires et plus un territoire est compétitif, plus il est attractif. Les facteurs de compétitivité les plus cités sont la dynamique de l’emploi et l’innovation.

André NOIROT a toujours refusé l’implantation d’entreprises pouvant apporter une concurrence pourtant si nécessaire à la population. Nous l’avons vu avec les diverses tentatives d’installation de médecins mais également d’autres entreprises ou de commerces qui auraient pu « gêner » ses amis.

Bourbonne n’a jamais connu un tel déclin



Le journal l’Affranchi du 7 janvier 2022 nous explique que si le rapport de l’INSEE annonce une population légale 2019 de 172 512 habitants en Haute-Marne, l’organisme estime qu’il n’y avait plus que 168 231 habitants en Haute-Marne en 2021. La perte d’habitants aurait donc continué aux cours de ces deux dernières années.

Que va-t-il en être pour Bourbonne ?

Tout comme Bourbonne, La Haute-Marne s’obstine dans des choix dépassés en embusquant tout un territoire au nom d’un parti politique. Pourtant les finances du Conseil Départemental sont alimentées par les habitants pas par un parti politique quel qu’il soit.

La Haute-Marne se trouve gouvernée par une assemblée qui ne change guère depuis des décennies. Des projets ambitieux et à grands frais ont été élaborés sans pour autant aboutir. Dernier en liste, le projet du parc aux Daims de Chateauvillain qui est maintenant stoppé après avoir dépensé 11 millions d’€ en études, etc. sans compter qu’il faut remettre le parc en état pour le rendre à la commune.



En Avril 2021, Aurèlie FIPETTI, ancienne ministre, avait déclaré lors de sa visite du futur parc aux daims de Chateauvillain « je ne pensais pas qu’en 2021 certains responsables politiques pouvaient soutenir des choses si absurdes, contraires à l’environnement et extrêmement coûteuses et avait qualifié le projet de pharaonique, obsolète et destructeur »

Il y a plus de 15 ans, André NOIROT avait un projet pour les thermes de Bourbonne, projet tellement pharaonique, obsolète et coûteux qu’il n’a pu voir le jour faute de financements.

Après avoir englouti plus d’un million de nos euros dans ce premier projet (achat de l’hôtel des sources, études, etc.) André NOIROT insiste et prévoit maintenant des travaux dans l’établissement thermal financés par le contribuable bien qu’incombant au concessionnaire (Valvital) objet d’un futur article.

Pense-t-il ainsi repeupler Bourbonne ?


À ce rythme il n’y aura plus assez d’habitants pour payer quoique ce soit


André NOIROT assume ses décisions !!!

Mardi 7 décembre 2021, le conseil municipal s’est réuni.

Le 10 décembre nous avons publié un article intitulé Annulation des festivités a Bourbonne Les Bains. Nous demandions pourquoi tant de festivités étaient annulées au dernier moment sans en donner les raisons.



Pour faire suite, le 13 décembre, le Journal de la Haute-Marne a publié un compte-rendu de la réunion du conseil municipal.

S’agirait-il d’une coïncidence… ou pas … !

Parmi les points abordés, nous pouvons remarquer qu’alors que l’un des conseillers municipaux lui fait part du vent de mécontentement suite à l’annulation du Téléthon à Bourbonne, André NOIROT, comme à son habitude, sans répondre à la question, a préféré répondre sur un autre évènement, en stipulant que la Sainte-Barbe qui devait se dérouler ce soir-là avait été annulée par décision préfectorale.

D’où l’expression : se cacher derrière son petit doigt

D’une part, bien que traditionnellement fêtée le 4 décembre, à Bourbonne la Sainte-Barbe, Sainte patronne des pompiers, a toujours été célébrée début janvier.

D’autre part, il n’y a eu aucun Arrêté de la préfecture concernant l’annulation du téléthon, ni même de la Sainte Barbe à Bourbonne ni ailleurs en Haute-Marne.

André NOIROT a conclu qu’il assumait sa décision après l’avoir rejeté sur le dos de la Préfecture.

Monsieur le Préfet va apprécier

André NOIROT n’a jamais assumé aucune de ses décisions. Il a constamment accusé un tiers lorsque sa décision générait un vent de mécontentement.

C’est pas moi, M’sieur, c’est l’autre !
Quelle pleutrerie

Damien CORNU, conseiller municipal délégué à l’évènementiel et percevant une indemnité pour cette fonction, a choisi, tout comme André NOIROT, ne pas répondre sur les raisons des annulations. En bon élève, il a préféré, ne parler que de personnes ayant émis des critiques.

André NOIROT sait-il faire la différence entre un constat et une critique ?
Pas sûr…

Pourquoi il n’y a pas d’opposition au Conseil Municipal

Les résultats des élections municipales 2020 avaient octroyé deux sièges pour représenter l’opposition. À ce jour, les sièges ne sont pas occupés et certains se demandent pourquoi.

Nous allons tenter d’apporter quelques réponses

La démocratie exige le respect de tous au sein des assemblées délibérantes.

Tout comme André NOIROT, cette équipe ne connait pas le sens du mot respect ni du mot démocratie.

Au cours de conversations avec des habitants de la commune, il nous a été rapporté que André NOIROT continue encore aujourd’hui à lancer des accusations ridicules à l’encontre de Madame RICHARD BRICE, maire de 2014 à 2018. Il la dénomme de plus « La Brice ». Le manque de courtoisie et la rancœur sans limite dont il a toujours fait preuve envers quiconque se trouvant sur son chemin ne font que démontrer son manque d’éducation.

Ce manque de respect est malheureusement contagieux dans cette équipe, avec des conseillers qui très clairement ne comprennent pas les sujets délibérés. Ils se réfugient derrière des ricanements niais plutôt que de répondre aux questions qui peuvent être posées. Ils préfèrent la calomnie et le dénigrement personnel envers leur opposition, ainsi que nous avons pu le constater tout au long de l’année 2019 et encore aujourd’hui.

Cette équipe se contente d’obéir bêtement à André NOIROT sans se préoccuper des besoins réels des bourbonnais, si ce n’est une place handicapée par ci ou par là.

Aucun, y compris André NOIROT, ne s’inquiète jamais des erreurs commises dans les diverses délibérations.

Certains même, tel que le premier adjoint, Elie PERRIOT, montrent de sérieuses difficultés à simplement lire les délibérations qu’ils doivent présenter. Ce dernier d’ailleurs a démontré à plusieurs reprises ses lacunes sur bien des sujets comme par exemple le calcul des subventions octroyées à la commune.

Christian TROIGROS, adjoint aux finances, qui plus est expert-comptable de son métier, outre ses erreurs de chiffres à délibérer, le 8 Octobre 2020 avait été jusqu’à présenter une délibération sur une demande d’exonération de la taxe sur les ordures ménagères 2021 pour une entreprise de Bourbonne (Lidl). Bien sûr, personne n’a relevé l’erreur, ni même le maire André NOIROT d’ailleurs, et le conseil à l’unanimité a approuvé cette délibération sans même réaliser que cela ne relevait pas de la commune mais de la communauté de communes. Il est vrai que Christian TROIGROS est très peu présent aux conseils communautaires. Les services de la préfecture ont dû demander le retrait de cette délibération le 30 Novembre suivant.

Les procès-verbaux de chaque conseil sont bien évidemment approuvés à l’unanimité même si des échanges qui n’ont jamais eu lieu y figurent.

Depuis plus de 30 ans, André NOIROT s’applique à démolir Bourbonne, et cette équipe acquiesce sans jamais réfléchir ni questionner ses décisions.

Aucun n’a compris que son rôle est d’agir uniquement dans l’intérêt général et non dans l’intérêt de quelques-uns. Ils et elles ont plutôt choisi de se concentrer sur la volonté de leur petit chef de peur de représailles.

Un comportement tout à fait indigne d’élus

Devant de tels agissements si odieux et détestables qui n’aboutissent qu’à dévaloriser Bourbonne, il est inutile qu’une opposition quelconque siège face à des personnages qui ne comprennent pas leurs responsabilités d’élus. Elie PERRIOT a été d’ailleurs jusqu’à les baptiser de « pelles à feu ».

La postérité ne les reconnaîtra que comme ceux qui ont soutenu et aidé André NOIROT à anéantir Bourbonne-Les-Bains

Des recrutements à prévoir
Mais pour qui ?

Au Conseil municipal du 10 juillet dernier, André NOIROT a annoncé le recrutement de trois agents dont un Brigadier de Police municipale et un adjoint technique.

Certains ont pu s’étonner de voir sur la commune un nouvel employé communal. Ce qui est le plus étonnant est qu’il s’agit d’un conseiller municipal, Emmanuel PASQUA, associé de par sa compagne à Elie PERRIOT, premier adjoint, autrement dit « rentrer par piston ».

L’Article L231 du Code Electoral stipule que les agents salariés communaux ne peuvent être élus au conseil municipal de la commune qui les emploie. Le compte-rendu du 11 septembre mentionne l’arrivée d’une nouvelle conseillère municipale (Sabine SAVARD). Nous supposons donc qu’il s’agit d’un remplacement, même si aucune mention n’est faite sur les raisons de ce remplacement. Le conseiller municipal Emmanuel PASQUA était en place au conseil municipal du 10 juillet dernier et a rejoint les services techniques communaux le 1er septembre.

La procédure de recrutement d’un agent communal est très spécifique.

La priorité des recrutements est réservée aux agents titulaires ou inscrits sur les listes d’aptitudes (suite concours ou examens), et à ce titre, la collectivité devra attendre un temps raisonnable avant d’envisager de recruter un agent non titulaire par défaut de candidature conforme à ses attentes. (Délai de 4 mois selon la jurisprudence).

Risques et sanctions : Tout recrutement est précédé d’une vacance d’emploi, qui s’effectue auprès du centre de gestion territorialement compétent. Le non-respect de cette formalité substantielle entraîne des sanctions pénales.

En 2018, la mairie de Nice avait été épinglée pour avoir embauché des proches de conseillers municipaux.

La Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen a posé un principe fort : « Tous les Citoyens […] sont également admissibles à toutes dignités, places et emplois publics, selon leur capacité, et sans autre distinction que celle de leurs vertus et de leurs talents ».

L’Association ANTICOR (Contre la corruption et l’éthique en politique) explique que le recrutement dans une mairie doit se faire exclusivement au mérite. Le Ministère de l’Intérieur a d’ailleurs rappelé, le 2 mars 2017, les risques encourus : « S’agissant du recrutement d’un parent d’un adjoint au maire, la voie contractuelle et celle du recrutement direct sans concours sont indissociables d’un risque pénal résultant de l’intérêt moral qu’aurait cet élu à recruter un membre de sa famille. »

Avec André NOIROT, le recrutement se fait au piston plutôt qu’au mérite, et pourtant il y a des « citoyens » à Bourbonne autrement vertueux et talentueux.

Va-t-il en être de même pour la place de brigadier de policeAndré NOIROT va-t-il recruter parmi les proches ou amis intimes des conseillers municipaux ?

Réponse : très probablement
Le copinage, toujours le copinage
C’est ce que l’on appelle : tirer la commune vers le bas !

D’importants travaux en vue !

Dans le Journal de la Haute-Marne du 18 septembre, un article est paru relatant certaines des délibérations.

André NOIROT aurait déclaré : deux chantiers d’envergure vont être entrepris, le plus important étant la rue Amiral Pierre. Cette rue renferme le plus vieux réseau d’eau de Bourbonne datant des années 1950.

André NOIROT devrait prendre le temps de se rendre dans les différents quartiers de la commune avant de déclarer que la rue Amiral Pierre a le plus vieux réseau d’eau. Pour exemple, les habitants du quartier historique, la rue du Génie en particulier, vivent avec une infrastructure vieille de plusieurs décennies. L’état déplorable des rues de ce quartier (hormis la rue Walferdin entièrement refaite par l’équipe en place de 2014 à 2018) mais également le quartier Montmorency pour n’en citer que deux, est une claire évidence du manque d’entretien depuis des décennies.

La question se pose du pourquoi André NOIROT a toujours choisi de ne pas tenir compte de l’état des rues de Bourbonne durant ses multiples mandats de Maire. Son objectif a toujours été de consacrer les précieuses ressources de notre collectivité à des projets pharaoniques qui ont échoué ou qui n’ont jamais été achevés. Voici deux exemples parmi tant d’autres des largesses de André NOIROT :

  • L’affaire de l’usine d’embouteillage qui nous a coûté près de 500 000€ …. pour rien
  • Le Cabinet Détente Consultants, associé pour l’étude à Bernard RIAC, a reçu plus de 300 000€ entre 2009 et 2011 pour un projet qui n’a pu aboutir faute de financement (voir notre article du 6 août 2019 intitulé le projet de centre bien-être) donc… pour rien.

Que de gaspillages
Ce sont bien les habitants qui financent ces décisions absurdes de André NOIROT et son équipe

Pour comparaison, la réfection complète de la rue Walferdin a coûté un peu moins de 700 000€, l’équivalent du coût de l’Hôtel des Sources acheté en 2011 par André NOIROT et son équipe !

Un programme pluriannuel de travaux avait été établi en 2015-2016 par la commission travaux d’alors. La rue Amiral Pierre et la rue Vellonne en faisaient partie. Nous sommes satisfaits de constater qu’une partie au moins de ce programme est aujourd’hui suivi.

Par contre, il est tout à fait regrettable que la réfection de la rue du Général Maistre et des rues adjacentes ait été abandonnée par cette équipe, d’autant qu’une subvention avait été accordée et que André NOIROT l’a purement et simplement annulée, quel gâchis !

Lorsque l’on constate qu’il aura fallu toutes ces décennies à André NOIROT pour réaliser que la voierie est à refaire, combien d’années faudra-t-il encore attendre avant que le reste de la voierie communale soit refait à Bourbonne mais aussi à Villars et à Genrupt, sans oublier le réseau d’eau qui est jugé inefficace par l’Agence du Bassin (voir l’article de la Voix de la Haute-Marne du 25 septembre) faute d’entretien régulier.

Selon le Code de Voirie Routière, « Les voies qui font parties du domaine public routier communal sont dénommées voies communales » et leur entretien est une dépense obligatoire à la charge de la commune.

Sauf à Bourbonne où le Maire, André NOIROT, préfère distribuer des augmentations d’indemnités

Les résultats des élections du 15 mars 2020

La liste conduite par André NOIROT a remporté ces élections, c’est ce que l’on dit appeler la démocratie.

Peut-on vraiment dire qu’il s’agit de démocratie avec seulement 53 % de suffrages exprimés (dont plus de 10% de vote par procuration).

La démocratie ne peut réussir que s’il y a un échange ouvert d’idées et de vues sans la menace de l’intolérance. Il y a un nombre croissant de personnes qui semblent considérer un point de vue alternatif comme quelque chose à dénigrer et considérer les personnes qui ne sont pas d’accord avec elles comme « le mal incarné »

Pendant mon mandat de Maire et par la suite et encore Dimanche 15 mars, j’ai reçu beaucoup d’attaques personnelles, souvent violentes, agressives et méchantes. André NOIROT a été cohérent dans son comportement, dégradant, lâche et même médiocre dans son attitude et ses commentaires. J’ai toujours fait le choix de ne pas répondre de la même manière mais de tenter de mettre en évidence la nature de la vie politique dans notre communauté, nature à rejeter j’espère par toutes les personnes raisonnables.

607 électeurs ont choisi de croire André NOIROT sur parole un peu sur tout, et surtout sur n’importe quoi. ONT-ILS CONSCIENCE DE LEUR CHOIX ? La médiocrité et la méchanceté dont fait preuve André NOIROT envers toutes personnes osant s’opposer à lui ne sauraient être considérées comme démocratique.

André NOIROT s’est servi de la campagne municipale pour faire sa propre propagande en prenant pour son compte des réalisations décidées par l’équipe en place de 2014 à 2018. Pour exemple, la réfection de l’Arboretum, le parc des Sources. Il m’a ouvertement accusé, entre autres, d’avoir enterré des dossiers que lui-même avait enterré. Pour exemple le centre anti-âge datant de 2008, le groupe scolaire datant de 2007, etc. Bernadette CARBILLET a d’ailleurs déclaré lors de la réunion publique du 14 mars dernier que j’avais stoppé le projet des écoles datant de 2010 et que le coût avait maintenant triplé. Le projet était en réalité resté dans les tiroirs de André NOIROT, seule la cantine avait été regroupée. De plus, La Communauté de Communes reprenait la compétence en 2017.

Je vous invite à lire et à relire l’article paru dans le MAG du JHM du 8 mars dernier intitule – Il y a 10 ans – Cliquez ici. 10 plus tard, André NOIROT a sûrement égaré la clé de ses tiroirs car l’installation des colonnes gallo-romaines était une condition impérative d’octroi du permis de construire du casino en 2004. Les services de l’Etat ont régulièrement demandé à ce qu’elles soient remises en place. Emilie BEAU, lors de la réunion publique du 14 mars dernier, semblait ignorer qu’il s’agissait d’une obligation et non d’une volonté de sa part, tout comme elle semblait ignorer l’importance du fonds ancien du Musée, pourtant connu dès le 19ème siècle.

Au cours de l’été 2018, afin de se faire élire, André NOIROT avait clamé à qui voulait l’entendre, que l’équipe en place avait vidé les caisses de la ville alors que la trésorerie était quasiment identique à celle qu’il avait laissé en 2014 (plus d’un million d’€) sans que nous ayons eu recours à des emprunts successifs. En ce début d’année, il s’est bien gardé de faire voter les comptes de l’année 2019, on se demande pourquoi. Pour rappel, au 1er janvier 2019 il y avait plus de 900 000€ d’excèdent et était inscrit au budget un emprunt de 950 000€. Lors de la réunion publique du 14 mars dernier, Christian TROIGROS a annoncé un excédent de 700 000€ avant même que les comptes ne soient votés. Ce qui est très inquiétant est que l’on ne sait où est passé l’excédent précédent.

Pour les élections du 15 mars, André NOIROT s’est assuré de mettre des bâtons dans les roues de la liste du Dr BARTHELEMY en rendant difficile la mise à disposition des salles pour les réunions publiques et en essayant de bloquer l’apport des bulletins de vote. Aucune réunion d’information sur la procédure des élections n’a eu lieu. A la tenue du bureau de vote à GENRUPT, un habitant a interrogé André NOIROT sur l’hôtel JEANNE D’ARC. Il m’a encore une fois ouvertement accusé de ne pas avoir suivi la procédure pour l’arrêté de mise en péril alors que je ne suis en rien concernée puisque le propriétaire des lieux avait à l’époque de mon mandat déposé un permis de reconstruction (valable 3 ans) pour ensuite faire le choix de proposer son bien à André NOIROT, après sa grève de la faim en décembre 2018.

Certains habitants préfèrent se boucher les oreilles et s’imaginent que André NOIROT a « le bras long ». Si cela était vraiment le cas, BOURBONNE ne serait pas dans l’état ou elle se trouve. Le déclin de la commune est pourtant évident depuis 30 ans alors que d’autres communes proches n’ont pas subi une telle décadence. La réputation que André NOIROT s’est forgé dans le département et diverses organisations partenaires n’est pas à envier et ne fait que ternir l’image de notre commune. Les résultats de ces dernières élections montrent tout simplement que 607 personnes préfèrent s’enliser encore plus plutôt que d’entendre qu’un changement est possible et surtout nécessaire.

Forcée par le Coronavirus, la fermeture des thermes, du Casino, des restaurants, etc. va avoir un impact considérable sur la situation économique de la commune. La France entière va être impactée humainement et économiquement. Il ne faudra plus compter sur les aides de l’Etat. Les redevances des thermes et du Casino en seront drastiquement réduites. Avec des recettes moindres, André NOIROT va-t-il insister sur la rénovation des thermes aux frais du contribuable ? Le groupe VALVITAL va-t-il seulement investir à BOURBONNE étant donné la fermeture des établissements thermaux au niveau national. ATTENDEZ-VOUS AU PIRE.

Bon courage à toutes les personnes se trouvant impactées par la pandémie que nous connaissons actuellement.

Dominique Richard Brice