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Ce que vous voyez ici
Vous ne le voyez nulle part ailleurs !

Voilà ce que dirait, ou presque, l’éminent Philippe De Villiers

En effet, André NOIROT, maire de la commune de Bourbonne-Les-Bains, a toujours refusé d’exiger le respect du contrat de concession de Valvital, de peur d’offenser son Président, Bernard RIAC. Ce dernier a su profiter de l’incompétence et amateurisme du maire en demandant tout simplement la liquidation judiciaire de la Compagnie des thermes de Bourbonne-Les-Bains se dédouanant ainsi des redevances et autres factures impayées pour se concentrer sur une autre station, en l’occurrence, Nancy Thermal, ne se gênant pas pour tenter de détourner les curistes de Bourbonne sans aucune réaction du maire.

En 2009, les bourbonnais avait déjà pu constater l’incompétence et l’amateurisme de André NOIROT lorsque qu’un certain Pascal BASTIEN, avait largement médiatisé le démarrage d’une usine d’embouteillage à Bourbonne. Tout comme Bernard RIAC, il fut facile pour Pascal BASTIEN d’éblouir le maire avec des promesses toujours des promesses. Finalement la commune avait investi plus de 500 000 € pour des travaux qui incombaient à Pascal BASTIEN. Devant tant de naïveté, il fut facile pour ce dernier de tout simplement disparaître… sans aucune réaction du maire.

Tout comme Bernard RIAC, Pascal BASTIEN a laissé à la charge de la commune des factures impayées (loyers entre autres). Nous sommes informés que ce dernier s’est d’ailleurs reconverti dans le domaine des vins dans le sud de la France !


Aujourd’hui nous pouvons tous constater l’incompétence évidente de André NOIROT quant à la gestion d’autres dossiers tels que l’effondrement du bâtiment de la rue des Capucins.


La situation dangereuse du bâtiment avait été signalée par des habitants bien longtemps avant son effondrement le soir du 11 janvier dernier sans qu’aucune mesures de prévention ne soient prises, si ce n’est que quelques jours avant.

Trois mois plus tard la situation est toujours au point mort. Les habitants de la rue des Capucins se voient condamnés à des détours invraisemblables et même pour les plus âgés et/ou hanicapés à ne plus sortir de chez eux.

C’est une honte

Comme si cela ne suffisait pas, le maire a maintenant décidé de dévier les poids lourds en leur imposant de traverser le quartier thermal aux risques et périls des curistes et piétons du quartier. Pour le passage de ces poids lourds, André NOIROT a été jusqu’à interdire le parking et le stationnement tout au long de la rue donnant accès aux thermes et au Casino (rue Amiral Pierre).

Comme à son habitude, lorsque André NOIROT doit faire face à une situation problématique, plutôt que de la solutionner il choisit d’y ajouter un autre problème.

C’est ce que l’on appelle totale incompétence


La mairie de Royat vire Valvital !


Le 3 mars 2025, le quotidien national « Le Parisien » a publié dans sa parution régionale du Puy-de-Dôme, un article concernant le thermalisme à Royat.

Il nous renseigne sur le courage du maire de Royat et les actions entreprises par la municipalité. L’article est retranscrit en résumé ci-dessous.

Thermalisme : « Ils ramassent les recettes mais ils n’ont pas planté un clou en quatre ans… » La mairie de Royat vire Valvital !

Le torchon brûle entre le groupe thermal Valvital et la mairie de Royat, près de Clermont-Ferrand (Puy-de-Dôme). Après quatre ans de collaboration, le divorce est prononcé.

Le n°2 du thermalisme en France devait réaliser 31 millions d’euros d’investissements, mais la ville n’en a toujours pas vu la couleur. LP/Geneviève Colonna d’Istria

Des thermes rénovés, des bassins agrandis, un investissement de 31 millions d’euros et à la clé une prévision du nombre de curistes en nette hausse. À la sortie de l’épisode Covid qui avait profondément affecté le secteur thermal, le groupe Valvital avait fait de belles promesses en prenant les rênes des thermes de Royat (Puy-de-Dôme) en janvier 2021. Le numéro 2 du thermalisme en France promettait au moment de la signature du contrat « de faire de Royat la première station thermale d’Auvergne » en passant de 8 000 à 11 000 curistes par an.

Mais quatre ans après des annonces fortement médiatisées, aucun des travaux promis n’a vu le jour, entraînant une décision radicale de la part de la municipalité. « Ils ramassent les recettes mais ils n’ont pas planté un clou en quatre ans ! », s’agace Marcel Aledo, maire LR de Royat. Avant Covid, Royat accueillait 12 000 curistes. L’an dernier, ils n’étaient plus que 6 500.

La municipalité a donc décidé de couper les ponts avec le groupe thermal et de récupérer les subventions publiques promises à Valvital (soit 6,8 millions d’euros pour créer une Société publique locale) (SPL) afin de reprendre la gestion des thermes. Un projet de 20 millions d’euros devrait ainsi être lancé prochainement en remplacement, financé par la ville. Cette SPL, qui devrait s’autofinancer, reprendra l’ensemble du personnel, soit une soixantaine de salariés permanents et une centaine de saisonniers. Marcel Aledo assure que « tous les employés seront maintenus en poste ».

Malgré ce changement de gestionnaire, l’ouverture des thermes se fera normalement début avril promet-on du côté de la cure.

Bravo à la municipalité de Royat

Malheureusement à Bourbonne on a l’Dédé et son équipe de petits soldats bien obéissants


Il était une fois les thermes de
Bourbonne-Les-Bains !

Suite à la liquidation judiciaire de la Compagnie des thermes de Bourbonne-Les-Bains, gérée par le groupe VALVITAL depuis 2004, Bernard RIAC, Président du groupe, met en cause le COVID.

Ahurissant !

Toujours soutenu par André NOIROT depuis 2004, Bernard RIAC n’a toujours fait que des promesses qu’il n’a jamais tenues.

A se demander pourquoi ce soutien ?

Le manque d’entretien de l’établissement, pourtant reconnu par une expertise en 2015, est aujourd’hui confirmé par les récentes inspections.

Les fuites d’eau multiples, les faux plafonds effondrés, et d’autres déconvenues inhérentes à la mise en sommeil de l’établissement ont été répertoriées par les huissiers, selon le JHM du 23 février.

Mais encore, au bout de la rue d’Orfeuil se trouve la source dite de Montignon. Cette source alimente les bassins de refroidissement des thermes. Or, les pompes qui permettent cette alimentation sont en panne depuis un certain temps et n’ont fait l’objet d’aucune réparation par VALVITAL. Les thermes se sont donc raccordés au réseau communal laissant une fois de plus une facture impayée de plusieurs milliers d’euros.

Raccordement qui n’a pu se faire qu’avec l’accord du Maire
Sa générosité au profit de VALVITAL était sans limites

Une fois actée, la liquidation judiciaire de la Compagnie des Thermes de Bourbonne-Les-Bains, offrait à la commune la possibilité de reprendre la gestion en Régie communale jusqu’à la reprise par un nouveau concessionnaire. André NOIROT, lui, a décidé que ce serait trop compliqué sans pour autant expliquer pourquoi.

Il est vrai que Bourbonne ne bénéficie plus depuis 2018 des compétences d’un/une Directeur/Directrice Général des Services (DGS) ainsi que l’avait noté le rapport de la Cour des Comptes paru en Décembre dernier.

Etonnamment, ou pas, André NOIROT se félicite aujourd’hui de la reprise de la gestion et l’exploitation des thermes par l’Agence d’Attractivité. Rappelons que le Président de cette Agence n’est autre que Nicolas LACROIX, qui déclare d’ailleurs que l’Agence sauve les thermes ! A voir…

Il est vrai que ce n’est pas André NOIROT et son équipe qui vont sauver les thermes puisque c’est tout de même grâce à leur inaction et même incompétence que les Thermes sont aujourd’hui à sauver.

Leur lâcheté face à un individu tel que Bernard RIAC est aujourd’hui constatée et très contestable.

La reprise par l’Agence d’Attractivité n’est officiellement que temporaire. Toutefois, Christine GUILLEMY, Maire de Chaumont, a précisé lors de son dernier conseil municipal, qu’il n’est pas exclu que l’Agence d’Attractivité conserve l’exploitation pendant plusieurs années !Affaire à suivre

A souligner que tous les financements inhérents à cette reprise seront à assumer par la commune, donc le contribuable bourbonnais qui n’a toujours fait que payer tous les avantages que André NOIROT a octroyé à Valvital.

Selon le dernier rapport de la Cour des Comptes, page 4, paru en décembre dernier Les ressources communales issues des délégations de service public (DSP) en lien avec l’activité thermale représentant, en moyenne, 24 % des recettes du budget principal, la commune reste particulièrement dépendante d’une activité thermale en repli.

Il reste à savoir maintenant comment ce manque à gagner va être comblé


Valvital baigne
dans l’eau trouble
Et les élus rigolent !

Un article paru dans le JHM Quotidien du 30 novembre 2024 nous renseigne sur la situation financière très dégradée de la Compagnie des Thermes de Bourbonne Les Bains. Le même article publie la photo du maire, André NOIROT, et son premier adjoint, Elie PERRIOT. Ceux-ci se montrent tout sourire et décontractés quant à cette révélation.

Quelle honte !

Pour rappel, Valvital dont le dirigeant est Bernard RIAC, est propriétaire de la Compagnie des Thermes de Bourbonne Les Bains, gestionnaire des thermes depuis 2004 lorsque les thermes recevaient plus de 12 000 curistes annuellement.

Depuis 2004, la fréquentation des thermes n’a cessé de chuter à l’exception de 2016 et 2017. En effet, en vertu du chapitre VII du contrat de concession, intitulé CONTRÔLE DE CONCESSION, l’équipe municipale d’alors avait demandé au juge des référés de prescrire une expertise en vue de constater l’état des bâtiments de l’établissement thermale et de l’ensemble des équipements liés à l’activité thermale.

Le rapport d’expertise mentionné ci-dessus daté du 4 avril 2016 disponible en Mairie, avait conclu :

Les désordres constatés à l’intérieur et à l’extérieur des bâtiments relèvent de défauts d’entretien de la Compagnie des Thermes de Bourbonne Les Bains.

Suite à ce rapport, Valvital avait engagé un minimum de travaux de réfection (façades, accueil) et la baisse de la fréquentation était enrayée pour les deux années suivantes pour reprendre fin 2018.

Depuis 2006, année du rachat des thermes par la commune à l’Etat, André NOIROT n’a effectué aucun contrôle sur la gestion du domaine concédé et sur la marche du service des thermes au cours de l’année précédente ainsi que le stipule le Chapitre VII du contrat de concession. Le contrat est un document accessible au public en Mairie. L’absence totale de contrôle a repris dès la fin 2018, au retour de André NOIROT à la Mairie.

Nous pouvons dire que Bernard RIAC s’est très vite réjoui de ce retour. Il faut dire que face à André NOIROT, maintenant toujours accompagné de Elie PERRIOT, Il n’a pas trop s’en faire.

Serait-ce de la lâcheté ou de l’incompétence ou les deux ?

En 2023 la fréquentation n’était plus que de 5 051 curistes.


Certes, la crise du COVID a été une rude épreuve pour toutes les stations thermales. Cependant elle n’explique pas la chute constante (ou presque) du nombre de curistes depuis l’arrivée de Valvital à Bourbonne.

Alors qu’au niveau national, la fréquentation des stations thermales était en baisse de 21 % fin 2023 par rapport à 2019 (année de référence), la fréquentation de la station de Bourbonne était en baisse de 35 %.

Le maire aurait-il peur de faire face à Bernard RIAC ? Pourquoi ?

Le centre-ville bientôt sinistré

En tant que commerce de proximité, une pharmacie représente un atout indispensable dans l’attractivité d’un village ou d’un faubourg.

La population de la commune de Bourbonne-Les-Bains est majoritairement âgée souvent non motorisée et dépendante des services de santé de proximité. Elle accueille, de plus, quantités de curistes chaque année également demandeurs de médicaments.

Et pourtant, la pharmacie Principale au centre-ville vient de fermer

La population abandonnée

Beaucoup se souviennent que la Grande Rue comptait trois pharmacies au début des années 2000. Vers 2010, la pharmacie DOUADI du 54, Grande Rue a fermé ses portes pour cause de retraite. Elle a été alors « regroupée » par l’association de la pharmacie Centrale du regretté François PERBAL du 9, Grande Rue et la pharmacie Principale de Coralie LAVENU au coin de la rue Porte Galon et de la Grande Rue.

Suite au décès soudain de François PERBAL en 2013, François ROHMER, époux de Coralie LAVENU, lui-même pharmacien, avait repris la pharmacie Centrale.

Dès lors les époux détenant le monopole, projettent la construction d’une nouvelle pharmacie près du Lidl (à plus de deux kilomètres du centre-ville) avec pour intention de capter la clientèle de passage pour éventuellement regrouper les deux pharmacies.

Officiellement, pour qu’un regroupement puisse avoir lieu, il faut impérativement que le regroupement ne conduise pas à créer un vide sanitaire donc compromettre l’accès aux médicaments pour la population concernée par la fermeture de la pharmacie d’origine.

Le vide sanitaire est créer et l’accès aux médicaments est compromis

Beaucoup considèrent aujourd’hui que la disparition de l’unique pharmacie du centre-ville c’est porter un préjudice important, non seulement à la population, mais également à l’ensemble des commerces de la Grande Rue.

Une trahison de plus

Les questions que l’on peut poser sont les suivantes :

  • Pourquoi l’Agence Régionale de Santé a autorisé la fermeture ?
  • Pourquoi le Maire n’est pas intervenu ?
  • Pourquoi le Conseil de l’Ordre des Pharmaciens n’est pas intervenu ?


Pour l’histoire de Bourbonne, selon les registres paroissiaux et archives départementales, nous avons retrouvé plusieurs pharmaciens dénommés alors « apothicaires » officiant :

  • FRANCOIS Charles, vers 1660
  • BRESSON Nicolas, vers 1680
  • BAILLY Charles, vers 1695 et décédé vers 1725
  • BAILLY Jean-Baptiste, fils du précèdent, vers 1720
  • BERRY Louis Guillaume Brice, vers 1780
  • BEZU Bonaventure Hubert Theophile, vers 1830
  • BOMPARD Hector Edmond, gendre du précédent, vers 1855
  • (Sa fille, Marie Amélie était la mère de Constantin-Meyer)

  • HABERT Marie Jules Alfred, vers 1885

N’oublions pas Jean GUYOT qui, de plus, fut un excellent maire de la commune de 1959 à 1971.

Rappelons à votre souvenir, les regrettés François PERBAL et Guy PIERREL.

Le maire, André NOIROT, ne fait que contribuer à la DÉVITALISATION du centre-ville et donc de la commune

Limiter les dépenses

Le nouveau gouvernement a constaté l’état catastrophique des finances de notre pays. En effet, l’INSEE a dévoilé que la France est endettée à hauteur de

3 228 milliards d’€

Si la France est si endettée, l’évidence est que ses dépenses sont très supérieures à ses recettes.

Pour tenter de remédier à cette situation, le Gouvernement a décidé en priorité de limiter ses dépenses comme le ferait d’ailleurs tout un chacun, qu’il s’agisse d’un ménage ou d’une entreprise. L’une des conséquences en sera que l’Etat ne pourra plus assumer certaines enveloppes allouées aux régions et départements, entre autres.

Le budget 2025 actuellement soumis à l’Assemblée Nationale pour examen prévoit une réduction du déficit de 60 milliards d’€. Un effort considérable sera demandé aux collectivités : 5 milliards d’€ d’économies.

Le Conseil Départemental de la Haute-Marne devra baisser ses dépenses de 61 millions d’€ sur la période 2025/2030.

Fureur de Nicolas LACROIX !


Plutôt que de baisser les dépenses, Nicolas LACROIX, du « haut » de son siège de Président du Conseil Départemental, a lui choisit de compenser les recettes manquantes en mettant à vendre les biens patrimoniaux tels que la Préfecture, les sous-préfectures, le Palais de justice et près d’une dizaine de gendarmeries, une série de bâtiments tous occupés par l’Etat.

Cette annonce, même symbolique, démontre bien son ignorance mais aussi son mépris pour le « Service Public géré par l’Etat pour satisfaire l’intérêt général » donc les habitants.

C’est une gifle à la population mais aussi au patrimoine des haut-marnais

Un peu d’histoire

Le département de la Haute-Marne a été créé le 4 mars 1790 en application de la loi du 22 décembre 1789.

En 1800, il est mis en place un préfet, un conseil de préfecture et un conseil général dans chacun des départements.

Le Préfet est au service de l’Etat et s’assure de la bonne application des lois et décisions du gouvernement. Le Conseil Général, devenu depuis 2013 Conseil Départemental, est une collectivité territoriale au service les habitants.

Selon les données de la Direction de l’immobilier de l’Etat, 58,1 % du parc immobilier préfectoral sont mise à disposition par les Conseils Départementaux mais, par convention, l’Etat en supporte toutes les dépenses notamment pour appliquer la règlementation des établissements recevant du public. Cela conduit à ce que l’État assume toutes les charges du propriétaire sans toutefois en avoir le statut.

Symboliquement, ce patrimoine appartient aux habitants


Qu’en est-il de la baisse des dépenses ?

Citons quelques marges de manœuvre pour le faire :

  • Supprimer les multiples présidences rémunérées assumées par Nicolas LACROIX lui-même
  • Réduire les dépenses de personnel du Conseil Départemental inscrites à 48,8 millions d’€ selon le budget 2024
  • Réduire les indemnités des conseillers départementaux qui s’élèvent à près de 1,5 million d’€ toujours selon le budget 2024, certains d’entre eux n’ayant d’ailleurs qu’une fonction de coupeurs de rubans cumulant plusieurs indemnités
  • Réduire les dépenses de communication inutiles. (Cette année, 4 millions d’€ ont été dépensé pour l’agence d’attractivité, le Tour de France, le Relais de la Flamme olympique, les 50 ans du Der, CVB, le Mémorial De Gaulle)

Rappelons de plus qu’en 2022, Nicolas LACROIX avait commandité l’achat d’une voiture de luxe d’un coût de près de 80 000 € ! car il n’est pas un « plouc ».

Tant pis pour la gestion « en bon père de famille »


Le grand déclin

Qu’il soit urbain, démographique ou économique, le déclin de Bourbonne est évident.

Bourbonne-Les-Bains, reconnue depuis plusieurs siècles comme étant une commune attractive car située dans un écrin de verdure et bénéficiant d’une offre commerciale importante et surtout par la présence des thermes qui faisaient affluer annuellement quantité de curistes.

Le passage des barbares, des incendies et des guerres n’a jamais fait perdre à cette commune son attractivité. Elle a, au travers de l’histoire, toujours surmontée les difficultés et a repris sa place pour prospérer.

La commune comptait 3 107 habitants en 1793. En 1881 elle en comptait 4 406 habitants. Après la première guerre mondiale et dévastatrice, elle n’en comptait plus que 3 215. Alors qu’elle en comptait 2 827 en 1936 avant la deuxième guerre mondiale, elle en comptait 2 709 en 1946 pour remonter à 3 022 en 1982.

Depuis 1990, le déclin a été constant sous la gouvernance de André NOIROT

1 969 habitants au 1er janvier 2024.

Pourquoi ce déclin flagrant ?

Pour le comprendre il suffit de se rendre à l’évidence : la politique menée par André NOIROT.

Les passe-droits au concessionnaire des thermes depuis 2004 et le copinage qu’il a toujours pratiqué ne font que gangréner la commune.

Pour ne citer que quelques exemples, il a manœuvré pour empêcher l’installation d’entreprises voulant s’installer à Bourbonne. Plusieurs médecins ont été découragés de s’installer à Bourbonne, mais également des commerçants ou artisans afin de ne pas faire concurrence aux médecins, commerçants ou artisans existants de son entourage.

Toujours pour arranger les copains, il a acheté au nom de la commune plusieurs biens immobiliers, aujourd’hui tous à l’abandon (Hôtel des Sources entre autres et plus récemment, une maison rue de l’hôtel Dieu, la Roseraie rue d’Orfeuil, l’étang Fallot d’ailleurs fermé au public…)

Il a endetté la commune démesurément. N’a-t-il pas d’ailleurs avoué lors de la présentation récente d’une étude sur la revitalisation de Bourbonne-Les-Bains, que d’une part il n’avait pas été consulté et que de plus il n’y avait plus d’argent dans les caisses !

A qui la faute ?
Il est évident qu’André NOIROT est le fossoyeur de Bourbonne-Les-Bains

Toutes ses années de gouvernance n’ont apporté que déclin, déchéance, endettement inconsidéré et même délabrement de la commune.

Même l’horloge de l’Église Notre Dame est dérèglée !

Parlons avenir :

Il se dit que le premier adjoint, Elie PERRIOT rêve d’emporter le mandat de maire aux prochaines élections municipales de 2026. Malheureusement il fait preuve du même manque de scrupules qu’André NOIROT, certains disent même pire. Lui qui salue les « femelles » lorsqu’il s’adresse à des bourbonnaises, ou encore lui qui pratique allègrement le dénigrement grossier et de bas étage.

Malgré tout, gardons espoir pour 2026

Menée par une équipe intègre, honnête et motivée uniquement par l’intérêt général, Bourbonne peut sortir du marasme dans lequel André NOIROT l’a plongé.


Encore un emprunt 2024 !

Comme si la commune n’était pas suffisamment endettée, voilà que André NOIROT annonce au conseil communautaire du 23 mai dernier que Bourbonne augmentait sa contribution à la construction du « fameux » pôle scolaire de 1,7 million € à 2 millions €, quid du conseil municipal. Notons que l’opération est maintenant évaluée à près de 10 millions €…

Il est vrai qu’il n’est pas besoin de demander l’approbation des conseillers municipaux puisqu’ils ne font qu’approuver unanimement absolument tout ce que le maire leur présente sans aucune question ou remarque. Pour cela il faudrait d’ailleurs qu’ils comprennent ce qui leur est présenté.

Que ce soit André NOIROT ou Éric DARBOT, aucun ne s’est inquiété de savoir si une telle construction était vraiment nécessaire et financièrement possible.

  • La baisse constante de population (près de 200 habitants depuis 2018 à Bourbonne)
  • La baisse des recettes
  • L’augmentation des dépenses
  • La baisse des subventions

Bref, où vont-ils trouver ces 2 millions d’€ ? dans nos poches ?

Rappelons que la gestion de la commune par André NOIROT avait été jugée très mauvaise par le site internet des Contribuables associés dans son argus des communes 2024.

De plus, il a fallu près de 7 ans à Éric DARBOT pour qu’enfin démarrent des travaux de réfection de la piscine de Bourbonne (octobre 2023). Elle est d’ailleurs toujours en travaux !

Sous la Présidence de Éric DARBOT, la communauté de communes des savoir-faire n’a réalisé que 4 de ses projets en 7 ans, dont deux avaient d’ailleurs été initiés par la commune de Chalindrey.

Tout comme André NOIROT, voilà que Éric DARBOT annonce le 23 mai dernier qu’il envisage emprunter 5,5 millions d’€ pour financer la construction du pôle scolaire de Haute-Amance. Au 31.12.2022 la dette de la communauté de communes s’élevait déjà à plus de 6 millions.

S’agirait-il d’incompétence ?

En ce qui concerne Bourbonne, il est à noter l’absence totale de publication des délibérations du conseil municipal sur le site internet de la commune concernant 2024.

Conformément l’article L.2121-25 modifié du Code Général des Collectivités Territoriales, la liste des délibérations examinées par le conseil municipal doit être affichée à la mairie et publiée sur le site internet de la commune lorsqu’il existe, dans un délai d’une semaine à compter de l’examen de ces délibérations par le conseil municipal.

Or, ni les convocations ni les délibérations ne sont publiées

André NOIROT aurait-il peur que cela ne soulève des interrogations quant à ses décisions délirantes et toujours très coûteuses


Ouverture de la saison thermale 2024

Nicolas LACROIX, Président du conseil départemental se glorifie sur sa page face-book d’être venu à Bourbonne-Les-Bains le 25 mars dernier pour l’ouverture de la saison thermale 2024.

Reconnue au plan scientifique, l’eau de Bourbonne-les-bains est une véritable richesse.

J’en suis convaincu : cette cité a le potentiel pour devenir la station thermale de demain, capable à la fois d’être en pointe en matière de santé et d’être une place forte du tourisme haut-marnais. L’enjeu est énorme : ce sont aujourd’hui 300 emplois directs et indirects concernés. Je me suis rendu ce lundi sur place pour lancer la saison thermale, y rencontrer, le maire de la ville, mon ami André Noirot, mes collègues Élie Perriot et Sylviane Denis, la direction des thermes et faire un point sur les travaux de l’office de tourisme – Agence d’attractivité – La Haute-Marne Respire & Inspire. Le Département sera aux côtés de Bourbonne-les-bains, avec un objectif commun : rendre à la Haute-Marne sa fierté !

Nicolas LACROIX découvre que Bourbonne a un potentiel !

Ne sait-il pas que la qualité de l’eau a permis historiquement à Bourbonne d’être à la pointe en matière de santé ? Ce n’est pas un potentiel mais une réalité.

Il devrait plutôt se désoler de voir que ce qu’il appelle potentiel de Bourbonne a été réduit à peau de chagrin depuis l’arrivée de Valvital en 2004 avec de plus, la complaisance de « son ami »
André NOIROT

Nicolas LACROIX pensait-il vraiment que par sa venue à Bourbonne, il allait attirer plus de curistes ?

Rappelons que André NOIROT avait exonéré VALVITAL de redevance suite au COVID alors que la Société avait bénéficié de toutes les aides de l’Etat.

Rappelons également que VALVITAL n’engage qu’un minimum de travaux de maintenance pourtant exigés dans son cahier des charges. Les pannes récurrentes de chauffage, de baignoires, d’eau chaude, des malaxeurs de boue, etc. ne font que participer à la fuite des curistes pourtant adeptes de la qualité de l’eau thermale.

En déclarant : le Département sera aux côtés de Bourbonne-Les-Bains, nous nous demandons si Nicolas LACROIX pense intervenir comme il le fait sur la réorganisation des hôpitaux du sud-Haute-Marne alors que la santé ne relève pas de la compétence du Département.

Sur décision unilatérale de VALVITAL, la saison a démarré trois semaines plus tard causant un préjudice certain pour les logeurs de Bourbonne. Comme à son habitude, André NOIROT a fait preuve d’une grande lâcheté en acceptant ce retard.

Rendre à la Haute-Marne sa fierté
Ce n’est pas pour demain !


Zéro artificialisation nette
Et Bourbonne dans tout cela ?

Comme d’habitude, les élus de Bourbonne ne se sentent pas concernés, les lois sont pour les autres.




Pour faire simple, le concept de cette loi est de stopper l’empiètement des terres agricoles et de se concentrer sur la revitalisation des espaces urbains laissés à l’abandon.

A l’inverse, les élus de Bourbonne, dirigés à la baguette par André NOIROT, se concentrent sur l’extension du périmètre urbain et ne se soucient pas de la dévitalisation du centre.

C’est ainsi que la municipalité de André NOIROT avait réquisitionné des terres agricoles pour la construction de la maison de retraite loin du centre, condamnant les résidents à un certain isolement loin de leur famille qui ne sont pas toujours motorisées.

Plus inquiétant maintenant, est le projet mené par la Communauté de Communes et André NOIROT, de délocaliser la gendarmerie sur des terres actuellement cultivées. Voir notre article du 2 avril 2021 intitulé lDélocalisation de la gendarmerie. La gendarmerie actuelle ne serait plus qu’une friche de plus pour la commune.

La Communauté de Communes présidée depuis 2017 par Éric DARBOT, en accord bien sûr avec André NOIROT, a inscrit Bourbonne dans le programme des petites villes de demain.

Les aides et soutiens en matière de restauration et de mise en valeur du patrimoine proposés par les partenaires du programme sont au centre de cette offre.

Pour cela encore faudrait-il avoir un projet de territoire

Lorsque l’on voit qu’il a fallu près de 7 ans à cette Communauté de Communes pour démarrer les travaux de rénovation de la piscine de Bourbonne, cela ne donne pas grand espoir pour tout autre projet.

Des études, toujours des études

Payées par nos impôts et sans résultats

Un autre projet annoncé pose question, celui du pôle scolaire. En effet, depuis 2008 soit plus de 15 ans, André NOIROT avait annoncé le regroupement des écoles près du Collège.

Le projet lui-même tel qu’envisagé par André NOIROT, donnerait aux élèves accès au gymnase et à la piscine.

Or le gymnase, qui a d’ailleurs besoin d’une restauration importante, est occupé à 60% du temps par le collège, et par les associations sportives pour le reste du temps. L’école actuelle bénéficie de deux gymnases.

Quant à la piscine, les élèves n’y allaient que sporadiquement, il y faut de plus un personnel encadrant qualifié.

Pour couronner le tout, il n’y a aucun projet de réutilisation des bâtiments actuels qui font partie du patrimoine historique de Bourbonne.

Ainsi que le Sous-préfet l’avait déclaré en 2015 l’Etat ne financera plus de constructions d’écoles alors que ces dernières perdent des classes. C’est le cas de Bourbonne malheureusement.

Dépouiller le centre plutôt que de le réhabiliter
équivaut à mettre la charrue avant les bœufs