Un député à Bourbonne les Bains


Sylvain TEMPLIER, député du Sud Haute-Marne est venu récemment à Bourbonne-Les-Bains. Il a rencontré les agriculteurs de trois exploitations locales.

 

  • GAEC Saint Marcellin de Villars Saint Marcellin
  • GAEC des Houlettes de Bourbonne Les Bains
  • EARL des Plantes de Genrupt

Les exploitants ont ainsi pu faire part non seulement des difficultés auxquelles ils doivent faire face aujourd’hui, mais ils ont également pu expliquer et prouver leur volonté de toujours regarder vers le futur.

Félicitations

Ainsi que Monsieur le Député a pu le constater, la jeunesse prend le dessus et avec l’appui de leurs parents ils osent

  • S’adapter
  • Innover
  • Se diversifier

On peut ainsi considérer que le secteur agricole à Bourbonne-Les-Bains montre de nombreux signes de dynamisme.

André NOIROT et son équipe devraient en prendre de la graine !

Un demi-siècle de démolitions

Lettre d’un lecteur reçue le 1er février 2021

Les personnalités citées dans l’article de M. THENARD dans LA VOIX DE LA HAUTE-MARNE DU 29 janvier 2021 : Bourbonne, une pépinière de célébrités se retourneraient dans leur tombe s’ils voyaient l’état de notre ville aujourd’hui en 2021. Plus rien de prestigieux, mais un mélange de modernité et de misère. Plus rien qui ressemble à une station thermale.

Les personnes qui ont géré notre ville depuis quelques décennies, dont le maire actuel, ont commis un véritable saccage.

Je ne cite que quelques destructions :

  • L’ancien Établissement thermal
    Très beau bâtiment du 19ème siècle. La photo est dans l’article de M. THENARD
  • Le château de Montmorency
    Construit en 1720, il a servi de villégiature aux enfants des rois de France. Rasé le jour où son classement comme monument historique devait être publié
  • Le Temple protestant
    rue Amiral Pierre
  • La Synagogue séfarade
    rue des Capucins
  • L’Hôpital thermal des armées
    Bâtiment du second Empire en parfait état, rasé parce que les hôteliers craignaient une possible concurrence (rachat par le Club Med. Etc.). Les débris de démolition ont été jetés dans un bras de la rivière l’Apance, ce qui a occasionné plusieurs inondations qui ont définitivement dévalorisé tout un quartier
  • Le cinéma Vox
    La Place de la Libération, salle en parfait état
  • L’ancien Parc Thermal
  • Les colonnes romaines du Parc Thermal
    Pour faire place au Casino. Monsieur le Maire s’est laissé prendre en photo il y a quelques années devant les débris de ces colonnes planquées dans une grange. La démolition de monument historique n’a toujours pas été légalisée. On est aux frontières du pénal

Cette liste de démolitions est loin d’être exhaustive

On a remplacé tous ces bâtiments historiques par la laideur de la modernité. Des touristes cultivés qui visitent le « Centre thermal » avec son casino à la décoration de fête foraine et avec la fontaine en béton que certains appellent « le mur de la honte » s’enfuient rapidement et visitent des stations thermales qui ont su garder leur cachet d’origine et dont notre région ne manque pourtant pas. Le nouvel établissement thermal de 1977, qui a « le charme » d’un bâtiment administratif de la région parisienne – souffre d’ores et déjà du « syndrome du bâtiment malade ».

La nouvelle pancarte touristique installée pendant le confinement de l’an dernier le long des principales routes d’accès est un véritable bras d’honneur que les démolisseurs envoient aux défenseurs du patrimoine. On y apprend que Bourbonne-Les-Bains est une station thermale « et de loisirs », on voit une femme dénudée dans une piscine devant la coulisse du casino – en toute lettres sur la pancarte installée avec le budget du Ministère de la Culture.

On se moque du monde. Ce type de panneau culturel est utilisé partout ailleurs pour signaler des curiosités historiques et naturelles (la villa gallo-romaine d’Andilly, Diderot et l’encyclopédie à Langres, etc.) Rien de culturel ou historique sur le panneau bourbonnais. Une publicité mensongère (il n’y a pas de piscine thermale grand public à Bourbonne) et illégale (publicité pour un établissement de jeux avec l’argent du contribuable).

Tout ceci ne peut plaire qu’à un public avec un quotient intellectuel inférieur à 90. C’est ce public que les élus locaux ont privilégié. Et le résultat est là : Bourbonne est aujourd‘hui un désert culturel. Également un désert économique avec de nombreuses maisons abandonnées, certaines brulées et de nombreuses friches de démolition.

Les Bourbonnais ont perdu les racines et les ailes.

Joachim OZDOBA

Les élections départementales

Alors qu’un projet de loi a été présenté pour reporter les élections départementales de mars à juin 2021, nos élus se préparent.

Le Président du Conseil Départemental, Nicolas LACROIX, a déclaré dans la Voix de la Haute-Marne du 22 janvier : que ce soit en mars ou en juin, je suis prêt ! en ajoutant de plus : une majorité de candidats va se représenter, ce sera une élection différente dans chacun des 17 cantons.

Nous pouvons déjà nous demander en quoi cette élection serait différente si ce sont toujours les mêmes élus.

Si la Haute-Marne souffre de son manque d’attractivité et ne réussit pas à inverser la courbe démographique n’est-ce-pas aussi parce que nous avons des élus qui ne veulent surtout pas lâcher les rênes qu’ils ou elles détiennent, depuis des décennies pour certains.

Quelles peuvent être les motivations du candidat au siège de conseiller départemental ?

Il peut y avoir plusieurs raisons :

  • Le désir d’agir pour les intérêts de son coin de territoire, son canton
  • Par ambition politique
  • Par ambition personnelle
  • L’attrait du salaire du conseiller départemental non négligeable


Le Journal du Net, premier site d’actualités français, nous détaille les salaires de nos élus, soit 1 858,67 € bruts par mois s’il est membre de la commission permanente. A savoir que la commission permanente du Conseil départemental de la Haute-Marne est composée de l’ensemble des élus et 5 612,45 € bruts par mois pour le Président, quelle que soit la taille du département.

Nicolas LACROIX a pour objectif d’inverser la courbe démographique du département grâce notamment à un plan d’investissements de 500 millions d’€ à l’horizon 2030, soit environ 50 millions € par an.

Le budget 2020 avait cependant inscrit en dépenses d’investissement un total de près de 74 millions € pour la seule année 2020.

C’est à n’y rien comprendre

Tant que nos élus restent en permanence sur la défensive, et refusent l’ouverture vers l’extérieur tant pour les idées que pour les acteurs du territoire, la Haute-Marne ne réussira malheureusement pas à inverser la courbe démographique.


La Haute-Marne restera ancrée dans le passé avec des gouvernants qui ne veulent surtout pas lâcher leur siège au détriment de la population.

Le journal l’Affranchi du 24 décembre 2020 révèle que Nicolas LACROIX, parlant des médecins de l’Hôpital, avait déclaré en réunion plénière du conseil départemental de décembre, il y en a de très bons, mais il y en a aussi de très mauvais !

En est-il de même pour nos conseillers départementaux ?

Il y en a de très bons, mais il y en a aussi de très mauvais !

En effet, il y a ceux qui se mobilisent pour leur canton et ceux qui préfèrent simplement se montrer.

Notre conseiller départemental est André NOIROT. Nous ne pouvons identifier quel est son bilan en tant que tel si ce n’est qu’il sait figurer auprès de Nicolas LACROIX à diverses occasions.



André NOIROT assume également la Présidence du Syndicat des Sapeurs-pompiers de la Haute-Marne. Fin 2019 il a démontré un grand mépris envers les pompiers par un geste des plus obscènes prétextant avoir reçu des insultes, affirmation d’ailleurs démentie par les pompiers.

Le plus incompréhensible, est que le conseil départemental dans son ensemble a préféré apporter son soutien à André NOIROT, malgré son comportement inexcusable.

L’attractivité du territoire passe aussi par le comportement de nos conseillers départementaux

Et là, c’est pas gagné !

La neige et ses dangers


Chacun le sait, les activités de salage, sablage ou déneigement de la voierie ne constituent pas le quotidien des agents des services techniques.

La neige tombée pendant plusieurs heures ce mardi 12 janvier était annoncée.

Il relève des services de toute commune d’organiser en amont, les moyens et les mesures à mettre en place.

La commune de Bourbonne Les Bains possède l’équipement nécessaire, encore faut-il qu’il soit opérationnel

La super balayeuse d’un coût de 125 000 € n’est-elle pas équipée d’une lame à déneiger, comme cela était prévu ?


À moins qu’il ne soit parti en réparation !
L’on peut se demander pourquoi, car il n’a pas neigé depuis plus d’un an !

Le Maire, André NOIROT et son Adjoint aux travaux, Patrick BREYER n’ont-ils pas organisé l’équipement nécessaire en amont, c’est-à-dire avant l’hiver.

Ne savent-ils pas que des épisodes neigeux s’anticipent

Nous notons que par le passé, les agents étaient déployés et intervenaient sur le territoire de la commune lors d’épisodes neigeux pour non seulement sabler mais également déneiger les rues et places. Les 12 et 13 janvier, si quelques endroits ont peut-être été sablés, aucun engin n’est venu sur la Place de Verdun par exemple pour préparer la sortie des écoles ou même la venue des bénéficiaires des restos du Cœur le lendemain.

L.2212-2 du code général des collectivités territoriales stipule : le maire est chargé d’assurer la sûreté du passage dans les rues, quais, places et les voies publiques. Le maire est donc compétent pour ordonner les opérations de nettoiement et de déneigement sur l’ensemble des voies, quel que soit leur propriétaire.



Le déneigement des voies, en vue de permettre la commodité de la circulation publique, fait partie des missions de police municipale du Maire.

Le maire doit prendre les mesures nécessaires pour prévenir les dangers sur le territoire de la commune, et notamment sur les voies ouvertes à la circulation publique.

Nos élus sont-ils trop occupés pour se soucier de leurs devoirs et responsabilités.

Nos élus sont-ils frivoles?

En 1884, le Dr. Auguste CAUSARD écrivait dans son livre Bourbonne et ses eaux minérales, dans son chapitre intitulé Anthropologie concernant les habitants de Bourbonne et ses environs :

Je leur reprocherai seulement d’être légèrement frivoles et volages.



Début 2020, à l’occasion de sa campagne électorale de mars dernier, André NOIROT avait déclaré :

Je suis en pleine forme, demandez donc à Madame MERCIER, elle pourra vous le dire !

 

 


En Décembre 2020, lors du dernier conseil communautaire, alors que des élus s’inquiétaient de « l’approche de l’heure fatidique du couvre-feu », Marie-France MERCIER avait demandé :

Vous n’avez pas prévu de duvets pour coucher là, Mesdames ? Ce n’est pas grave, il y a beaucoup d’hommes, ils sauront vous réchauffer !

Et le Président du conseil communautaire, Éric DARBOT de conclure :

On ne peut pas, il y a le Covid !

Nous pouvons constater que depuis 1884, nos élus bourbonnais d’aujourd’hui, n’ont guère évolué.

Les propos de André NOIROT et maintenant de Marie-France MERCIER nous démontrent un humour plus que douteux et certainement très frivole. Ce comportement les fait tomber bien bas !

Une commune qui n’évolue pas est une commune qui se meurt.

La Déclaration d’Intention d’Aliéner (DIA)

Définition

La déclaration d’intention d’aliéner permet d’informer le titulaire du droit de préemption, en général, c’est un établissement public de coopération intercommunal ou une commune, de son intention de vendre. Elle définit également les conditions de la vente et notamment le prix. Cela permet à cette entité de faire valoir ses droits à préemption si elle estime qu’elle doit réaliser des aménagements urbains d’intérêt général. Ces opérations sont définies dans la délibération qui concerne ce droit.

Nous avons vu qu’en deux ans seulement André NOIROT a fait par deux fois usage du droit de préemption (rue de l’Hôtel Dieu et rue d’Orfeuil) pour un total de près de 200 000 € plus frais.

D’une part, nous nous interrogeons sur la notion d’intérêt général en ce qui concerne ces deux préemptions, voir nos articles intitulés « La préemption de la Maison « Guyot » «  et « La réserve foncière ».

D’autre part, nous constatons que depuis quelques mois, la publication des DIA se fait sur le site de la commune, ainsi tout un chacun peut connaitre le prix de vente ou d’achat d’un bien immobilier.

Tant mieux pour les curieux
Tant pis pour la vie privée de chacun

En effet, nous considérons que l’acte de vente est un acte privé pour le vendeur comme pour l’acheteur. Que la Mairie révèle publiquement sur son site la situation du bien, et surtout le prix du bien, constitue une sérieuse atteinte à la vie privée du vendeur et de l’acheteur.

Ni le Maire, ni les services de la Mairie n’ont le droit d’intervenir dans des transactions privées. Seuls les actes relevant de l’intérêt général peuvent être publiés.

Un Maire n’a pas tous les droits comme le pense André NOIROT

La crise sanitaire actuelle a engendré un peu partout en France, un renouveau d’intérêt pour les citadins de venir investir dans les zones rurales. A Bourbonne Les Bains, le volume des ventes de biens immobiliers a également augmenté. Cependant la publication des prix de ces biens ne fait que limiter les possibilités des professionnels d’atteindre des montants réalistes et ne fait encore une fois, que tirer Bourbonne vers le bas.

Grâce à cette équipe municipale la commune est tirée vers le bas, bientôt elle touchera le fond.

Chute de la fréquentation des thermes de 65 %

Le bilan de l’année 2020 s’avère « catastrophique », note dans un communiqué le CNEth (Conseil National des Etablissements Thermaux). Même si peu de cas de Covid-19 ont été signalés parmi les curistes, «la saison très écourtée (environ 4 mois au total), les restrictions liées à la limitation de la capacité d’accueil et les craintes des curistes ont sévèrement érodé la fréquentation ».



A Bourbonne Les Bains, la chute a été de 65% et les pertes pour Valvital sont de 1,2 million d’Euros, déclare Carole RECOUVREUR, Directrice de l’Etablissement, dans un article du Journal de la Haute-Marne du 5 décembre dernier.

Petit rappel :

En 1977, suite à sa reconstruction par le concessionnaire d’alors (THERMA-France) l’établissement thermal accueillait 10 000 curistes pour atteindre près de 16 000 curistes en 1986.

Le tableau ci-dessous est disponible en Mairie :


Les reformes de la Sécurité Sociale des années 1990 ont ensuite impacté toutes les stations thermales de France, malgré tout Bourbonne Les Bains recevait 13 442 curistes en 1998.

En 2004 Valvital rachète la concession à THERMA-France. L’année précédente en 2003, le nombre de curistes était de 12 380.

Depuis 2004, la fréquentation des thermes de Bourbonne Les Bains n’a cessé de chuter pour n’être plus que de 7 743 curistes en 2019, chiffres donnés par Carole RECOUVREUR.

Une chute de la fréquentation de 4 637 curistes
en 15 ans de Valvital

En 2004, lors du rachat de la concession par Valvital, l’établissement thermal de 27 ans était en excellent état ayant fait l’objet d’investissements conséquents et un entretien très rigoureux chaque année.

En 2015, un rapport d’expertise sur l’état tant interne qu’externe des bâtiments et équipements a été demandé par Madame le Maire, Dominique Richard Brice et son équipe. Cette action a été vigoureusement contestée par Bernard RIAC, PDG de Valvital, sans succès. Bernard RIAC était de plus soutenu par son ami André NOIROT. Ce dernier ne s’est d’ailleurs pas privé de critiquer la demande d’expertise plutôt que de soutenir les intérêts de la commune de Bourbonne Les Bains.

Et pourtant le constat de l’expert était sans appel :

Les désordres constatés à l’intérieur et à l’extérieur des bâtiments relèvent de défauts d’entretiens de la Compagnie des Thermes de Bourbonne Les Bains (Valvital).

Rappelons l’article 15 du contrat de concession :

Pendant toute la durée de la concession, le concessionnaire sera tenu d’exécuter, à ses frais, à l’établissement thermal et à ses dépendances, tous les travaux d’entretiens même ceux de grosses réparations et de construction nécessaires au maintien en bon état des installations, de manière à ce qu’elles conviennent toujours à l’usage auquel elles sont destinées.

Suite à l’action engagée par la commune en 2015, quelques travaux d’améliorations ont été effectués et le nombre de curistes avait légèrement augmenté en 2016 (+58) et en 2017 (+120)

Le tableau ci-dessous est issu du rapport d’activité 2017 fourni par Valvital et est disponible en Mairie.


Voici le commentaire d’un curiste venu en Octobre 2020, posté sur le site Les curistes.fr intitulé Première cure :

Dans le programme 18 bains hydromassants avec hydromassages, sur 3 semaines 4 baignoires qui n’ont pas fonctionnées régulièrement des jets défectueux, signalés mais récurrents. 9 sièges en piscine hydromassants des jets déffectueux, signalés réparés lorsque la piscine est vidée. Si c’est pour inciter à aller en PRENIUM, c’est réussi Ceci pour signaler une grande négligence de l’établissement(thermes privés). Points positif : personnel compétents, piscines chaudes et locaux.

La crise sanitaire que nous traversons est certes mondiale et nul ne sait ce que 2021 nous réserve. Par contre les périodes de fermetures auraient pu être mises à bon escient en engageant les travaux et réparations nécessaires au bon fonctionnement de l’établissement.

Le site du greffe du Tribunal de Commerce de Paris nous révèle:

DERNIERS CHIFFRES CLÉS
COMPAGNIE EUROPEENNE DES BAINS (Valvital)

Clôture Chiffre d’Affaires Résultat
31/12/2019 5 358 K€ 2 394 K€
31/12/2018 5 002 K€ 1 488 K€
31/12/2017 4 307 K€ 1 316 K€

Au vu de ces résultats, nous pouvons nous demander pourquoi André NOIROT semble si attaché à ne pas « froisser » la direction de Valvital et accepte le non-respect de leurs obligations. Au fil des années, plusieurs largesses ont d’ailleurs été accordées à Valvital par André NOIROT.

Largesses que nous avons payées


Dès son retour fin 2018, André NOIROT avait annoncé qu’il préparait un programme de rénovation des thermes. De plus, il avait décidé d’abandonner le projet de centre bien-être commandité par Madame Dominique RICHARD BRICE et son équipe, centre qui aurait dû ouvrir ses portes fin 2020.

Il se dit maintenant qu’il s’agirait même de démolir l’existant pour reconstruire un nouvel établissement. L’existant a 43 ans seulement !

Sans entretien ou investissement nécessaire, il est certain qu’un bâtiment se détériore

Pour couronner le tout, voici que Carole RECOUVREUR admet qu’une demande a été envoyée à la municipalité pour une aide sur le loyer.

Nous pouvons nous demander pourquoi cette aide devrait être accordée. En effet, Il ne s’agit pas de loyer, mais d’une redevance de 13 % calculée sur le chiffre d’affaires de l’année et 5 % sur le chiffre d’affaires de la boutique et la tisanerie, redevance définie dans le contrat de concession. En 2019 par exemple la redevance totale s’élevait à environ 530 000 €. En clair, si le chiffre d’affaires est moindre, la redevance le sera également.

C’est un scandale que Valvital se permette de demander une aide. Etre partenaire n’est-ce pas tout d’abord que chacun respecte ses obligations, or :

  • Valvital ne contribue pas ou très peu au syndicat des hôteliers malgré le Thermotel
  • Valvital ne contribue pas à l’Office du Tourisme
  • Valvital refuse de contribuer aux campagnes de communication de la commune
  • Valvital ne fournit pas toujours ses rapports annuels aux échéances prescrites par le contrat de concession
  • Valvital inscrit en investissement des dépenses qui ne sont que de l’entretien courant
  • Valvital refuse de s’acquitter de taxes contractuellement dues prétextant le redressement judiciaire
  • Etc.

André NOIROT s’acharne lui, à soutenir le concessionnaire malgré le non-respect évident de son cahier des charges.

Cet appel à l’aide de Valvital n’est qu’une mascarade. Ce ne peut être qu’un prétexte pour permettre à André NOIROT de donner plus de notre argent à Valvital, d’autant que Carole RECOUVREUR a prévenu il faudra cinq années pour absorber les pertes. Nous pouvons nous demander ce que cela cache.

Les caisses de la commune ne pourront se le permettre, crise de la COVID oblige, et encore moins les bourbonnais.

Les redevances des thermes, du Casino et la vente de bois vont être sérieusement amputées cette année et sûrement pour les toutes prochaines années.

Comment payer, entre autres, toutes les indemnités des élus ?
La source principale restera nos impôts
Prenons garde !

La Presse

Voici une sélection d’articles publiés dans la presse qui nous intéressent tous. Cliquez sur l’image de l’article de presse pour l’agrandir.

Article paru dans le Journal de LA-HAUTE-MARNE le 23/11/2020

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Article paru dans L’affranchi de Chaumont le 16/10/2020

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Article paru dans le Journal de LA-HAUTE-MARNE le 15/10/2020

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Article paru dans le Journal de LA-HAUTE-MARNE le 15/10/2020

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Article paru dans le Journal de LA-HAUTE-MARNE le 18/09/2020

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Article paru dans le Journal de LA-HAUTE-MARNE le 01/09/2020

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Article paru dans le Journal de LA-HAUTE-MARNE le 31/01/2020

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Article paru dans le Journal de LA-HAUTE-MARNE le 16/12/2019

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Article paru dans le Journal de LA-HAUTE-MARNE le 14/12/2019

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Article paru dans le Journal de LA-HAUTE-MARNE le 11/12/2019

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Article paru dans le Journal de LA-HAUTE-MARNE le 06/12/2019

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Article paru dans la Voix de la Haute Marne le 06/12/2019

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Article paru dans le Journal de LA-HAUTE-MARNE le 20/11/2019

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Article paru dans la Voix de la Haute Marne le 31/10/2019.

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Article paru dans le magazine, QUE CHOISIR MENSUEL N° 583 – SEPTEMBRE 2019.

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Article paru dans la Voix de la Haute Marne le 20/06/2019.

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Article paru dans le Journal de LA-HAUTE-MARNE le 20/06/2019.

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Article paru dans le Journal de LA-HAUTE-MARNE le 24/05/2019.

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Article paru dans le Journal de LA-HAUTE-MARNE le 20/05/2019.

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Article paru dans le Journal de LA-HAUTE-MARNE le 20/05/2019.

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Article paru dans la Voix de la Haute Marne le 03/05/2019.

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Article paru dans le Journal de LA-HAUTE-MARNE le 16/04/2019.

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Article paru dans le Journal de LA-HAUTE-MARNE le 08/04/2019.

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Article paru dans la Voix de la Haute Marne le 22/02/2019.

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Article paru dans la Voix de la Haute Marne le 22/03/2019.

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Article paru dans la Voix de la Haute Marne le 22/02/2019.

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Article paru dans le Journal de LA-HAUTE-MARNE le 02/01/2019.

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Article paru dans le Journal de LA-HAUTE-MARNE le 08/12/2018.

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Article paru dans le Journal de LA-HAUTE-MARNE le 20/11/2018.

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Article paru dans la Voix de la Haute Marne le 16/11/2018.

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Le futur groupe scolaire



Le 5 novembre dernier, un article est paru dans le Journal de la Haute-Marne concernant le projet de groupe scolaire à Bourbonne Les Bains.

Cet article nous amène à présenter l’historique du projet.

En 2006, la municipalité de André NOIROT avait décidé de transférer les écoles primaire et maternelle dans l’ancien internat près du Collège, , mettant en avant la proximité de la piscine, du gymnase et du collège comme avantage.

  • Le collège, propriété du Conseil Départemental, a depuis été reconstruit et achevé en 2013
  • La piscine relève de la Communauté de Communes et doit faire l’objet d’une réhabilitation. Les enfants de l’école élémentaire n’en profitent qu’une dizaine de fois par an
  • Le gymnase est propriété de la commune et a un grand besoin de travaux conséquents. Il est occupé pour 60 % du temps par le collège, le reste par diverses associations

En 2013, soit 7 ans plus tard, André NOIROT avait signé une convention avec le Conseil Départemental pour la fourniture des repas des écoliers, toujours dans l’espoir de la réalisation de ce projet. Il a donc fallu organiser le transport des enfants tous les midis pour un coût d’environ 10 000€ par an. La convention ne porte que sur la fabrication des repas et pas le service.

C’est ce qu’on appelle mettre la charrue avant les bœufs
Tant pis pour le confort des enfants et
Tant pis pour nous les payeurs

Il nous faut souligner que ce projet a été élaboré pour faire suite aux seules demandes de quelques enseignants et des représentants des associations de parents d’élèves, sans consultation des habitants eux-mêmes.

André NOIROT n’a toujours fait que
« construire des châteaux en Espagne »
pour ne jamais les réaliser et nous en payons les frais

Aujourd’hui, il se contente de « passer le bébé » à la Communauté de communes dont nous sommes d’ailleurs l’un des financeurs.

Nous demandons pourquoi ?

Aucune considération n’a jamais été donnée à la rénovation des bâtiments actuels de l’école élémentaire qui n’ont malheureusement pas été entretenus comme il se devait depuis de nombreuses années, sous les mandatures de André NOIROT.

Entre 2014 et 2017, l’équipe en place avait décidé qu’une réflexion plus approfondie devait être faite. Pour ce faire, il fallait mettre en parallèle :

  • le coût total du transfert sur une superficie qui est aujourd’hui de 2 685 m2 (7,8 millions d’€ HT auquel doit s’ajouter le coût de la démolition et le désamiantage de l’internat) pour 14 classes
  • le coût total de la rénovation de l’école actuelle (l’estimation de 2017 était d’un peu moins de 3,5 Millions d’€ HT pour une réhabilitation pluriannuelle et complète des écoles d’une superficie totale de 5 280 m2, gymnase compris)

Faites le calcul
Plus de deux fois le coût pour la moitié de l’espace

Outre le coût, facteur des plus importants, analysons les avantages et inconvénients des deux possibilités.

Nouvelle construction :

Avantages :

  • Bâtiments neufs aux normes actuelles
  • Satisfaction des enseignants et de André NOIROT
  • La proximité de la piscine et du gymnase est de moindre importance car peu utilisés par les enfants

Inconvénients :

  • Nombre limité de classes ne permettant pas l’expansion du nombre de classes dans le futur si d’autres écoles alentours devaient fermer
  • La qualité des bâtiments neufs d’aujourd’hui souvent mal insonorisés n’est pas comparable à la qualité d’un bâtiment de pierre
  • Les classes prévues sont plus exigües
  • « Embouteillage » des enfants dans la salle à manger du collège mal insonorisée
  • Pas de gymnase dédié
  • Peu de place de stationnement pour les parents
  • Abandon de deux bâtiments en centre-ville revenant à la commune

Rénovation :

Avantages :

  • Facilité de mise aux normes actuelles (thermiques, électriques, acoustiques, etc.)
  • Qualité de construction des bâtiments d’un intérêt patrimonial évident
  • Classes claires et spacieuses
  • Possibilité d’ajouter un ascenseur pour l’accessibilité
  • Bâtiment d’une superficie double permettant d’accueillir d’autres classes si des écoles des alentours devaient fermer
  • Possibilité d’aménager une salle à manger, les repas seraient transportés et non plus les enfants

Inconvénients :

  • Stationnement indiscipliné à réguler
  • Insatisfaction de quelquess enseignants et de André NOIROT

Faites le calcul

Il faut également tenir compte des conséquences sur la ville.

Pour exemple, en 2012-2013, la municipalité de André NOIROT avait choisi de transférer la maison de retraite sur la zone de la Croix l’Albin avec pour conséquence non seulement une désertification des commerces de la Grande rue, mais surtout l’isolement des personnes âgées y résidant car maintenant éloignées de leurs proches qui doivent dorénavant avoir recours aux taxis, dépense quelque peu onéreuse pour certains.

Tout comme il l’avait annoncé dans son projet initial, André NOIROT déclare que l’actuelle école primaire constituerait une réserve pour l’hopital. Il avait même envisagé de relier le tout par une passerelle !

Contacté fin 2014, le Directeur de l’hôpital d’alors avait confirmé que cela n’était aucunement envisagé, l’ARS (Agence Régionale de Santé) n’a pas les moyens.

L’ARS n’avait pas les moyens en 2014, ce n’est pas en 2020 qu’elle les aura, la crise sanitaire que nous traversons ne va pas arranger les finances de l’ETAT. De plus, depuis le départ d’une grande partie de la maison de retraite, plusieurs salles sont encore aujourd’hui inoccupées dans l’hôpital.

Ne rêvez surtout pas

Depuis janvier 2018 la compétence scolaire relève de la Communauté de Communes des Savoir-Faire. Dès son retour fin 2018, André NOIROT s’est empressé de faire savoir à la Communauté de Communes que ce projet devait être pris en considération. Il a été jusqu’à donner son accord pour que la commune de Bourbonne Les Bains participe à un fonds de concours, ce qui équivaut à un financement supplémentaire de la commune sans consultation d’ailleurs du conseil municipal. Un programmiste a donc été engagé en 2019 par la Communauté de communes pour une évaluation. Voir le compte rendu du conseil communautaire du 22 octobre 2020, page 2 et 3.

7,8 millions d’€ Hors Taxes
et André NOIROT s’étonne !

Nous notons que, au moins Patrick DOMEC, vice-président en charge du projet est une personne raisonnable et se montre réaliste en déclarant que cela ne se ferait pas avant 2025, que le chiffrage devra être retravailler.


Si cela se faisait, nous en serons à près de 20 ans pour réaliser ce projet, à moins qu’il « ne tombe à l’eau » comme tous les autres projets de André NOIROT.

D’ici là, beaucoup d’eau coulera sous les ponts

Nous avons noté dans le compte-rendu de la Communauté de Communes que André NOIROT aurait présenté le projet aux élus de Bourbonne-Les-Bains qui ont donné un avis favorable, pourtant cela ne figure dans aucun compte-rendu du conseil municipal de la commune.

Nous espérerons que pour une fois, les habitants seront consultés sur ce projet

Dans son guide de revitalisation des centre-bourgs, paru en Septembre 2020, le gouvernement veut favoriser la fréquentation de fonctions de proximité dans les centres bourgs. C’est leur éclatement en périphérie qui les a dévitalisés. Ces fonctions peuvent être administratives, scolaires et périscolaires, commerciales, (para-)médicales, sociales, culturelles.

De plus, l’Etat met en place actuellement des aides financières supplémentaires concernant la rénovation des bâtiments publics afin de favoriser les économies d’énergie et de relancer le secteur du bâtiment.

A Bourbonne-Les-Bains, contrairement au reste de la France, André NOIROT préfère continuer à favoriser la désertification du centre-ville avec en plus des projets très coûteux pour les habitants pour ne jamais aboutir, uniquement pour satisfaire son ego personnel. Rappelez-vous entre autre le projet funeste de 32 millions d’euros de 2009, tel que rapporté dans le journal l’Affranchi du 9 janvier 2009.

C’est ainsi que André NOIROT continue à vouloir dépouiller la commune de son patrimoine et de son âme vivante du centre-ville tout en vidant les caisses.

Quoi de mieux que d’entendre le rire des enfants au cœur de la ville.

Rien ne va plus à Fresnes sur Apance

Suite aux élections de mars dernier, les membres du conseil municipal de Fresnes Sur Apance avaient élu Jean-Marie THIEBAUT pour siéger en tant que Maire de la commune en mai dernier.

Rappelons que dans l’ordre des suffrages des électeurs Fresnois, ce dernier était arrivé dernier avec seulement 56 voix sur 126 inscrits.

Le 17 Septembre 2020, le Tribunal administratif avait annulé cette élection ainsi que celle des deux adjoints, pour faute de procédure. Le conseil municipal a donc dû se réunir à nouveau le 31 Octobre pour élire un Maire et ses adjoints.


Jean-Marie THIEBAUT avait annoncé dans le Journal de la Haute-Marne du 26 Octobre
qu’il ne se représentait pas, qu’il jetait l’éponge et avait décidé de tout laisser tomber, en ajoutant la faute aux services de l’Etat qui nous tapent sur le dos.

Il faut vraiment oser !

En 2019 il avait reçu des services de l’Etat une première mise en demeure pour cesser les dépôts de déchets dans l’ancienne carrière et l’ex-décharge et régulariser la situation administrativement. Cette mise en demeure n’avait suscité aucune réponse ou action de la part de Jean-Marie THIEBAUT. Les dépôts ont continué jusqu’à atteindre environ 400 m3 sur l’un des sites, ainsi que les services de l’Etat ont pu le constater en Juillet dernier.

Trois mises en demeure ont donc été émises pour faire régulariser administrativement et remettre en état les deux sites, avec astreintes de 300 € par jour.

Détenteur du code donnant accès à l’un des sites, il avait reconnu avoir lui-même effectué certains des dépôts de déchets, et de plus avait autorisé la Communauté de Communes à faire de même.


Les services de l’état avaient constaté que certains de ces déchets étaient d’autant plus des déchets dangereux. Avec un certain culot il a déclaré dans la Voix de la Haute-Marne du 23 Octobre que les vosgiens et les haut-saônois nous amènent tout leur bazar.

Nos voisins vont apprécier !

Le 31 Octobre dernier, le conseil municipal s’est donc réuni. Il reuni 10 conseillers municipaux étant donné le décès de l’un d’eux depuis mars. La séance a été ouverte par le plus âgé et le vote s’est tenu à bulletin secret comme il se doit. Une seule personne s’est présentée, Madame Nathalie BLANC. A noter que celle-ci avait reçu le plus grand nombre de suffrages des habitants du village lors des élections de Mars dernier.

Selon la Loi, le maire est élu s’il obtient la majorité absolue des suffrages exprimés. Sinon, un deuxième tour est nécessaire (art. L. 2122-7 du CGCT).

Le code électoral assimile vote blanc et vote nul, regroupés dans l’ensemble des suffrages non exprimés.

Le 31 Octobre, il n’y a eu que 3 votés exprimés, tous en faveur de Madame Nathalie BLANC. Les bulletins nuls (1) ou blancs (6) ne peuvent être comptés. Madame Nathalie BLANC était donc légalement élue.

Cependant, Jean-Marie THIEBAUT n’étant pas satisfait de ce résultat a prétendu que la majorité absolue n’était pas atteinte car il fallait tenir compte des votes blancs. Il, a exigé un deuxième tour puis un troisième au cours duquel il a osé se présenter puis de déclarer on ne peut laisser la Mairie à des amateurs. (Une réclamation a été déposée auprès du service de contrôle de légalité de la Préfecture).

Mais qui est l’amateur ?

  • Celui qui ne respecte pas les délais de convocation du conseil
  • Celui qui prend en compte les bulletins blancs et nuls comme suffrages exprimés
  • Celui qui a choisi de passer outre les mises en demeure de l’Etat, mises en demeure qui vont coûter cher aux habitants
  • Celui qui refuse toute explication concernant les décharges illégales
  • Celui qui se permet d’insulter les membres du conseil municipal

Plus révélateur encore est le positionnement des conseillers municipaux qui, après avoir voté blanc, ont choisi au troisième tour de voter pour Jean-Marie THIEBAUT.

Ceux-ci n’ont-ils vraiment aucune honte

Nous avons retrouvé un article du Journal de la Haute-Marne daté du 22 juin 2012 qui relatait un entretien avec le Préfet d’alors, Claude MOREL, à la veille de son départ. Celui-ci avait déclaré on trouve parfois entre élus des rivalités qui peuvent paralyser l’action. Le territoire en souffre beaucoup dans certains endroits.

Nous l’avons vu à Bourbonne Les Bains avec le comportement ignominieux de André NOIROT, qui, de plus, avait décidé en 2014 de ne pas se représenter pour revenir sur sa décision en 2018 et même 2020.



Son ami et compère (car présent en toute sortes d’occasion à ses côtés), Jean-Marie THIEBAUT, avait récemment déclaré au Journal de la Haute-Marne jeter l’éponge et tout comme son ami de Bourbonne Les Bains, il s’accroche en courant après son éponge pour la rattraper !

Le Préfet Claude MOREL avait d’ailleurs ajouté il y a même une tendance des Haut-Marnais à être entre soi sans s’ouvrir vers l’extérieur. Les gens sont enfermés dans leur terroir.

Tout comme pour André NOIROT à Bourbonne Les Bains, pour Jean-Marie THIEBAUT, ce qui importe d’abord est sa place de Maire, quitte à se ridiculiser et à bafouer la Loi.

Le Préfet Claude MOREL avait tout à fait reconnu que la Haute-Marne est restée enclavée.

Il aurait pu ajouter que certains élus se complaisent dans cet enclavement et sont prêts à tout pour y rester.

Tant pis pour les habitants !