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Valvital baigne
dans l’eau trouble
Et les élus rigolent !

Un article paru dans le JHM Quotidien du 30 novembre 2024 nous renseigne sur la situation financière très dégradée de la Compagnie des Thermes de Bourbonne Les Bains. Le même article publie la photo du maire, André NOIROT, et son premier adjoint, Elie PERRIOT. Ceux-ci se montrent tout sourire et décontractés quant à cette révélation.

Quelle honte !

Pour rappel, Valvital dont le dirigeant est Bernard RIAC, est propriétaire de la Compagnie des Thermes de Bourbonne Les Bains, gestionnaire des thermes depuis 2004 lorsque les thermes recevaient plus de 12 000 curistes annuellement.

Depuis 2004, la fréquentation des thermes n’a cessé de chuter à l’exception de 2016 et 2017. En effet, en vertu du chapitre VII du contrat de concession, intitulé CONTRÔLE DE CONCESSION, l’équipe municipale d’alors avait demandé au juge des référés de prescrire une expertise en vue de constater l’état des bâtiments de l’établissement thermale et de l’ensemble des équipements liés à l’activité thermale.

Le rapport d’expertise mentionné ci-dessus daté du 4 avril 2016 disponible en Mairie, avait conclu :

Les désordres constatés à l’intérieur et à l’extérieur des bâtiments relèvent de défauts d’entretien de la Compagnie des Thermes de Bourbonne Les Bains.

Suite à ce rapport, Valvital avait engagé un minimum de travaux de réfection (façades, accueil) et la baisse de la fréquentation était enrayée pour les deux années suivantes pour reprendre fin 2018.

Depuis 2006, année du rachat des thermes par la commune à l’Etat, André NOIROT n’a effectué aucun contrôle sur la gestion du domaine concédé et sur la marche du service des thermes au cours de l’année précédente ainsi que le stipule le Chapitre VII du contrat de concession. Le contrat est un document accessible au public en Mairie. L’absence totale de contrôle a repris dès la fin 2018, au retour de André NOIROT à la Mairie.

Nous pouvons dire que Bernard RIAC s’est très vite réjoui de ce retour. Il faut dire que face à André NOIROT, maintenant toujours accompagné de Elie PERRIOT, Il n’a pas trop s’en faire.

Serait-ce de la lâcheté ou de l’incompétence ou les deux ?

En 2023 la fréquentation n’était plus que de 5 051 curistes.


Certes, la crise du COVID a été une rude épreuve pour toutes les stations thermales. Cependant elle n’explique pas la chute constante (ou presque) du nombre de curistes depuis l’arrivée de Valvital à Bourbonne.

Alors qu’au niveau national, la fréquentation des stations thermales était en baisse de 21 % fin 2023 par rapport à 2019 (année de référence), la fréquentation de la station de Bourbonne était en baisse de 35 %.

Le maire aurait-il peur de faire face à Bernard RIAC ? Pourquoi ?

Le centre-ville bientôt sinistré

En tant que commerce de proximité, une pharmacie représente un atout indispensable dans l’attractivité d’un village ou d’un faubourg.

La population de la commune de Bourbonne-Les-Bains est majoritairement âgée souvent non motorisée et dépendante des services de santé de proximité. Elle accueille, de plus, quantités de curistes chaque année également demandeurs de médicaments.

Et pourtant, la pharmacie Principale au centre-ville vient de fermer

La population abandonnée

Beaucoup se souviennent que la Grande Rue comptait trois pharmacies au début des années 2000. Vers 2010, la pharmacie DOUADI du 54, Grande Rue a fermé ses portes pour cause de retraite. Elle a été alors « regroupée » par l’association de la pharmacie Centrale du regretté François PERBAL du 9, Grande Rue et la pharmacie Principale de Coralie LAVENU au coin de la rue Porte Galon et de la Grande Rue.

Suite au décès soudain de François PERBAL en 2013, François ROHMER, époux de Coralie LAVENU, lui-même pharmacien, avait repris la pharmacie Centrale.

Dès lors les époux détenant le monopole, projettent la construction d’une nouvelle pharmacie près du Lidl (à plus de deux kilomètres du centre-ville) avec pour intention de capter la clientèle de passage pour éventuellement regrouper les deux pharmacies.

Officiellement, pour qu’un regroupement puisse avoir lieu, il faut impérativement que le regroupement ne conduise pas à créer un vide sanitaire donc compromettre l’accès aux médicaments pour la population concernée par la fermeture de la pharmacie d’origine.

Le vide sanitaire est créer et l’accès aux médicaments est compromis

Beaucoup considèrent aujourd’hui que la disparition de l’unique pharmacie du centre-ville c’est porter un préjudice important, non seulement à la population, mais également à l’ensemble des commerces de la Grande Rue.

Une trahison de plus

Les questions que l’on peut poser sont les suivantes :

  • Pourquoi l’Agence Régionale de Santé a autorisé la fermeture ?
  • Pourquoi le Maire n’est pas intervenu ?
  • Pourquoi le Conseil de l’Ordre des Pharmaciens n’est pas intervenu ?


Pour l’histoire de Bourbonne, selon les registres paroissiaux et archives départementales, nous avons retrouvé plusieurs pharmaciens dénommés alors « apothicaires » officiant :

  • FRANCOIS Charles, vers 1660
  • BRESSON Nicolas, vers 1680
  • BAILLY Charles, vers 1695 et décédé vers 1725
  • BAILLY Jean-Baptiste, fils du précèdent, vers 1720
  • BERRY Louis Guillaume Brice, vers 1780
  • BEZU Bonaventure Hubert Theophile, vers 1830
  • BOMPARD Hector Edmond, gendre du précédent, vers 1855
  • (Sa fille, Marie Amélie était la mère de Constantin-Meyer)

  • HABERT Marie Jules Alfred, vers 1885

N’oublions pas Jean GUYOT qui, de plus, fut un excellent maire de la commune de 1959 à 1971.

Rappelons à votre souvenir, les regrettés François PERBAL et Guy PIERREL.

Le maire, André NOIROT, ne fait que contribuer à la DÉVITALISATION du centre-ville et donc de la commune

Limiter les dépenses

Le nouveau gouvernement a constaté l’état catastrophique des finances de notre pays. En effet, l’INSEE a dévoilé que la France est endettée à hauteur de

3 228 milliards d’€

Si la France est si endettée, l’évidence est que ses dépenses sont très supérieures à ses recettes.

Pour tenter de remédier à cette situation, le Gouvernement a décidé en priorité de limiter ses dépenses comme le ferait d’ailleurs tout un chacun, qu’il s’agisse d’un ménage ou d’une entreprise. L’une des conséquences en sera que l’Etat ne pourra plus assumer certaines enveloppes allouées aux régions et départements, entre autres.

Le budget 2025 actuellement soumis à l’Assemblée Nationale pour examen prévoit une réduction du déficit de 60 milliards d’€. Un effort considérable sera demandé aux collectivités : 5 milliards d’€ d’économies.

Le Conseil Départemental de la Haute-Marne devra baisser ses dépenses de 61 millions d’€ sur la période 2025/2030.

Fureur de Nicolas LACROIX !


Plutôt que de baisser les dépenses, Nicolas LACROIX, du « haut » de son siège de Président du Conseil Départemental, a lui choisit de compenser les recettes manquantes en mettant à vendre les biens patrimoniaux tels que la Préfecture, les sous-préfectures, le Palais de justice et près d’une dizaine de gendarmeries, une série de bâtiments tous occupés par l’Etat.

Cette annonce, même symbolique, démontre bien son ignorance mais aussi son mépris pour le « Service Public géré par l’Etat pour satisfaire l’intérêt général » donc les habitants.

C’est une gifle à la population mais aussi au patrimoine des haut-marnais

Un peu d’histoire

Le département de la Haute-Marne a été créé le 4 mars 1790 en application de la loi du 22 décembre 1789.

En 1800, il est mis en place un préfet, un conseil de préfecture et un conseil général dans chacun des départements.

Le Préfet est au service de l’Etat et s’assure de la bonne application des lois et décisions du gouvernement. Le Conseil Général, devenu depuis 2013 Conseil Départemental, est une collectivité territoriale au service les habitants.

Selon les données de la Direction de l’immobilier de l’Etat, 58,1 % du parc immobilier préfectoral sont mise à disposition par les Conseils Départementaux mais, par convention, l’Etat en supporte toutes les dépenses notamment pour appliquer la règlementation des établissements recevant du public. Cela conduit à ce que l’État assume toutes les charges du propriétaire sans toutefois en avoir le statut.

Symboliquement, ce patrimoine appartient aux habitants


Qu’en est-il de la baisse des dépenses ?

Citons quelques marges de manœuvre pour le faire :

  • Supprimer les multiples présidences rémunérées assumées par Nicolas LACROIX lui-même
  • Réduire les dépenses de personnel du Conseil Départemental inscrites à 48,8 millions d’€ selon le budget 2024
  • Réduire les indemnités des conseillers départementaux qui s’élèvent à près de 1,5 million d’€ toujours selon le budget 2024, certains d’entre eux n’ayant d’ailleurs qu’une fonction de coupeurs de rubans cumulant plusieurs indemnités
  • Réduire les dépenses de communication inutiles. (Cette année, 4 millions d’€ ont été dépensé pour l’agence d’attractivité, le Tour de France, le Relais de la Flamme olympique, les 50 ans du Der, CVB, le Mémorial De Gaulle)

Rappelons de plus qu’en 2022, Nicolas LACROIX avait commandité l’achat d’une voiture de luxe d’un coût de près de 80 000 € ! car il n’est pas un « plouc ».

Tant pis pour la gestion « en bon père de famille »


Le grand déclin

Qu’il soit urbain, démographique ou économique, le déclin de Bourbonne est évident.

Bourbonne-Les-Bains, reconnue depuis plusieurs siècles comme étant une commune attractive car située dans un écrin de verdure et bénéficiant d’une offre commerciale importante et surtout par la présence des thermes qui faisaient affluer annuellement quantité de curistes.

Le passage des barbares, des incendies et des guerres n’a jamais fait perdre à cette commune son attractivité. Elle a, au travers de l’histoire, toujours surmontée les difficultés et a repris sa place pour prospérer.

La commune comptait 3 107 habitants en 1793. En 1881 elle en comptait 4 406 habitants. Après la première guerre mondiale et dévastatrice, elle n’en comptait plus que 3 215. Alors qu’elle en comptait 2 827 en 1936 avant la deuxième guerre mondiale, elle en comptait 2 709 en 1946 pour remonter à 3 022 en 1982.

Depuis 1990, le déclin a été constant sous la gouvernance de André NOIROT

1 969 habitants au 1er janvier 2024.

Pourquoi ce déclin flagrant ?

Pour le comprendre il suffit de se rendre à l’évidence : la politique menée par André NOIROT.

Les passe-droits au concessionnaire des thermes depuis 2004 et le copinage qu’il a toujours pratiqué ne font que gangréner la commune.

Pour ne citer que quelques exemples, il a manœuvré pour empêcher l’installation d’entreprises voulant s’installer à Bourbonne. Plusieurs médecins ont été découragés de s’installer à Bourbonne, mais également des commerçants ou artisans afin de ne pas faire concurrence aux médecins, commerçants ou artisans existants de son entourage.

Toujours pour arranger les copains, il a acheté au nom de la commune plusieurs biens immobiliers, aujourd’hui tous à l’abandon (Hôtel des Sources entre autres et plus récemment, une maison rue de l’hôtel Dieu, la Roseraie rue d’Orfeuil, l’étang Fallot d’ailleurs fermé au public…)

Il a endetté la commune démesurément. N’a-t-il pas d’ailleurs avoué lors de la présentation récente d’une étude sur la revitalisation de Bourbonne-Les-Bains, que d’une part il n’avait pas été consulté et que de plus il n’y avait plus d’argent dans les caisses !

A qui la faute ?
Il est évident qu’André NOIROT est le fossoyeur de Bourbonne-Les-Bains

Toutes ses années de gouvernance n’ont apporté que déclin, déchéance, endettement inconsidéré et même délabrement de la commune.

Même l’horloge de l’Église Notre Dame est dérèglée !

Parlons avenir :

Il se dit que le premier adjoint, Elie PERRIOT rêve d’emporter le mandat de maire aux prochaines élections municipales de 2026. Malheureusement il fait preuve du même manque de scrupules qu’André NOIROT, certains disent même pire. Lui qui salue les « femelles » lorsqu’il s’adresse à des bourbonnaises, ou encore lui qui pratique allègrement le dénigrement grossier et de bas étage.

Malgré tout, gardons espoir pour 2026

Menée par une équipe intègre, honnête et motivée uniquement par l’intérêt général, Bourbonne peut sortir du marasme dans lequel André NOIROT l’a plongé.


Encore un emprunt 2024 !

Comme si la commune n’était pas suffisamment endettée, voilà que André NOIROT annonce au conseil communautaire du 23 mai dernier que Bourbonne augmentait sa contribution à la construction du « fameux » pôle scolaire de 1,7 million € à 2 millions €, quid du conseil municipal. Notons que l’opération est maintenant évaluée à près de 10 millions €…

Il est vrai qu’il n’est pas besoin de demander l’approbation des conseillers municipaux puisqu’ils ne font qu’approuver unanimement absolument tout ce que le maire leur présente sans aucune question ou remarque. Pour cela il faudrait d’ailleurs qu’ils comprennent ce qui leur est présenté.

Que ce soit André NOIROT ou Éric DARBOT, aucun ne s’est inquiété de savoir si une telle construction était vraiment nécessaire et financièrement possible.

  • La baisse constante de population (près de 200 habitants depuis 2018 à Bourbonne)
  • La baisse des recettes
  • L’augmentation des dépenses
  • La baisse des subventions

Bref, où vont-ils trouver ces 2 millions d’€ ? dans nos poches ?

Rappelons que la gestion de la commune par André NOIROT avait été jugée très mauvaise par le site internet des Contribuables associés dans son argus des communes 2024.

De plus, il a fallu près de 7 ans à Éric DARBOT pour qu’enfin démarrent des travaux de réfection de la piscine de Bourbonne (octobre 2023). Elle est d’ailleurs toujours en travaux !

Sous la Présidence de Éric DARBOT, la communauté de communes des savoir-faire n’a réalisé que 4 de ses projets en 7 ans, dont deux avaient d’ailleurs été initiés par la commune de Chalindrey.

Tout comme André NOIROT, voilà que Éric DARBOT annonce le 23 mai dernier qu’il envisage emprunter 5,5 millions d’€ pour financer la construction du pôle scolaire de Haute-Amance. Au 31.12.2022 la dette de la communauté de communes s’élevait déjà à plus de 6 millions.

S’agirait-il d’incompétence ?

En ce qui concerne Bourbonne, il est à noter l’absence totale de publication des délibérations du conseil municipal sur le site internet de la commune concernant 2024.

Conformément l’article L.2121-25 modifié du Code Général des Collectivités Territoriales, la liste des délibérations examinées par le conseil municipal doit être affichée à la mairie et publiée sur le site internet de la commune lorsqu’il existe, dans un délai d’une semaine à compter de l’examen de ces délibérations par le conseil municipal.

Or, ni les convocations ni les délibérations ne sont publiées

André NOIROT aurait-il peur que cela ne soulève des interrogations quant à ses décisions délirantes et toujours très coûteuses


Ouverture de la saison thermale 2024

Nicolas LACROIX, Président du conseil départemental se glorifie sur sa page face-book d’être venu à Bourbonne-Les-Bains le 25 mars dernier pour l’ouverture de la saison thermale 2024.

Reconnue au plan scientifique, l’eau de Bourbonne-les-bains est une véritable richesse.

J’en suis convaincu : cette cité a le potentiel pour devenir la station thermale de demain, capable à la fois d’être en pointe en matière de santé et d’être une place forte du tourisme haut-marnais. L’enjeu est énorme : ce sont aujourd’hui 300 emplois directs et indirects concernés. Je me suis rendu ce lundi sur place pour lancer la saison thermale, y rencontrer, le maire de la ville, mon ami André Noirot, mes collègues Élie Perriot et Sylviane Denis, la direction des thermes et faire un point sur les travaux de l’office de tourisme – Agence d’attractivité – La Haute-Marne Respire & Inspire. Le Département sera aux côtés de Bourbonne-les-bains, avec un objectif commun : rendre à la Haute-Marne sa fierté !

Nicolas LACROIX découvre que Bourbonne a un potentiel !

Ne sait-il pas que la qualité de l’eau a permis historiquement à Bourbonne d’être à la pointe en matière de santé ? Ce n’est pas un potentiel mais une réalité.

Il devrait plutôt se désoler de voir que ce qu’il appelle potentiel de Bourbonne a été réduit à peau de chagrin depuis l’arrivée de Valvital en 2004 avec de plus, la complaisance de « son ami »
André NOIROT

Nicolas LACROIX pensait-il vraiment que par sa venue à Bourbonne, il allait attirer plus de curistes ?

Rappelons que André NOIROT avait exonéré VALVITAL de redevance suite au COVID alors que la Société avait bénéficié de toutes les aides de l’Etat.

Rappelons également que VALVITAL n’engage qu’un minimum de travaux de maintenance pourtant exigés dans son cahier des charges. Les pannes récurrentes de chauffage, de baignoires, d’eau chaude, des malaxeurs de boue, etc. ne font que participer à la fuite des curistes pourtant adeptes de la qualité de l’eau thermale.

En déclarant : le Département sera aux côtés de Bourbonne-Les-Bains, nous nous demandons si Nicolas LACROIX pense intervenir comme il le fait sur la réorganisation des hôpitaux du sud-Haute-Marne alors que la santé ne relève pas de la compétence du Département.

Sur décision unilatérale de VALVITAL, la saison a démarré trois semaines plus tard causant un préjudice certain pour les logeurs de Bourbonne. Comme à son habitude, André NOIROT a fait preuve d’une grande lâcheté en acceptant ce retard.

Rendre à la Haute-Marne sa fierté
Ce n’est pas pour demain !


Zéro artificialisation nette
Et Bourbonne dans tout cela ?

Comme d’habitude, les élus de Bourbonne ne se sentent pas concernés, les lois sont pour les autres.




Pour faire simple, le concept de cette loi est de stopper l’empiètement des terres agricoles et de se concentrer sur la revitalisation des espaces urbains laissés à l’abandon.

A l’inverse, les élus de Bourbonne, dirigés à la baguette par André NOIROT, se concentrent sur l’extension du périmètre urbain et ne se soucient pas de la dévitalisation du centre.

C’est ainsi que la municipalité de André NOIROT avait réquisitionné des terres agricoles pour la construction de la maison de retraite loin du centre, condamnant les résidents à un certain isolement loin de leur famille qui ne sont pas toujours motorisées.

Plus inquiétant maintenant, est le projet mené par la Communauté de Communes et André NOIROT, de délocaliser la gendarmerie sur des terres actuellement cultivées. Voir notre article du 2 avril 2021 intitulé lDélocalisation de la gendarmerie. La gendarmerie actuelle ne serait plus qu’une friche de plus pour la commune.

La Communauté de Communes présidée depuis 2017 par Éric DARBOT, en accord bien sûr avec André NOIROT, a inscrit Bourbonne dans le programme des petites villes de demain.

Les aides et soutiens en matière de restauration et de mise en valeur du patrimoine proposés par les partenaires du programme sont au centre de cette offre.

Pour cela encore faudrait-il avoir un projet de territoire

Lorsque l’on voit qu’il a fallu près de 7 ans à cette Communauté de Communes pour démarrer les travaux de rénovation de la piscine de Bourbonne, cela ne donne pas grand espoir pour tout autre projet.

Des études, toujours des études

Payées par nos impôts et sans résultats

Un autre projet annoncé pose question, celui du pôle scolaire. En effet, depuis 2008 soit plus de 15 ans, André NOIROT avait annoncé le regroupement des écoles près du Collège.

Le projet lui-même tel qu’envisagé par André NOIROT, donnerait aux élèves accès au gymnase et à la piscine.

Or le gymnase, qui a d’ailleurs besoin d’une restauration importante, est occupé à 60% du temps par le collège, et par les associations sportives pour le reste du temps. L’école actuelle bénéficie de deux gymnases.

Quant à la piscine, les élèves n’y allaient que sporadiquement, il y faut de plus un personnel encadrant qualifié.

Pour couronner le tout, il n’y a aucun projet de réutilisation des bâtiments actuels qui font partie du patrimoine historique de Bourbonne.

Ainsi que le Sous-préfet l’avait déclaré en 2015 l’Etat ne financera plus de constructions d’écoles alors que ces dernières perdent des classes. C’est le cas de Bourbonne malheureusement.

Dépouiller le centre plutôt que de le réhabiliter
équivaut à mettre la charrue avant les bœufs


L’arc républicain

Pour le Président de la République, Emmanuel MACRON, certains partis politiques ne font pas partie de l’Arc républicain.

Pour le premier ministre, Gabriel ATTAL, l’Arc républicain c’est l’Assemblée Nationale qui regroupe en son hémicycle les élus du territoire, quel que soit leur parti politique, ils et elles sont élus par le peuple. Malheureusement, il poursuit en lançant des attaques tout à fait honteuses envers l’opposition, plutôt dignes d’une cour d’école.

Pour le Président du Conseil Départemental de la Haute-Marne, Nicolas LACROIX, les élus du parti opposé au sien ne sont pas des ennemis mais des adversaires qu’il veut combattre. Ses propos sont dignes de l’école maternelle.

Non seulement il refuse de travailler avec tous les conseillers départementaux élus démocratiquement, sans exception, il se permet de déclarer que, lui, représente tous les haut-marnais. Rappelons que son propre parti, Les Républicains, n’a reçu que 3 % des votes aux dernières élections départementales. Pour être élu, il a dû faire des alliances avec d’autres partis divers droite et du centre.

Nicolas LACROIX va même jusqu’à exclure de la majorité départementale Madame Magali CARTAGENA, Maire de Villegusien-le-Lac pour avoir osé voter contre sa décision de reconstruire les hôpitaux de Chaumont et Langres. Il refuse de proposer l’option préconisée par d’autres instances qui satisferait un plus grand nombre de haut-marnais.

Pour qui se prend-il pour renier ainsi la démocratie
La Haute-Marne mérite mieux

Comme si cela ne suffisait pas, nous avons des maires comme André NOIROT, qui estiment que la fonction leur revient à eux et à personne d’autre.

Depuis tant d’années, les élus de Bourbonne se permettent de cacher leurs intentions de peur de réveiller des soupçons sur leurs actions.

C’est ainsi qu’une grande partie du patrimoine a été démolie (Château Montmorency, l’hôpital militaire, le chalet Sapin, etc., sans autorisation pour certains). Plusieurs bâtiments ont été achetés pour les laisser à l’abandon (Hôtel du Parc, le Refuge des Cheminots etc.) toujours aux frais des contribuables.

Nous avons de plus, des élus tels que Elie PERRIOT, qui pour se faire élire mènent des campagnes de dénigrements absurdes et grossières comme il l’a fait dès 2014 et plus récemment lors des élections départementales.

Voir notre article du 22 juillet 2021 intitulé Résultats des élections départementales 2021.

Rappelons que sans les votes des Bourbonnais, dont 55 % s’étaient abstenus, son binôme n’était pas majoritaire dans le canton. Il n’a vraiment pas de raison d’être fier et de clamer qu’il a désormais une carrière politique (ne riez pas…)

Elie PERRIOT ne fait que s’accrocher à la laisse tenue fermement par Nicolas LACROIX ou André NOIROT.


Ces élus se ridiculisent
Pas étonnant que Wikipédia leur ferme la porte !

Les routes de Haute-Marne bientôt dénudées

Décidément Nicolas LACROIX n’a rien de mieux à faire que de décider – SEUL -d’abattre près de 4 000 arbres le long des routes de Haute-Marne.


Il semblerait que pour en venir à cette décision, Nicolas LACROIX ait consulté les bilans d’accidentalité de l’Observatoire national interministériel de la sécurité routière.

Pourtant ces bilans ne mentionnent pas les causes d’accidents si ce n’est principalement la vitesse et l’alcool.

A moins que l’arbre ne se déplace pour que les voitures le percutent !

A noter que cet Observatoire avait demandé l’instauration de la limite de vitesse à 80 km/h sur les routes départementales. Nicolas LACROIX s’était empressé d’annuler cette implémentation sur plusieurs routes, causant la « fureur » de la Préfecture.

Selon l’article, Nicolas LACROIX a constaté que la présence d’un arbre cause une déformation de la route. Ne serait-ce pas plutôt parce que le revêtement n’est pas correctement entretenu ou suffisamment qualitatif.

Il a de plus, vu sur l’accotement des traces de roues qui frôlent les arbres. Ne serait-ce pas plutôt parce que ces voitures roulent trop vite.

Il se désole que le travail d’élagage nécessaire mobilise ses équipes. N’est-ce pas justement la raison même de leur travail.

Il mentionne des mesures compensatoires sans pour autant dire de quoi il s’agit

Des études ont prouvé que les routes qui ne sont pas bordées d’arbres sont plus dangereuses car les chauffards n’ont alors aucune raison de ralentir et finissent par s’écraser contre un autre obstacle, qui peut tout à fait être la voiture qui arrive en face.

Plutôt que de prendre des décisions totalement arbitraires, ne ferait-il pas mieux de s’inquiéter des conséquences des abattages.

  • Perte de qualité paysagère du département
  • Perte du bienfait des arbres dans la lute contre le réchauffement climatique et contre l’érosion de la biodiversité
  • Les arbres coupés ont des racines sous le goudron qui vont pourrir et ruiner la chaussée
  • L’eau en excès par endroits dans le sol ne sera plus pompée

On ne peut pas dire que le bilan de Nicolas LACROIX soit des plus brillants :

  • Déclin démographique continu
  • Délabrement des finances
  • Désert médical constant
  • Démocratie en berne

Et maintenant déboisement des bords de routes de campagnes

Nicolas LACROIX devrait plutôt prendre connaissance du Décret N° 2023-384 du 19 mai 2023 qui régit que seul le Préfet de Département est l’autorité administrative compétente qui se prononce sur les atteintes éventuelles aux allées et alignements d’arbres bordant les voies ouvertes à la circulation publique.

A quoi bon parler d’attractivité quand des élus plutôt ignorants des lois se comportent en véritables despotes

Toujours plus de couleuvres à avaler

Malgré la sècheresse, on se rend compte que Bernard RIAC et André NOIROT trouvent toujours plus des « couleuvres » à vous faire avaler.

Le réchauffement climatique va peut-être leur engendrer une pénurie de couleuvres ?

Le 30 janvier 2023, un groupe de presse économique régional (Savoie Mont Blanc) a publié un entretien avec Bernard RIAC sur les investissements du groupe Valvital.

Valvital est le groupe thermal qui progresse le plus rapidement et fortement cette année », annonce le président directeur général, Bernard Riac.

Et d’une couleuvre

Il faut un certain culot pour faire de telles annonces qui ne sont que fantasmes de la part de Bernard RIAC.

En ce qui concerne Bourbonne-Les-Bains, lors de la dernière réunion du syndicat des hôteliers début Octobre, la représentante des thermes avait annoncé selon le Journal de la Haute-Marne du 11 octobre : « lnous accueillons actuellement 650 curistes et espérons dépasser la barre des 5 000 au total sur la saison ».

Et de deux couleuvres

Les bourbonnais ont pu eux-mêmes constater que depuis l’ouverture de la saison en mars 2023, il n’y a eu que très peu de curistes au cours des six premiers mois sur les neuf mois de la saison thermale. Les trois derniers mois sont depuis très longtemps les mois préférés des curistes, mais vont-ils compenser ?

Rappelons qu’en 2022, les thermes n’avaient reçu que 5 228 curistes. Si la barre des 5 000 curistes est atteinte cela équivaudrait à une nouvelle perte d’environ 200 curistes.

L’absence de travaux d’entretien de l’équipement est évidente et régulièrement rapportée par le peu de curistes encore venus cette année : eau froide, baignoires en panne, malaxeur de boue en panne, chauffage défaillant, piscine froide, etc.

Non, ce n’est pas la COVID

Le journal local de Nancy La Semaine a publié le 1er septembre dernier un entretien avec Bernard RIAC sur le fiasco de l’ouverture des cures thermales de Nancy Thermal.

Comme à son habitude, la faute est rejetée sur autrui. Il rappelle « nous ne sommes que les exploitants. Il faut que chacun prenne ses responsabilités »

Et de trois couleuvres
Il fallait oser

Mais encore, à la question : beaucoup vous reprochent la « propreté » des lieux. Que leur répondez-vous ?

« Que c’est vrai et nous allons prendre le taureau par les cornes. Nous avons sous-traité la partie la plus importante du nettoyage à une entreprise bien connue en France.

Bientôt ce sera la faute des banques

Ce qui est particulièrement intéressant est qu’il ajoute : Elle ne remplit pas ses missions… La prestation doit être effectuée. Nous allons peut-être devoir aller vers une résiliation du contrat et demander des dommages et intérêts. Cette situation n’est pas acceptable ».

Ben voyons…
Pour quelqu’un qui n’a jamais respecté son cahier des charges à Bourbonne c’est énorme de toupet


Pour rappel, le 15 avril 1975 le Sénat avait débattu sur la situation de l’établissement thermal de Bourbonne-Les-Bains en réponse au Sénateur Edgard PISANI.

Mme le ministre de la santé est particulièrement avertie du problème posé par l’avenir de l’établissement thermal de Bourbonne-les-Bains. La carence du concessionnaire qui n’avait pas entrepris, malgré de nombreuses mises en demeure, les nécessaires travaux de rénovation, l’a conduite à prendre à son encontre les mesures prévues par le cahier des charges de la concession.
C’est ainsi qu’elle a été amenée à prononcer sa déchéance à la fin du mois de mars.

Conformément à l’article 26 du chapitre VI du cahier des charges :

« Faute par le concessionnaire de remplir l’une quelconque des obligations qui lui sont imposées par le présent cahier des charges il encourt la déchéance. »

Le document est un document administratif communicable et est donc disponible sur demande en Mairie.


Suite à cette décision de l’Etat et un nouveau concessionnaire, la station a par la suite reçu jusqu’à 16 000 curistes.
À bon entendeur !
Aucune chance avec André NOIROT